Nationalité : Canada
Né(e) à : Sherbrooke , le 14/09/1965
Mort(e) à : Granby , le 25/08/2011
Né(e) à : Sherbrooke , le 14/09/1965
Mort(e) à : Granby , le 25/08/2011
Biographie :
Aline Poulin est une poète et écrivaine québécoise née à Sherbrooke le 14 septembre 1965 et décédée le 25 août 2011 à Granby.
Elle a obtenu un baccalauréat spécialisé en études littéraires et culturelles, une maîtrise et un doctorat en études françaises.
Elle a auparavant travaillé comme archiviste au Centre culturel de l'Université de Sherbrooke, comme recherchiste-rédactrice au Carrefour de solidarité internationale et comme chroniqueuse littéraire à la radio CFLX. Elle a enseigné la littérature au Cégep de Granby Haute-Yamaska entre 1991 et 2010, avant de se retirer pour combattre le cancer dont elle était atteinte. Elle décède de sa maladie l'année suivante, en 2011.
Aline Poulin est une poète et écrivaine québécoise née à Sherbrooke le 14 septembre 1965 et décédée le 25 août 2011 à Granby.
Elle a obtenu un baccalauréat spécialisé en études littéraires et culturelles, une maîtrise et un doctorat en études françaises.
Elle a auparavant travaillé comme archiviste au Centre culturel de l'Université de Sherbrooke, comme recherchiste-rédactrice au Carrefour de solidarité internationale et comme chroniqueuse littéraire à la radio CFLX. Elle a enseigné la littérature au Cégep de Granby Haute-Yamaska entre 1991 et 2010, avant de se retirer pour combattre le cancer dont elle était atteinte. Elle décède de sa maladie l'année suivante, en 2011.
Source : Wikipedia
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Citations et extraits (4)
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Ta main dans l’avancée du désert touche à sa fin
voyante capable de quotidien et de tendresse
elle danse sur un toit d’ardoise
marque plusieurs fronts friables
de suite tes grandes pattes d’ours
contiennent ma parole rongée par la terre
Hier écran de plomb
ton visage traverse mon existence
à l’ombre des miroirs de papier
voyante capable de quotidien et de tendresse
elle danse sur un toit d’ardoise
marque plusieurs fronts friables
de suite tes grandes pattes d’ours
contiennent ma parole rongée par la terre
Hier écran de plomb
ton visage traverse mon existence
à l’ombre des miroirs de papier
Au milieu de ce rêve je choisi encore
et toujours des ponts encombrés
de fiction
C’est une question de rituel
J’affronte cette curieuse musique qui ne fait pas de bruit
J’écris en marge des pages qui ressemblent à la pluie
et toujours des ponts encombrés
de fiction
C’est une question de rituel
J’affronte cette curieuse musique qui ne fait pas de bruit
J’écris en marge des pages qui ressemblent à la pluie
Petite clé ma voix ensablée
s’échappe au détour d’une phrase
revient parmi les vivants
En proie à des errances
sur le clavier humide
je suis de pierres brûlées
par ce bleu indéfinissable tes yeux
s’échappe au détour d’une phrase
revient parmi les vivants
En proie à des errances
sur le clavier humide
je suis de pierres brûlées
par ce bleu indéfinissable tes yeux
Le fracas du monde te découvre heureux
me façonne jusqu’à l’imaginaire
nous fait presque mal aux yeux
me façonne jusqu’à l’imaginaire
nous fait presque mal aux yeux
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