Nationalité : France
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Biographie :
Liv, de son vrai prénom Olivia, est la première Youtubeuse du crime en France.
Elle partage avec ses abonnés sa passion pour le paranormal et le crime depuis plus de 10 ans.
Avec près de 200 000 vues par vidéos, elle est devenue une référence dans le monde du dark YouTube.
Elle a également a créé sa propre plateforme de streaming : Nighty.Tv.
Étudiante en master de communication et forte de son parcours professionnel, elle développe différents formats afin de permettre aux passionnés de crime, de mystère et de paranormal de trouver une niche où apprendre et échanger.
son site : https://livmvz.ovh/
Twitter : https://twitter.com/TheBriightLife
Instagram : https://www.instagram.com/_livandi_/
chaîne YouTube : https://www.youtube.com/user/liv
+ Voir plusLiv, de son vrai prénom Olivia, est la première Youtubeuse du crime en France.
Elle partage avec ses abonnés sa passion pour le paranormal et le crime depuis plus de 10 ans.
Avec près de 200 000 vues par vidéos, elle est devenue une référence dans le monde du dark YouTube.
Elle a également a créé sa propre plateforme de streaming : Nighty.Tv.
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CES HISTOIRES QUI *M'EMPÊCHENT DE DORMIR* | LES EMAILS DE JACK FROESE ET LE FANTÔME DE 21H
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Quand je suis tombé amoureux d’une autre fille, mademoiselle Pan a de nouveau fait irruption dans ma vie. Comme une vieille carie qui se réveille. Elle m’a appelé en larmes, souhaitant justifier sa disparition soudaine après plusieurs mois. Elle s’était mise à pleurer, comme quand nous étions au lycée. J’imaginais son visage se tordre dans ce rictus gênant et chacun de ses mots sonnait comme un mensonge.
C’était un homme bourru, brutal, mais peu intelligent. Il aurait été facile de le tromper mais il fallait sans cesse mesurer le poids du risque à prendre. De toute manière, Amanda en avait à présent l’intime conviction : elle reprendrait bientôt sa vie là où elle l’avait arrêtée. Quelque chose avait changé. Elle était prête à mourir en fuyant. Le dîner se termina dans le calme comme il avait commencé. Ce soir-là, c’était Michelle qui était réquisitionnée pour accomplir le « devoir conjugal ». L’homme avait trouvé cette expression idiote pour se déculpabiliser des viols qu’il leur faisait subir. C’était des actes brutaux, barbares, sans considération pour leurs corps meurtris.
Quand les affaires marchent, que l’argent rentre, tout va bien. En période de flottement, madame est énervée, madame remet en cause ma légitimité professionnelle et même paternelle. Cela dure depuis environ quatre ans, peut-être plus. Nous sommes-nous mariés seulement pour le meilleur ? La Bible dit : « L’amour est patient, il est plein de bonté ; l’amour n’est pas envieux ; l’amour ne se vante pas, il ne s’enfle pas d’orgueil, il ne fait rien de malhonnête, il ne cherche pas son intérêt, il ne s’irrite pas, il ne soupçonne pas le mal. » Je crois qu’Agnès n’a pas bien lu la sienne.
Vêtu de très longs manteaux chics, il avait de bonnes manières de bourgeois et la concierge avait déjà pris l’habitude d’aller le consulter régulièrement. En l’écoutant, j’imaginais un vautour, ou plutôt un corbeau très élégant. Voilà, appelons-le ainsi. On disait que cet homme était un médecin d’une nouvelle sorte et qu’il avait des méthodes peu conventionnelles. Je me souviens m’être demandé quel type de médecin il était et s’il pourrait miraculeusement soigner mon genou malade. Je repense à cet épisode avec effroi.
Après quelques minutes d’immobilité totale, il s’était résolu à appeler la police. C’était la seule chose sensée à faire, il n’avait pas les moyens de partir en cavale, et de toute manière il finirait par être attrapé un jour ou l’autre. Le policier ne parut pas comprendre, peut-être était-il novice. « Ils ne devraient pas mettre des bleus à ce genre de postes » pensa Ed. Les instructions étaient pourtant claires : il avait tué ses grands-parents et il attendrait les autorités devant la maison.
Il fallait essayer de s’enfuir dans le noir, toujours courir, toujours être rattrapée. Elle était la cible d’une véritable entreprise de destruction. C’était une chasse à l’homme, un massacre. Il fallait reprendre sa respiration. Melinda avait un couteau. Dans les films d’action que Shanda regardait avec son père, les gens survivaient souvent aux coups de poings mais rarement aux coups de couteau. Et puis, quelle sensation cela faisait-il de se faire ouvrir en deux comme un porc ?
Elle ne se sentait ni femme, ni être humain, mais objet, et de temps en temps, mère. C’était ce dernier statut, le plus récent de tous, qui lui permettait de garder la tête hors de l’eau. « Maman, pourquoi on ne peut pas sortir comme on veut ? » demandait parfois sa fille. Il était difficile de contenir toute l’énergie de cette petite fille en pleine croissance. Sa curiosité s’élevait au-delà des murs, au-delà des montagnes, jusqu’à l’océan Atlantique, et plus loin encore.
Une fois à la verticale, il dominait la chambre comme s’il était un géant dans une maison de poupée. C’était ainsi que le monde lui avait toujours paru : un immense terrain de jeu. Il imaginait tous ces êtres humains comme des fourmis qu’il aurait pu carboniser à l’aide d’une loupe et d’un peu de soleil.
Edmund était plus grand que la moyenne, plus intelligent que la moyenne, plus malheureux que la moyenne et peut-être aussi plus en colère que la moyenne.
Edmund était plus grand que la moyenne, plus intelligent que la moyenne, plus malheureux que la moyenne et peut-être aussi plus en colère que la moyenne.
Ce n’était pas bien difficile d’entrer dans ce bâtiment, il n’y avait aucun poste de sécurité, aucune carte d’étudiant à montrer. On pouvait aller et venir à sa guise. L’homme se cacha derrière un groupe d’étudiants au style hippie puis fit mine d’appartenir à l’endroit. Il avait récemment appris une leçon de camouflage bien utile : faire semblant consistait à ne pas faire semblant. Il fallait effectivement se plonger dans un livre et s’y intéresser.
Je ne pensais pas que la peur et l’angoisse pouvaient être si difficiles à supporter. Elles sont les compagnes les plus fidèles, ne vous abandonnent pas du matin au soir. Quand vous accédez à quelques instants de gaieté, elles vous attrapent par la gorge et vous entraînent dans les tréfonds de votre esprit. Là, dans le noir, vous êtes seul. Une question en entraîne une autre, les portes ouvertes sont aussitôt refermées, il n’y a pas d’échappatoire.
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