Babadag, de nouveau, comme il y a deux ans : le car fait un arrêt de dix minutes, le chauffeur s’éclipse, la marmaille fait la manche sans conviction dans la chaleur torride de midi, rien n’a changé. Seuls les billets de mille lei avec Eminescu ont disparu, remplacés désormais par de petits ronds en aluminium représentant Constantin Brâncoveanu.
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