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4.31/5 (sur 8 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Paris , le 15/10/1918
Mort(e) à : Boulogne-Billancourt , le 01/05/2013
Biographie :

Hélène Simart, épouse Michaut, est une écrivaine française, auteure de roman d'amour et de roman policier.

Pour la littérature policière, elle utilise le pseudonyme Agnès Laurent.

Après avoir exercé de nombreux métiers, elle se consacre entièrement à l'écriture à partir des années 1950. Elle écrit de nombreux romans sentimentaux et obtient deux prix littéraires, dont le prix du Roman populaire en 1965 pour "La Fille aux yeux dorés".

Sous le pseudonyme d'Agnès Laurent, elle écrit quelques romans policiers, notamment "L'assassin aimait les rousses", publié dans la collection Le Masque en 1978.

Nouvelliste, elle publie quarante-six nouvelles policières dans l'hebdomadaire féminin "Nous Deux" de 1974 (n° 1429) à juin 1982 (n° 1823).
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Source : Wikipédia
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Découvre l'émission intégrale ici : https://www.web-tv-culture.com/emission/agnes-laurent-rendors-toi-tout-va-bien-52797.html Les faits de société ou les faits divers ont toujours été source d'inspiration pour les écrivains. de par son métier de journaliste, Agnès Laurent avait toute matière pour écrire son premier roman. Au sein de la rédaction de « L'Express », elle est en charge des pages consacrées à l'évolution de la société. Mais depuis longtemps, l'envie de l'écriture romanesque était présente. Il fallait juste qu'elle s'y sente légitime. C'est chose faite avec ce roman « Rendors toi, tout va bien », paru aux éditions Plon. Cette phrase, c'est celle que prononce régulièrement Christelle à son mari Guillaume. C'est un couple sans histoire, une vie bien rangée dans une jolie maison. Quelques connaissances, un bon boulot pour Guillaume et pour Christelle, le plaisir apparent de s'occuper des deux fillettes du couple. Mais ce vendredi, rien ne va plus. Christelle est paniquée, elle fuit, prend la route, roule trop vite. C'est l'accident. Et bientôt, Guillaume est arrêté. Pourquoi ? Dès lors, tout se rembobine et le lecteur va revivre cette journée cauchemardesque, quasiment heure par heure, et suivre toutes les personnes qui ont croisé le chemin de Christelle et Guillaume ce matin-là. Tous vont raconter ce couple sans histoires ou ce qu'ils pensaient en savoir. Qui Christelle voulait-elle fuir ? Que voulait-elle fuir ? Qui sont réellement Guillaume et Christelle ? Au fil de la lecture, toutes les possibilités vont s'offrir au lecteur jusqu'à une vérité inattendue, brutale, effrayante. C'est un thriller certes, mené tambour battant, avec une intrigue haletante, une écriture au scalpel, alternant la troisième et la première personne quand Guillaume prend lui-même la parole. Mais voilà surtout un formidable roman psychologique avec un personnage féminin au bord de l'abîme, d'une solitude désespérante. Un roman que vous ne pourrez pas lâcher jusqu'à la dernière page et qui vous laissera KO. Une histoire d'une noirceur extrême sous le soleil du sud de la France, au début de l'été. Une belle réussite donc. « Rendors toi, tout va bien », d'Agnès Laurent est publié chez Plon

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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Par avance, j'entendais les voix condescendantes de ma femme et de mon ami :
" Mon pauvre Mocky...Nous allons te soigner..."
Ces paroles doucereuses agissaient sur moi comme de l'acide sur une plaie à vif. Me soigner ? M'enfermer ! M'enterrer vivant !
Un jeu cruel qui rappelait le tir aux pigeons. On délivre les oiseaux qui, croyant à la liberté, s'élancent vers le ciel et tombent sous le tir des chasseurs...
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Grand-père possèdait une bibliothèque impressionnante. Les murs de son bureau étaient couverts de rayonnages remplis de livres de toutes tailles, à tranches dorées. Des ouvrages de médecine, pour la plupart. Il y avait aussi une pièce mystèrieuse, ou je n'avais pas le droit de pénétrer. Ménie non plus. En permanence, elle était fermée à clé. A son sujet, je me racontais des histoires. J'avais lu Barbe-Bleue. Mais grand-père ne lui ressemblait pas. Sans doute gardait-il les souvenirs de son brillant passé ? Parfois, je l'avais surpris en train de contempler ses mains...Des mains qui avaient accompli leur mission. Longues, solides, avec des ongles spatulés...

Page 21
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L'ambulance fendait la campagne...Allongé, enveloppé dans une moelleuse couverture, je ne souffrais pas. En moi, une impression de vide total. Oui, c'était exactement cela. La sensation d'être creux, rongé, à l'intérieur. Aucun sentiment autre qu'un vague bien-être ; aucune pensée ; un dernier souvenir : un choc sur la tête, puis une chute dans un gouffre noir.
(incipit).
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