[...] les jeunes générations seraient en quête de modèles solides d'autorité, de tuteurs et de référentiels, qui parfois prennent donc le nom de "maîtres" ou de "parrains". Ce n'est pas que le PN soit "un bon père", mais il sait feindre d'en être un. Au fond, il déteste les jeunes gens, et il saisit là l'occasion de les museler.