Nakamura est invisible aux yeux de ses camarades et plus encore auprès de Hirose l'objet de toutes ses attentions.
Il va déployer toutes sortes de stratégies pour trouver le courage d'avouer à ce garçon qu'il lui plait.
Je n'ai pas été séduite par ce format d'écriture. En fait c'est une écriture sous forme de feuilleton qui chacun à leur tour mettent en scène une tentative de rapprochement de la part de Nakamura fructueuse ou non. Le récit se concentre uniquement sur le fait que Nakamura n'arrive pas à ses fins. C'est assez lassant.
Le dessin assez vieillot (rétro dit la jaquette...) n'est pas très attrayant.
Néanmoins, pour l'instant peu de manga avec des histoires d'amour homosexuelles sont encore accessibles et ce manga peu permettre une lecture adaptée.
La professeuse documentaliste de cdicollegeguisthau
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Super mignon !
Je découvre le genre Boy's love avec ce manga envoyé dans le cadre d'une masse critique. J'ai bien fait de postuler pour celui-ci.
Nakamura en pince pour Hirose, magnifique lycéen aux cheveux châtains clairs. Mais sa timidité l'empêche d'être entreprenant. Il va tout de même essayé de sympathiser avec lui.
L'histoire est découpée en scènes plutôt courtes et raconté en mode humour. Il se lit très facilement. L'histoire avance plutôt rapidement.
J'ai hâte de lire le tome 2 !
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J'ai adoré ce titre ! Je rigole rarement devant des mangas mais celui-ci à réussi à me faire rire plusieurs fois. J'adore son humour et son côté décalé. La romance est très mignonne mais si elle mène à rien pour le moment, il faut voir comment ça va évoluer par la suite. Et bien sûr le dessin est super agréable à suivre et original, ça ressemble aux mangas dès année 80 mais modernisé.
J'attends la suite avec impatience et je pense aussi me renseigner sur les autres mangas de l'autrice !
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Je flânais comme tous les samedis dans ma librairie de bande-dessinées favorite, et ce charmant one-shot trainait, abandonné, aux milieux des nouveautés, dans une pile qui n’était pas la sienne. Je suis passée outre ma réaction épidermique du « screugneugneuh mal rangé encore, du bazar partout, les gens sont des sauvages, qu’est-ce qu’ils foutent les vendeurs ? », la couverture m’a intrigué, car le graphique fait très rétro (ça tombe bien, c’est ce qui est écrit sur la quatrième de couverture « une comédie romantique très inspirée, rétro et attachante »). On dirait un machin des années 80, sauf que ce sont deux garçons sur la couverture, et le yaoï, ce n’était pas trop la mode dans les années 80. J’ai feuilleté un peu et j’ai vraiment adhéré au style du dessin. Ça fait manga à l’ancienne, mais avec une propreté du trait qui montre que la dessinatrice l’a volontairement adopté, ce n’est pas juste une mangaka débutante et peu sûre de sa main, ou une vieillerie de quarante ans tombée dans l'oubli. Je me suis donc laissé tenter par les courbes rondes et l’ambiance old school.
Dans l’esprit, il y a vraiment une référence aux vieux mangas, ici on est dans la même fibre qu’un « Juliette je t’aime" / "Maison Ikkoku ». L’humour est le même : simple, bon enfant, sans aucun sous-entendu salace toutefois, c’est une vraie amourette de lycéens pure et innocente, mais drôle, pas mièvre (ce que je reproche le plus souvent aux shojo et aux yaoï, en plus de leur manque de crédibilité).
Il y a pas mal de petits trucs qui m’ont plu, par exemple, alors que c’est un one-shot, on a beaucoup de personnages. En quelques pages, on comprend tout de suite qui est qui, et quel rôle il tient (archétype et relations interpersonnelles). Les deux personnages principaux : Nakamura et Hirose sont très attachants, mais il en va de même pour Hifumi et Omori, alors qu’ils sont vraiment secondaires. Le prof aussi est génial. Petit bémol : on sent bien que les personnages ont été créés pour faire une série longue et que la mangaka n’a réussi qu’à faire publier son premier volume. Dommage pas dommage ? J’ai trouvé la fin ouverte très douce et très feel good. On n’a pas le temps de se dire « pfff, c’est long ». Le découpage est finalement pas mal, comme une nouvelle.
J’ai trouvé intéressant le caractère de Nakamura, introverti et en même temps persuadé qu’il sera le « dominant » de sa relation fantasmée avec Hirose, alors qu’il apparaît clairement que ce petit gars androgyne tout mimi est beaucoup plus couillu que lui, plus ouvert, avec un caractère bien trempé. Son amour des pieuvres est également très amusant et, quelque part, assez touchant.
C’est un manga absolument choupi, parfois parodique, il y a de l’exagération assumée (quand on voit les punks du lycée d’à côté ou les surveillants de couloirs en mode yakuza). Aux deux premiers chapitres je me suis dit « oh punaise, ça va être mauvais » et puis finalement quand on entre vraiment dans l’histoire ça devient beaucoup plus rythmé et sympathique. C’est plaisant et rapide à lire, ça donne le sourire, et le tout sans un atome de grivoiserie.
Bref, je conseille « Accroche-toi Nakamura !! » (pourquoi deux points d’exclamation ?) par Syundei.
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