Le pays d’accueil, riche, même si inégalement riche, a des devoirs envers l’immigré dont le travail lui est nécessaire. La France, en ce domaine, me semble généreuse, faisant largement profiter l’immigré de ses lois sociales et n’appliquant que rarement la rigueur des expulsions à certains étrangers, quand bien même, quelquefois, leur conduite serait à la limite de la légalité.
L’immigré a également des devoirs envers le pays qui le reçoit, ni plus, ni moins que les égards dûs à ses hôtes. Il a rarement choisi son pays d’accueil au hasard et a tenu compte parfois des anciens gestes d’amitié ayant pu lier les deux pays.
« Si tu as été vaincu une fois, deux fois ou davantage, combats de nouveau et le moment viendra où tu remporteras la victoire. »
(Epictète)
« Je veux qu’on soit sincère et qu’en homme d’honneur, on ne lâche aucun mot qui ne parte du cœur. »
(Molière)