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Critiques de Andy Seto (18)
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Tigre et dragon, tome 6

Ceux qui ont aimé le film Tigre et dragon vont adorer ce sixième volet de la série de manga adaptée de la même source. Ou, au moins, la moitié de ce volet. On y retrouve la jeune Yu Jiaolong et le chef des brigands Nuage de Demi-ciel. Leur relation fugueuse à travers le désert de Gobi est digne des plus grandes légendes amoureuses. Bien sur, un manga ou une bande dessinée ne peuvent décrire aussi bien l’éclosion des sentiments mais la passion peut s’exprimer via les dessins. Ne dit-on pas qu’une image vaut mille mots ? Je choisirais quand même les mille mots mais, entretemps, ce manga suffira. Deux tempéraments impétueux, indomptables, qui s’affrontent et se rencontrent, qui se perdre le moment d’un instant. Avec, en arrière-plan, des repères secrets dans les montagnes ou des nuits à la belle étoile dans la grande steppe d’Asie centrale… J’en veux plus, de cela !



Au même moment, dans la grande ville, le gouverneur Yu se fait du mauvais pour sa fille disparue. Li Mubai et Xiulian promettent de l’aider à la retrouver, mais la présence de ces deux maitres des arts martiaux inquiète Renaurd aux Yeux Verts, qui craint d’être démarsquée. Elle cherche à effrayer ces deux invités mais c’est le contraire qui se produit. Acculée, elle doit accepter le combat. Ce tome se termine sur duel inachevé, qui trouvera son dénouement dans le prochain tome (comme s'il y avait le moindre doute quant à l'issue du combat!). Cette partie de l’intrigue était moins intéressante et plus longue que l’autre, celle avec les jeunes amoureux, et c’est un peu dommage. C’est ce que j’aime moins avec les mangas, tout va trop vite !
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Tigre et Dragon, tome 7

Ce septième volet de l’adaptation en mangas Tigre et dragon est à l’image des précédents. J’ai peu à ajouter. Le duel entre Li Mubai et Renard aux Yeux Verts se termine abruptement par un stratagème de la combattante et de son amant. Après tout, le renard n’est-il pas l’animal le plus rusé de la Création ? Mais, la participation de Gao Langqiu attire sur lui les soupçons et, quelques heures plus tard, le Li Mubai le provoque pour tester les habiletés au combat de l’érudit. Est-ce que sa double identité et sa connaissance secrète des techniques de Wudang seront découvertes ? À part cela, je trouve regrettable que Yu Xiulian soit confinée à un rôle de second plan, essentiellement spectatrice des combats des autres. Pourtant, elle est douée au combat.



Toutefois, un point fort que je dois reconnaître au dessinateur, Andy Seto, c’est la façon dont il représente les duels. En effet, dans les arts martiaux, les attaques et parades, les différentes techniques sont non seulement nommées mais exprimées à travers les dessins. Par exemple, on voit quatre Li Mubai quand il utilise la forme de ‘’l’épée en quatre temps’’, puis une cigogne quand il emploie ‘La blanche cigogne dans le vent’’ et, enfin une immense créature quand vient le temps d’évoquer ‘’Le dragon des mers’’. De pareilles personnifications rendent visuellement plus attrayant des combats qui finiraient par se ressembler après plusieurs tomes.
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Tigre et Dragon, tome 5

Le dernier tome de l’adaptation en manga des romans Tigre et dragon se terminait en plein duel, alors que Li Mubai et Zhang Yujin battaient le fer. Mais le lecteur n’a pas le loisir de connaître le dénouement de ce duel. Du moins, pas tout de suite. En effet, ce cinquième tome nous ramène quelques années en arrière, alors que Renard aux Yeux Verts commençait sa vie de méfaits. Elle se débarrasse du Chevalier Muet, auquel elle a dérobé les fameux livres qui contiennent les croquis qui lui permettent de progresser dans les techniques du Wushu. Aussi, elle assassine Jiang Nanhe, le maître de Li Mubai. Bref, on y éclaircit certains éléments du populaire film d’Ang Lee.



