[après son évasion, Ran Tan Plan est épuisé. il a faim et surtout il a soif. il creuse, creuse, creuse au mauvais endroit que lui recommande son instinct. un promeneur passe par là et le sort de son trou. il s'adresse à son âne ] :
Regarde, Oreilles! Il a l'air épuisé... L'eau de la rivière le ranimera...
Il a de la chance que nous soyons passés par ici, Oreilles. Mais je ne m'explique pas cet état d'inanition dans une région où l'eau et le gibier abondent...