Jean Poderos

La peinture d'Histoire porte en elle, par essence, de prévisibles malentendus. L'artiste, quand il est dépendant d'un commanditaire qu'il doit flatter, l'idéalise souvent en dépit de la vérité. Porté par le vent de l'Histoire, il peut aussi tomber sous le charme des grandes idées politiques ou religieuses de son temps et les exalter dans ses œuvres au mépris de l'objectivité la plus élémentaire. Il arrive parfois que l'artiste cède à la dérive propagandiste ou au contraire cherche à dénoncer. Quoi qu'il en soit, le résultat est le même et le peintre est amené à travestir les faits pour distiller son message. Tout l'enjeu pour nous est de déjouer le piège !

Certaines erreurs acquièrent avec les années le statut de vérités officielles....

(Rembrandt - L'Incrédulité de Saint Thomas 1634)

Louise est une vieille dame qui habite à New York. Elle vit en haut d'une tour.
Elle est vieille et moche. Ses cheveux sont tout blancs. Elle a de grosses lunettes.

Mais Louise a un petit secret : elle enquête ! C'est une très grande détective...
[...] Lou-i-se va devoir résoudre l'enquête de sa vie. elle va devoir découvrir qui a coupé l'électricité dans tout le quartier.

Ce que Louise adore chez sa tante Emma, c'est sa classe!
Chic et belle et jeune et drôle...
Enfin, surtout en voiture, quand le vent la force à sourire...

Parce qu'une fois hors de sa belle voiture de sport, Tante Emma, c'est tout de même qu'une vieille peau...

Elle regarde dehors, tout est noir, tout...

Ah non, là-bas, dans l'immeuble d'en face, il y a quelqu'un qui a de l'électricité.

Ah ! Ah ! Un indice !