Qu’il s’agisse de ce boulot ou de l’autre chose, qu’il devienne pérenne ou que mes fantasmes se réalisent, je formule une conclusion qui m’émeut le matin du grand jour : c’est la première fois en dix mois que je suis heureuse de me sentir trop vivante. Je ne suis pas loin d’imploser à nouveau mais sans culpabilité, ni amertume ni terreur.