L’homme oublie toujours que ce qui fut bon une fois ne le reste pas éternellement. Il continue à suivre les voies anciennes, autrefois bonnes, longtemps après qu’elles sont devenues mauvaises et ce n’est qu’au prix de très grands sacrifices et de peines inouïes qu’il peut se délivrer de l’illusion et comprendre que ce qui fut autrefois bon a peut-être vieilli et ne l’est sans doute plus.