Après la confession de Guille, j’étais sûre de tenir enfin quelque chose : Guille était bien un enfant précoce, hypersensible, à l’imagination débordante, qui vivait l’absence de sa mère comme un abandon. Sa souffrance était telle qu’il s’était réfugié dans l’univers magique de Mary Poppins – et dans ses pouvoirs – pour invoquer son retour.