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4.07/5 (sur 22 notes)

Nationalité : Espagne
Né(e) à : Madrid , 1975
Biographie :

Aranzazu Serrano Lorenzo est une journaliste et une écrivaine, auteure de fantasy.

Diplômée en sciences de l'information de l'Université complutense de Madrid, elle a collaboré pendant plus de 15 ans avec différents médias.

Elle publie son premier roman et le premier tome d'une série fantastique, "Neimhaim", en 2015.

son site : http://www.neimhaim.com/
Twitter : https://twitter.com/neimhaim

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Bibliographie de Aranzazu Serrano Lorenzo   (5)Voir plus

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Citations et extraits (35) Voir plus Ajouter une citation
—Je n'épouserai Sigyn, dit-il, que si elle accepte librement cette union. Trop de volontés, de par le monde, sont contrariées par des forces implacables. Je ne veux pas aller contre le désir de cette jeune guerrière qui a su triompher de mes propres défenses.
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En scandinavie les remiers peuplements sont apparus après la fin de la dernière glaciation, vers 10 000 av. J.C. Des tribus nomades y pratiquaient la chasse et la pêche vers 6500 av. J-C. Plus tard, vers 2 500 av. J; C;, elles sont devenues des sociétés d'agriculteurs-élevers. [...}
Il s'agissait sans doute de cultes animistes ou chamaniques sous formes de religioon qui attribuent une âme et un principe vital à tous les êtres, objets et phénomènes naturels. Le chamanisme est lié aux forces de la nature...
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L'équipé, qui n'avait emporté ni cordes ni outils d'escalade, car le défi consistait justement à attenidre le sommet sans l'aide de quoi que ce fût, se trovait maintenant à une altitude où le vent frappait avec une telle dureté que les aigles eux-même n'osaient s'y aventurer. ils étaient au-dessus des nuages et ne pouuvaient plus apercevir la terre. Une chutte aurait été fatale. Or, ils étaient certes des dieux, mais ils n'étaient pas immortels.
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Dans les pires visions, ce n'était pas un champs de céréales qui l'entourait, mais des marécages éternels sous un ciel dépouurvu de luune et d'étoiles. Il se voyait errant, les jambes engluées dans la vase, la peau purulente et la gorge meutrie par des plaies causées par l'air vicié. Ces fois -là, ce n'était pas sa douce épouse qui l'accueillait, mais une haute silouette féminine, aussi svelte qu'un sombre peuplier, aussi hautaine qu'une reine. Tout d'aboir, il ne la reconnait pas, car un long voile la recouuvrait entièrement. Seuls ses cheveux foncés dépassaient des plis, ainsi qu'une mains comme cicelée dans du marbre le plus pur, qui se levait devant lui dans un geste inquiétant geste de bienvenue.
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Le doute le rongeait. Ce n'était pas de gaité de coeur qu'il avait amené Loki à Asgard et qu'il avait traité aussi durement ses monstrueux enfants. Il l'avait fait à regret, mais c'était nécessaire. Il se rendait maintenant compte q'il avait fourni à Loki des motifs de vengeance. Pour la pemière fois depuis longtemps, il se demanda si cette déccision n'aurait pas des conséquences encoe plus néfastes.
3je dois troouver des réponses", se dit le Père de tous en posant son regard sur le trône vide de Blader. "N'aît crainte, mon fils. Je découvrirai qui ose lever la mais sur toi."
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En la regardant de près, il fut surpris par le bleu vif de ses pétales, qui évoquaient les yeux de Sigyn. Très ému Loki la cueillit et en pris le plus grand soin. Ce n'était qu'une fleur, elle n'avait rien de très spéctaculaire, mais elle avait une autre valeur. Il voulait en faire cadeau à son amie et attendait son heure. [A rapprocher d'une comparaison avec les yeux d'un animal dans les crimes de Grindelwald par le sorcier naturaliste...}
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Sleipnir l'attendait aux portes de son palais. D'instinct, il avait deviné l'appel du seigneur d'Asgard. La bête imposante hennit et frappa le sol, elle ressentait la nervosité de son maître. Alors, Odin appuya son front contre celui de l'animal et lui murmura :
- Nous devons partir en voyage, mon ami. Tu dois me conduire dans un lieu que je n'aime pas affronter. Mais je sais que tu n'a peur de rien. [note de Pégase Shiatsu : très révélateu : les chevaux oont peur de tout, c'est normal, ce sont des proies... mais que ce soit un guerrier ou un simple voyageur, le cavalier dresse sont cheval pour qu'il n'ait peur de rien de ce qui peut être prévisible sur soon passage.... et sur un champ de bataille il y a quantité de chose dont un chevla à normalement peur... Ici on parle du cheval du guerrier tellement bien dressé à être aux ordres, qu'il a plus confiance en son calvalier qu'au bruit assourdissant du canon dont normalement il devrait avoir peur... ce n'est donc pas un détail pour faire joli.... c'est vraiment un détail important pour un peuple de guerrier.]
Sleipnir hennit à nouveau, impatient de partir.
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Soudain, ils furent interrompus par une détonation dans les hauteurs du ciel. Ils levèent les yeux, pensant voir Thor descendre sur sn char. Ce n'était pas le fils d'Odin, c'étaient les valkyries. Ils les reconnurent à leurs chants guerriers qui résonnaient au-dessus des nuages.
Leur arrivée fut spectaculaire. Les nuages s'ouvraient sur leur passage. Les guerrières ailées venaient de Midgard avec un précieux chargement. Elles brandirent leurs lances avec fierté pour saluer les habitants d'Asgrad. Leurs montures avaient leurs flancs baignés de sang et les pattes maculées de boue. Elles galopaient dans le sens du vent d'une allure altière. Dans leur sillage, le firmament se teintait de sang, le crépuscule s'allumait d'une smopteuse couleur vermillon qui semblaient venir des blessures des corps qu'elles transportaient. {note de Pégase Shiatsu : à comparer avec la vision du ciel qu'à Légolas avec ses yeux d'Elfe alors que des soldats du Rohan ont massacrés les Orcs qui retenait les cousins de Frodo.]
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[note 2 p 68]
Les calendriers juilien et gréogorien sont des calendriers solaires.[note de Pégase Shiatsu : comme le calendrier Chinois mais qui placent solstices et équinoxes en milieu de saisons et pas au début où à la fin d'une saison, ce qui au niveau de la longueur des jours semblent plus logique] qui mesurent le temps à partir des mouvements du soleil, mais beaucoup de cultures de l'Antiquité se fondaient sur la Lune. [comme celui des Mongols, qui sert parfoois à introduire la lune dans le calendrier solaire des CHinois ; calendrier solaire : début de l'année et premier jour du printems : 4 février , calenrier lunaire chinois : date variable en fonction des Lunes autour du 4 février.]. Les Vikings et les peuples germaniques mesuraient le passage du temps en cycle luniares. Chaque cycle équivalait à peu près à vingt-huit jours.
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Ses pires craintes se matérialisèrent en voyant sa mère arriver avec les yeux cerrnés et un air sombre, ce qui était plus parlant que n'importe quel discours. Il ui suffit de croiser son regard pour savoir qu'elle craignait pour la vie de son fils et que ce danger était imminant.
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