EUCLION : Toi, maintenant, rentre et garde la maison.
STAPHYLA : Mais comment donc ! Que je garde la maison ? Sans doute pour que personne n'enlève les murs ? Car, chez nous, il n'y a pas d'autre butin pour les voleurs, tant le logis est plein de vide et de toiles d'araignées.
(...)
EUCLION : Ces toiles d'araignées, je veux qu'on me les garde. Je suis pauvre, je l'avoue, je le supporte. Ce que les dieux m'envoient, je l'accepte.