Aucune image ne peut être réconfortante dans cette situation. Les images ne peuvent rien contre la douleur et, malgré tout le pouvoir que je leur confère, les mots non plus. Mais je te promets que ça ne va pas faire mal éternellement. Les bons souvenirs, eux, sont plus forts que le chagrin.
Dès le moment où l'on échange nos prénoms, quels qu'ils soient, des milliers d'autres mots salignent. Des milliards de voyelles et consonnes aux inflexions colorées s'assemblent différemment à chaque histoire pour finir sempiternellement par tirer vers le gris.