Principes fondamentaux de l'aikido Kobayashi - Stage de Cognard André Shihan à l'Aikidojo Kobayashi en fevrier 2011.
Si tu veux affaiblir ton ennemi, fais son éloge, si tu veux le tuer flatte-le
Accepter notre mort, c'est faire l'unique choix de notre vie, c'est le seul exercice possible de la liberté.
Sa rencontre avec cet homme avait été comme un typhon dans sa vie bien organisée.
L'amour avait repris la place qui lui était dû depuis si longtemps, depuis qu'elle avait rendu son premier souffle.
La bienveillance était l’un de ses traits les plus forts. Quand ils se retrouvaient à table, entourés des disciples d’Alan, Yamanaka Sensei manifestait de l’intérêt pour chacun. Il voulait connaître chaque nom, chaque histoire. Il portait à chacun une attention minutieuse, comme si la découverte de tout autre était semblable à un trésor.
Alan songea alors que c’était bien là la force du maître. Il ne spéculait absolument pas, il ne faisait aucune conjecture. Il ne réagissait pas. Il attendait de voir la réalité et rien d’autre.
Vous avez commencé le chemin de la solitude intérieure, celui qui conduit à la connaissance. Il faut accepter de se dépouiller de toutes ses idées, de faire taire en soi ce qui revendique de l’être, il faut s’oublier pour être libre.
… ce n’était pas l’expression de l’homme dominant la matière par la force de la technique et des machines, c’était juste le contraire, l’homme s’insérant dans le milieu avec respect. Ce qui permettait d’améliorer peu à peu les choses, c’était cette pugnacité que seul un cœur résolument modeste autorise.
" Même l'homme qui a une vie très dure, d'efforts, de souffrances, de privations et de solitude, doit se réjouir d'être en vie. La vie est ce qu'il y a de plus précieux car tant qu'on en bénéficie, on peut tout changer. Mais on ne change rien dans la mort. "
" L"enseignement exige que le maître reste debout quand on le salue à genoux.
Mais il ne peut le faire que parce qu'intérieurement, il se place plus bas que celui qui lui fait face. "