Plus tard, assis dans mon fauteuil avec la couverture sur les genoux, je laissai les heures s’écouler tout en écoutant la musique et en remplaçant mécaniquement l’aiguille du gramophone sur le départ. Ma main bougeait d’elle-même, si bien que le fait de déplacer l’aiguille devint partie prenante de l’œuvre, une façon de reculer le temps qui, dans le même mouvement, le poussait vers l’avant.