Justement, ce tome fait le lien entre les deux adaptations. En retracant l’historique de Renard aux Yeux Verts, on découvre comment elle s’est retrouvée au service de la famille Yu, pourquoi elle a enseigné les arts martiaux à la jeune Yu Jiaolong (et en a été dépassée) et comment cette dernière s’est retrouvée entre les mains du chef des brigands Nuage du Demi-ciel. Si vous avez vu le film, vous vous rappelez cette scène grandiose de poursuite dans le désert de Gobi ? Eh bien, le manga s’arrête à ce moment. Ça promet pour la suite…



Andy Seto excelle à dessiner les personnages en action. Leurs costumes sont tout aussi bien réussis. Toutefois, je regrette que les arrières-plans soient un peu négligés. Certains sont bien mais un très grand nombre de cases ne montrent que de la végétation générique ou bien des lignes de mouvement. Celles-ci sont très colorées, tellement que j’avais l’impression de regarder le scénario d’un jeu vidéo plutôt qu’un chef d’œuvre de la littérature chinoise.
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Tigre et Dragon, tome 8

Que dire du huitième tome d’une série de manga ? J’ai évoqué à quelques reprises déjà les dessins, tant le style général, l’esthétique qui émane des albums que la caractérisation des personnages et la représentation de leurs mouvements. Au fil de mes critiques, j’ai noté les quelques éléments qui m’agaçaient mais surtout tout le bien que j’en pensais. Le même constat est à faire ici. Je pourrais ajouter que j’ai trouvé plusieurs angles bien choisis. En particulier vers la fin, quand Li Mubai jette un coup d’œil vers le haut, la toiture, alors que les silhouettes de Renard aux Yeux Verts et de sa jeune disciplice se perdent dans la lueur du soleil couchant. Aussi, les représentations du Qi, l’énergie vitale, étaient réussies particulièrement. C’est difficile de transposer sur papier des concepts abstraits.



Là où Andy Seto s’est également démarqué, c’est dans la sélection des aventures. En effet, le mangaka n’est l’auteur de Tigre et dragon, et il ne s’est pas inspiré du film du même nom. Le mérite en revient à Wang Dulu, qui a écrit sa saga d’arts martiaux au milieu du siècle dernier. Le manga comme le film s’en inspirent très librement et c’est pour le mieux car j’ai été plutôt déçu des romans. Au nombre de cinq, ils mettent en scène des centaines de personnages qui vivent (et revivent) de très, très nombreuses aventures sur deux-trois générations. Ouf !



Ainsi donc, comme je l’écrivais plus haut, Andy Seto a choisi les éléments qu’il préféraient, dont plusieurs recoupaient certaines présentes dans le film. Jusqu’à maintenant, ces ces m’avaient convaincu. Dans le cas de ce huitième tome, je le suis un peu moins. Le duel entre Li Mubai et Gao Langqiu me semblait un peu répétitif puisque les deux hommes venaient de s’affronter dans l’aventure précédente. Mais, pour le reste, je suis preneur. Les combats me rappelaient ceux de l’adaptation cinématographique, comme une danse. D’ailleurs, plusieurs cases mettent l’accent sur les pieds, comme pour nous le rappeler. Et la fin tragique, on peut dire le sacrifice d’un personnage, rachète tout. Puisque l’intrigue ne suit pas complètement la même chronologie que le film, je serai curieux de lire la troisième saison de cette série, soit les tomes 9 à 12, et voir où Seto nous amène. Quand elle sera traduite…
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Tigre et Dragon, tome 2

Dans ce deuxième tome de la série de mangas Tigre et Dragon, Li Mubai et Yu Xiulian font enfin équipe. Les deux s’étaient rencontrés brièvement dans le tome précédent (suffisament pour que le premier tombe amoureux de la deuxième) mais ce n’est que maintenant qu’ils font route ensemble et déroutent des bandits. C’est que la famille Yu voyage et se trouve à la merci d’anciens ennemis. L’intrigue se précise et c’est pour le mieux parce l’action se déroule plusieurs années avant celle racontée dans le fameux film, alors pas (ou peu) de référent. Le début m’a un peu mélangé, quelques uns des personnages (les passeurs) me paraissaient ressemblants à Mubai, alors les différencier était plus difficile que nécessaire. Pareillement pour Xiulian et He Jiane. À part cela, l’attention portée aux détails est inouïe. Dans ma critique du tome précédent, j’ai fait remarqué le soin apporté à reproduire l’esthétique asiatique de l’époque. C’est toujours le cas. Mais le grand talent d’Andy Seto est partout. Dans l’architecture des palais et des routes de pierres, mais aussi dans les intérieurs des plus modestes, comme une taverne, aux plus riches, où le mobilier, les ensembles de thé en porcelaine, les tentures, le détail des boiseries, etc, tout rappelle la Chine. On ne peut que tomber sous le charme, surtout quand Mubai et Xiulian admirent un coucher de soleil à partir d’un balcon… Le seul hic : c’est trop court !
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Tigre et Dragon, tome 1

Quand le film Tigre et dragon est sorti en salles en l’an 2000, je suis tombé sous le charme ; les romans desquels il était inspiré m’ont moins plu mais j’étais toujours partant pour me replonger dans cet univers. Ainsi, quand j’ai vu qu’il avait été adapté en manga, je n’ai pas hésité une seule seconde. Le mangaka chinois Andy Seto s’est vraiment approprié cet univers, il ramène ses lecteurs plusieurs années avant les événements racontés dans le film. Li Mubai tombe sous le charme (et l’adresse au combat) de Yu Xiulian qui, malheureusement, est déjà promise à un autre homme. Dans tous les cas, âme noble, il est prêt à venir en aide à sa famille, malmenée par des brigands.



