Mon oncle se rappela que le temps lui était compté. Plus les heures sont chères, plus l’époque est de fer. Il me dit qu’il comptait faire à présent une ronde. A rester dans l’air confiné du poste de police, il allait définitivement se ruiner les poumons. / Nous nous sommes levés au même instant et nous sommes sortis. Quand l’oncle a libéré le chien de sa cage, je lui ai dit : « Tout cela est tellement … « / « Déprimant ? » m’a-t-il demandé ? / « Voilà » / « Je ressens la même chose, mon garçon. Une horreur !
Nous vivons une foutue époque.