Toujours la même histoire!
Vous venez nous dépouiller de notre Souffle
puis nous empailler de votre Chair.
Nos corps deviennent
des mots dans vos histoires;
notre horreur,
des performance dans vos arènes;
nos visages,
des masques sur vos murs;
nos esprits,
des ombres dans vos images...
(...)
Et pourquoi ne pas partager nos peines comme vous le faites avec nos terres et notre pain?