Ce premier tome de la série n’est pas le plus palpitant. Il présente plusieurs scènes de combat, qui sont bien réussies, mais le rythme est néanmoins lent. C’est davantage l’intrigue qui m’a paru difficile à cerner. J’étais mélangé parce que, dans les premières pages, on ne voit ni Li Mubai ni Yu Xiulian, mais plutôt d’autres personnages (qui deviendornt importants dans les tomes suivants mais qui seront délaissés dans ce présent tome). Cet épisode sert surtout à mettre en valeur « Destinée », la fameuse épée verte qui trouvera son chemin jusqu’à Mubai… éventuellement. Dans ce premier tome, Seto met en place les personnages et leurs motivations. Le meilleur reste à venir.



Pour finir, les dessins sont excellents, réalistement dessinés. C’est important à préciser puisqu’il s’agit d’un manga, après tout. Andy Seto a réussi à transposer l’esthétique chinoise, que ce soit dans les costumes des personnages, leurs armes, et surtout dans les paysages (le passage où Li Mubai médite à l’école Wu Tang est hallucinant) et la décoration des édifices.
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Tigre et Dragon, tome 4

Les trois premiers tomes de la série de mangas Tigre et Dragon m’ont laissé une bonne impression, je redécouvrais des personnages et un univers agréables (bien que les événements relatés ici se déroulent avant ceux racontés dans le film de Ang Lee). Ce quatrième tome, même s’il ne m’a pas déplu, ne m’a pas marqué particulièrement. Je lui reproche ce que je reproche à plusieurs mangas : ne pas faire avancer l’intrigue. Les premières pages s’ouvrent sur le duel entre Li Mubai et Zhang Yujin, commencé dans le tome précédent. Quand j’ai déposé ce bouquin, le combat n’était toujours pas terminé ! Je suis conscient que c’est précisément ce que recherchent plusieurs amateurs du genre, des combats qui n’en finissent plus, mais quand même ! Quoiqu’il en soit, je peux donc résumer ce tome en quatre mots : deux adversaires s’affrontent. C’est trop peu pour moi ! Il y a bien cet intermède en plein milieu, quand des hommes de mains blessent traitreusement Li Mubai. Heureusement que Zhang est un bandit honorable et qu’il propose de continuer le duel le lendemain. Ça permet aussi de retrouver la belle Yu Xiulian… Pour le reste, il faudra attendre les tomes suivants. Soupir… Au moins, les dessins d’Andy Seto sont toujours à la hauteur, il réussit à transposer sur papier des concepts peu évidents, comme la canalisation de l’énergie intérieure des combattants. C’est peut-être un peu trop coloré pour mes goûts, s’éloignant d’une esthétique asiatique plus sobre, par moment frôlant avec le fantasy. Mais bon, encore une fois, je sais que ça plaira aux fans.
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Tigre et Dragon, tome 3

Avec ce troisième tome, j’ai l’impression que la série de manga Tigre et Dragon prend vraiment son envol. On y retrouve beaucoup d’action et de combat, au pourrait croire que c’est au détriment de l’intrigue mais c’en est plutôt une extension. Dans tous les cas moi, j’ai aimé ça. Dès les premières pages, le noble et valeureux Li Mubai croise le fer avec Wei Fengxiang, un bandit de grand chemin qui possède la fameuse épée «Destinée», celle que tous se disputent dans le film du même nom qui se déroule quelques années plus tard. Le combat est tellement intense et la technique de Mubai si incroyable (parfois, on dirait qu’il ne fait aucun effort !) que Fengxiang, même en canalisant son Qi, son énergie, n’arrive pas à en venir à bout, il s’incline. Toutefois, Mubai l’épargne. J’aurai pensé que le bandit en profiterait pour se débarrasser traitreusement de son adversaire mais non ! Il en est tellement inspiré qu’il promet de mener une vie meilleure, les deux devienennt amis. Ça tombe bien puisqu’un nouvel ennemi se pointe : Zhang Yujin. Ce dernier veut lui aussi «Destinée». Donc, d’autres duels, d’abord entre Fengxiang et Yjin, puis entre Yujin et Mubai. Et, même si on ne le croyait pas possible, les scènes de combats sont toujours plus époustouflantes. On y retrouve des éléments propres aux mangas (comme des lignes de mouvement) mais d’autres propres aux arts martiaux, surtout les style Wu Tang et Shaolin. Un peu comme dans le film, les duelistes peuvent provoquer des grimper le long des murs, sauter de hautes distances, mais aussi provoquer des coups de vent et des tornades qui emportent des tuiles des toitures des maisons. Encore plus, quand ils canalisent leur qi et s’en servent comme une arme, cette manifestation d’énergie colorée, belle et destructrice, c’est incroyable. C’est un concept difficile à transposer sur papier et Andy Seto le réussit à merveille. Au début, je n’en étais pas certain, ça me semblait un peu trop coloré, un peu dans le genre des histoires de fantasy (plus magiques que réalistes), mais je m’y suis habitué mais, finalement, je suis preneur. J’ai hâte de lire le prochain tome.
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Cyber Weapon Z, tome 1

