Il y a sans aucun doute pire que le strip-tease, le naturisme. L'homme nu, c'est l'esclave, c'est le prisonnier qu'on veut humilier, le questionné avant la torture. Dans les pratiques sadomasochistes, c'est le soumis qui est nu alors que le maître est vêtu.
Une littérature saine, intelligible, dont les mots restent dans un rapport fidèle avec les objets qu'ils désignent – et d'autre part une littérature viscérale, qui s'est donnée aux femmes et où le respect des mots, de leur valeur propre a fait place au culte du flou, du vague, de l'étrange. »
(Marcel Aymé)