Car l'apparat est tenace. Et rusé de surcroît.
Il peut bien incliner la tête avec humilité tandis que l'empereur se fait traîner jusqu'en bas des marches et jeter dans la rue. Mais voilà que, après avoir tranquillement attendu son heure tout en aidant le chef nouvellement nommé à enfiler sa veste, il le félicite pour sa belle allure et suggère le port de deux ou trois médailles. Ou encore, l'ayant servi lors d'un dîner élégant, il se demande tout haut si un siège plus élevé n'aurait pas été davantage adapté à un homme chargé de telles responsabilités.