Dans le monastère de Shaolin, trois sections sont créés pour amener les disciples à libérer leur énergie. Dans la section des 72 chambres où les disciples doivent apprendre et maitriser les 72 techniques de combat, il y a deux nouveaux : Park Iro et Anling.

Un manga hong-kongais trouvé dans une boîte à livres, je ne connaissais pas du tout le dessinateur, Andy Seto. Le manga en lui-même, est assez usé malgré la couverture cartonnée et des calques dessinées au début (éditions Tonkam), des pages étaient décollées. Le manga (manhua ?) en lui-même est assez correct : j'ai trouvé les dessins en couleur très soignés, le thème m'intéressait (le combat), dans un futur lointain. Il y a un peu de fantastique, un but pour certains et un mystèrieux inconnu qui vient déranger la tranquillité du monde... Un monde futur un peu compliqué mais les éléments commencent à se mettent en place et l'intrigue devient intéressante. A suivre si je tombe accidentellement sur le second tome ! Peut-être d'occasion...
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Cyber Weapon Z, tome 1

Qui se souvient de Tonkam, le libraire-éditeur de la rue des Ecoles qui œuvra a peu près autant que le grand Glénat pour faire connaître le manga et son univers culturel aux français ? Aujourd’hui absorbé par Delcourt, Tonkam a permis la publication d’auteurs majeurs comme Masakazu Katsura et, donc, Andy Seto sur le manga chinois Cyberweapon Z.



Ce « Manhua » (manga chinois) au titre improbable est une singularité dans l’édition de mangas en France et n’est plus édité aujourd’hui (mais on peut trouver la collection des 10 volumes en occasion sur le Bon coin ou les sites spécialisés). Sa principale qualité (outre sa longueur très raisonnable) repose sur ses graphismes tout en couleur directe (peinture). L’histoire est totalement banale (un traitre attaque le Temple de Shaolin, où sont réunies toutes les connaissances sur l’humanité et défendues par les techniques martiales ultimes…) mais guère pire qu’un Dragonball par exemple. On est dans le manga d’arts martiaux classique où l’on attend plus de beaux combats chorégraphiés qu’un scénario à la Hitchcock…



Sur ce plan donc on en a pour son argent. Le type sait tenir ses pinceaux même si par moment la foison d’effets spéciaux et de couleurs peut gêner la compréhension des cases. Mais c’est flamboyant, ça castagne à coup d’attaques spéciales aux noms improbables et de méchants invincibles. Une très bonne lecture « plaisir des yeux » en somme, une curiosité y compris pour le travail de fabrication très particulier de Tonkam, assez luxueux (rabat souple, pages de papier transparent et plein d’illustrations bonus). Attention cependant, la série étant assez rare, des coquins spéculent et les 10 tomes peuvent atteindre plus de 200€…
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The king of fighters Zillion tome 2

J'arrive en cours d'histoire mais comme il n'y en a pas ça ne me dérange pas, en gros c'est des gens qui se tape dessus avec des poings intergalactique. J'ai déjà vu des scientifiques ne pas être d'accord et j'ai eu de la chance si le ton montait un peu, là non taper, taper, taper. Par contre les dessins et couleurs sont MA-GNI-FIQUE !
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Cyber Weapon Z, tome 8

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Cyber Weapon Z, tome 5

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Cyber Weapon Z, tome 6

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Cyber Weapon Z, tome 2

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Cyber Weapon Z, tome 8

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Cyber Weapon Z, tome 4

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Cyber Weapon Z, tome 9

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