(...) rien ne disparaît, ni le bien, ni le mal, rien ne se dissipe. Chaque instant pèse de tout son poids. Nous sommes infestés, contaminés, nos cellules, nos globules, nos nerfs ont la charge de notre histoire. La mémoire se répand dans les tissus, coule dans les veines, elle fait des ravages. (p. 115-116).