Ce prince[, Guillaume X,] prend une part active dans les affaires politiques qui concernent son territoire sur la scène nationale et internationale, notamment en guerroyant contre ou avec le comte d'Anjou. Mais son point faible est d'être assez facilement influençable au point d'être manipulé par plusieurs personnes à la fois et même si elles sont de camps opposés. À savoir Gérard (ou Girard) II de Blay, évêque d'Angoulême puis archevêque de Bordeaux, qui est proche de Guillaume depuis son tendre âge, et, de l'autre côté, son ennemi l'abbé (abbas) Bernard de Clairvaux qui agit par l'intermédiaire de Geoffroy de Loroux qui est devenu à partir du schisme d'Anaclet II le protégé du duc. Cette compétition d'influence menée dans le but de voir une politique qui leur soit favorable aboutir au schisme d'Aquitaine [...]. Comme Guillaume IX, le dernier duc aquitain se met à dos l'Église où certains de ses prélats durant plus des deux tiers de son principat.