Et alors j'entrepris l'étude la plus sérieuse qu'on puisse faire d'une chose rituellement légère, c'est-à-dire celle de la danse orientale. A la lueur banale de ce sourire, c'est-à-dire de la provocation au désir sensuel, je cherchai l'art qu'on peut extraire de la volupté. Une folie lascive pourrait-elle dépasser la brutalité de l'acte auquel, fatalement, elle entraîne et, le jugulant, le maîtrisant, arriverait-elle à en montrer seulement la pure beauté ? Rien ne doit être immoral d'une image plastique absolument réussie.