Citations de C. L. Werner (18)
Quelle tristesse que de voir la tiédeur érigée en stratégie .
La chair est faible et elle peut être trompée. Seule la machine est infaillible.
Là dans l'obscurité, de sauvages intelligences l'avaient trouvé
Pour un meurtrier sociopathe, tu parles trop
Malgré l'enfer qui grondait autour de lui , il avait décidé de voir venir la mort quand elle se présenterait à lui.
L'obéissance ne souffre aucune excuse
Il semblait qu'il restait toujours trop de chairs en lui pour en faire un être complet.
Malgré toute leur fragilité et leurs faiblesses, les hommes s'accrochaient à l'illusion que leur existence avait de la valeur.
Comme les arbres d'un paysage infernal dont les feuilles auraient étés de cendres
L'inaction stratégique. C'était le type de trahison le plus malin qui soit
L’efficacité entretenue par la paranoïa était une chose que les Iron Warriors utilisaient pour contrôler leur flotte.
Car dans dans toute cette galaxie, rien n'était plus tenace que la haine.
Obéissance. Travail. Fidélité.
Les trois mots, aux lettres hautes de dix mètres et martelées dans l’acier, s’étalaient sur le mur cyclopéen. Des traces de corrosion dégoulinaient de chaque lettre et coloraient le ferrobéton auquel elles étaient boulonnées. Au pied des murs, un étroit caniveau guidait l’eau sale dans des puits de drainage, où elle se mélangeait aux rejets des fourneaux pour donner ce ruisseau toxique qui serpentait au milieu du bourdonnement surchauffé des fonderies.
Un long comptoir fait de planches pour cercueils recyclées dominait un côté de la salle commune. Des buveurs s’agglutinaient le long du bar pour réclamer à cor et à cris de quoi s’abreuver. Des baleiniers vêtus de leurs cirés encroûtés de sel frayaient avec des pêcheurs de homards bossus aux mains couturées de cicatrices infligées par les pinces de leurs proies. Des chauffeurs, qui passaient leurs journées à touiller d’énormes chaudrons remplis de graisse de baleine à raffiner, tentaient d’apaiser leur soif brûlante par des bières bien fraîches. Des marchands et des dockers, un pied botté calé sur la barre de cuivre fixée au bas du bar, se mentaient les uns aux autres sur leurs chiffres de la journée. À toute cette faune qui cherchait à se délasser de ses labeurs se mêlait une seconde catégorie de gens, dont l’occupation consistait justement à leur permettre de se distraire. Il y avait des joueurs et des maquereaux, des fournisseurs de biens et des prestataires de service, qui s’approchaient eux aussi du comptoir pour lier connaissance avec ceux qui s’y rassemblaient.
La chair blafarde de la chose était nue sous les étoiles ,uniquement recouverte de zébrures , de furoncles et de lésions.Toute sa carcasse étaient marquée de minuscules peste-runes dont les larmes de bave et d'immondice roulaient sur son énormité.Chauve et bouffie , la créature adressa à l'étranger un sourire flasque.
L'odorat affuté du skaven pouvait facilement détecter l'odeur de ses congénères ,mêmes morts. Il n'éprouvait pas vraiment d'horreur face au trépas de ses semblables. Rares en fait étaient les skavens qui ne s'étaient jamais livrés à des actes de cannibalisme en période de grande disette .La mort était la mort ,et la viande ...c'était de la viande.
En temps de guerre, on recrute des guerriers, pas des saints.
"Connais-tu cet instrument ?demanda le Duc Rouge à Corbinian.C'est une invention arabienne , utilisée pour punir celles qui ne respectent pas les règles du harem. d'un calife. La criminelle est allongée sur la table et les crochets se plantent dans sa peau. Il suffit ensuite d'actionner le treuil pour la faire glisser sur les crochets et l'écorcher. Cela prend du temps.