Comment ce corps sur lequel j’ai tant compté, cette machine à vivre, mon fidèle outil à plaisirs même quand le sexe avait cessé son emprise, peut-il en être réduit à une simple masse, inerte ou presque, qu’il faut nourrir et panser, ce champ morne ou guetter les symptômes, ou recenser les défaites successives?
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