En regardant cette belle vallée, on a le loisir de songer que la terres entière c’est le grand pays, mais cela ne nous satisfait pas complètement. On se dit qu’il faut rendre la terre encore plus belle, par le bonheur des hommes et par les histoires que l’on apprend inlassablement.
(p. 208, Chapitre 11, “Comment on en vient à corriger ses défauts”).