Le palais de Persépolis, comme les palais assyriens, était sous bonne garde. Mais alors que, dans ces derniers, on s'en remettait volontiers à d'innombrables génies célestes, les Achéménides les avaient proscrits. Quelques sphinx androcéphales à l'extérieur, de temps en temps l'emblème d'Ahura-Mazda et, d'une efficacité encore plus certaine, le contingent indéfectible des dix mille Immortels.
Les réminiscences assyriennes ou mésopotamiennes, dans l'un ou l'autre des thèmes du décor sculptural, sont indéniables.
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