Tsukiya

- Je ne t'ai jamais demandé d'oublier ton passé. Il existe, et tu ne pourras jamais l'effacer. Mais ce dont je suis sûr... c'est qu'aujourd'hui tu n'es plus Kirishima "L'exterminateur de yakuzas".
Tu es "Kirishima le protecteur" !

S'ils savaient qui je suis réellement, ils me regarderaient tous comme si j'étais pas normal, c'est sûr !
- Mais c'est quoi être normal ?
- si seulement je pouvais vivre sans penser à rien...

Si tu te prends le chou à propos de plusieurs choses qui te tiennent à cœur. Choisis celle que tu aurais le plus de mal à abandonner !

Il s’est peut-être assagi, mais garde-toi bien de commettre le moindre impair ! C’est pas en disant ce genre de conneries qu’on va se faire respecter par les autres !

C’est triste à dire, mais la vérité c’est que seul, je n’ai jamais réussi à me comporter comme un père. Si j’ai pu avancer c’est grâce à l’aide et au soutien de ceux qui m’entourent. J’étais loin d’imaginer que s’occuper d’une petite fille était plus compliqué que d’unifier tout un clan !

C’est difficile, hein ? De savoir si ce qu’on fait tendra les autres heureux ou pas !

Tu prends un peu trop de libertés à mon goût. Ce qui te fait cruellement défaut, c’est le sens des responsabilités !

Je craignais qu’il finisse par mourir tout seul dans un coin, sans que personne n’en sache rien.

- Haha! Vous vous entendez drôlement bien!
- Du calme, Tôyama. Pas devant le big boss.
- À ton âge, t'es toujours pas foutu d'arriver à l'heure?!
- Désolé, désolé... c'est parce que j'ai repris une tasse de café.

- Haha! Regarde, Ryôma... Masaya s'est fait mettre le grappin dessus par une jeune femme bien robuste comme il faut!
- Une jeune femme?

Je te jure. Tu n’as pas changé. Tu rechignes toujours autant à montrer tes faiblesses !

Je me demandais ce qui l’avait transformé à ce point… Mais je sais maintenant que c’est son nouveau job de nounou et cette merveilleuse rencontre avec toi !

La famille ne se limite pas aux liens du sang !

Franchement, j’appréhende un peu plus chaque jour ! Quand il s’agit de baston, au moins, pas besoin de réfléchir !

Ben ça alors ! Vous avez drôlement grandi mademoiselle ! Une chance que vous ne ressembliez pas à votre père, vous êtes adorable !