PHILIPPE : Voilà les guerres de famille, voilà comme les couteaux se tirent. On est insulté, et on tue ; on a tué, et on est tué. Bientôt les haines s’enracinent ; on berce les fils dans les cercueils de leurs aïeux, et des générations entières sortent de terre l’épée à la main.
Acte II, Scène 5.
(P. S. : Ça ne vous rappelle pas certains conflits actuels et bien réels ?…)