Tu t'ouvres aux funestes sentiers de la nuit, à ses obscurs rougeoiements. Hors d'un long puits tu t'éveilles aux ténèbres, à ce destin dont tu as tant retardé l'avènement. L'horizon où plonge ton regard est imaginaire, et le vent qui souffle de la mer, si violent qu'il sèche toutes tes larmes. Il fait claquer à toute volée les portes du passé derrière toi.