Après tout, le « mot trop grossier » de Baudelaire sur Hugo n’est peut-être pas aussi illisible que je l’avais cru. Y revenant, aidé, je lis sous les fines hachures : « Vraiment il m’emmerde.» Voilà comment le poète du Cygne s’exprimait en privé sur le poète des Contemplations.