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Critiques de Caroline Stevermer (12)
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Le collège de magie

Bon, que dire, que dire, ce roman est juste lent, long, plat, mou, sans intérêt aucun en fait.



En ce qui concerne la forme, beaucoup d'ineptie du genre : « Gavraine leur a fait allumer un feu et la cheminée doit être ramonée, parce qu'elle tire parfaitement... » ou encore « Au plus, il a une sorte d'arôme, comme s'il s'était trouvé voisin de magie, il y a longtemps, peut-être ». Et je ne parle pas des 150 premières pages où la majorité des dialogues sont complètement abscons. Si encore c'était de l'humour mais ça ressemble plus à l'utilisation d'un traducteur automatique comme celui de google qui traduit le luxembourgeois. Essayez, c'est assez instructif !

Rien à voir avec l'ambiance amicale et magique des Harry Potter, la collège de magie ici n'a rien de magique, on y parle maintien et rhétorique, quand c'est compréhensible bien sûr ;-)



Et que dire du fond, c'est brouillon, insipide, l'auteure multiplie les allusions et les genres et se perd très certainement dans son organigramme qu'elle n'a peut-être pas fait et ça expliquerait bien des choses.



Reste les personnages, et bien, là aussi, la sauce n'a pas pris. Aucune empathie, aucune sympathie pour des figures si peu décrites, si froides, si pompeuses et si prétentieuses.



Dieu quel ennui et je suis pourtant arrivée au bout des 532 pages de ce roman que je ne conseille à personne !

Il y a quand même un côté positif, je ne l'ai pas acheté :-) Juste trouvé à la déchetterie où il retournera très vite ;-)
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Le collège de magie, tome 2 : L'étudiant de magie

Flegme britannique, ambiance victorienne, situations désopilantes : l'ambiance délicate et parfaitement loufoque opère à nouveau, et on est sous le charme de cette aventure bien particulière. Le roman est bien mené, enlevé, plein d'humour, bref, on en redemande. Si vous aviez aimé Le Collège de magie (notez que les deux se lisent indépendamment sans problème), n'hésitez plus !
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Le collège de magie

Ça commence comme Harry Potter –une orpheline sous la tutelle d'un méchant oncle, envoyée dans une école de magie –...mais c'est totalement différent!

Tout d'abord, Faris Nallanine ne pense qu'à une chose : rentrer chez elle, pour le bien de son duché, le Galazon. Et puis l'ampleur de l'intrigue se déploie, au fur et à mesure de ses rencontres. Chacune lui permettra de progresser sur la voie qu'on lui a choisie.

Les événements sont parfois déroutants : Faris est, par exemple, assez indisciplinée mais en même temps particulièrement soucieuse de l'étiquette; voilà qui donne lieu à de savoureux échanges (je pense notamment au thé avec son oncle au Clos Galazon, vous m'en direz des nouvelles).

L'auteur dépeint dans son roman une fresque de l'Europe au XIXe, à l'ambiance parfois anglo-saxonne tout en restant décalée à cause des interactions magiques. L'étendue de l'action est dévoilée petit à petit, ce qui laisse au lecteur le temps de se familiariser avec les données de l'équation. Restant dans une atmosphère fascinante, l'ouvrage n'en dissimule pas moins certains éléments essentiels. Assistant au processus de réflexion de l'héroïne, le lecteur se doit de parcourir le même raisonnement s'il veut comprendre certaines choses. Malgré cela, la fin n'est pas convenue (même si certains détails sont prévisibles) et l'écriture continue de surprendre.

L'originalité provient également du décalage entre titre et contenu: Le Collège de Magie. En réalité, la partie purement scolaire est assez longue et, curieusement, il est précisé dès le départ que les étudiantes n'étudieront pas la magie. On a là un bon exemple de roman initiatique, dans une ambiance à la limite entre la fantasy et l'uchronie (voir certains événements historiques détournés). En définitive, ce roman m'a beaucoup plu, malgré quelques lenteurs à démarrer et à se repérer dans le système narratif.
Lien : http://encres-et-calames.ove..
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Les Collèges de magie, Tome 2 : L'équilibre des..

Si vous avez aimé Le Collège de magie, foncez sur L’Équilibre de chant! Si vous ne l'avez pas lu, foncez quand même, car il n'est pas nécessaire d'avoir lu le premier tome pour lire celui-ci.

Tout ce qui faisait le charme du Collège de magie se retrouve dans cet opus : flegme britannique, situations désopilantes et humour pince-sans-rire sont à nouveau au rendez-vous. On retrouve Jane avec beaucoup de bonheur. Au fil des pages, on se laisse bercer par l'ambiance feutrée mais un tantinet loufoque mise en place par l'auteur. Le répit est de courte durée, les actions s'enchaînent (parfois sans logique apparente), pour nous mener vers un surprenant final. En somme, c'est drôle, brillant, enlevé, plein d'humour, et à savourer (évidemment), avec une tasse de thé!
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Le collège de magie

J'ai bien aimé ce livre. l'atmosphère était envoutante et délicate. La lecture est facile et les pages se tournent toute seule. L'héroïne, Faris, a un caractère de cochon et se trompe parfois dans ses jugements mais ses aventures sont délicieuses à suivre.
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Le collège de magie

Mais c'est quoi ce livre ? Non mais sérieusement si c'est une blague c'est vraiment pas drole ? Alors on commence par où la critique ? Par le coté très lent de l'histoire ? Par les passages à rallonge et les passages sautés qui nous perturbent quelque peu ou les personnages auxquels l'on ne s'accroche pas ?



Déjà rien que le nom du livre : "Le collège de magie" mais pourquoi ce titre ? Vraiment en lisant le résumé je me suis dit "chouette un harry potter qui se passe en France". Mais quelle idiotie c'était de penser ça ! Le collège ne dure qu'une centaine de pages ! Rien à voir avec ce livre !



Un livre vraiment creux que je ne vous recommanderais absolument pas et que je vous déconseillerais fortement. Un livre qui m'a déçu. Je ne pense même pas lire la suite. Car oui il y a une suite. Nulle part sur le livre il y a marqué : "Le college de magie - tome 1 - L'équilibre des ancres". Là on aurait pu comprendre un peu mieux le fait que l'histoire ne se déroule pas du tout au sein du collège. Le tome 2 s'intitulera "L'équilibre des chants"
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Le collège de magie

L'histoire est un peu lente a démarrer et bien moins palpitante que le laisse croire la quatrième de couverture mais cela ne pas empêcher d'apprécier le récit.
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Le collège de magie

Un livre un peu décevant, surtout quand on lit fréquemment de la fantasy où la magie est omniprésente. L'héroïne n'est même pas très attachante. Le rythme est lent. Et la scolarité de l'héroïne n'apporte pas grand chose à l'histoire et est très ennuyeuse.
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Le collège de magie

J'ai un peu de scrupules à mettre mon avis, puisque je n'ai pas terminé le livre.

A aucun moment, je ne suis rentrée dans l'histoire. J'avais l'impression de perdre tous mes repères de lecture. Les repères spatiaux, tout d'abord. Verteloi, par sa configuration géographique, me rappelait trop un haut lieu normand que je connais bien, et je ne parvenais pas à me détacher de mes connaissances réelles pour rentrer dans ce monde imaginaire.

Les repères temporels, ensuite. L'époque n'est pas clairement identifiée (c'est sans doute normal dans ce genre littéraire que je connais peu), et j'ai même eu du mal avec la vitesse narrative. Parfois, j'ai eu l'impression que le temps s'accélérait brusquement, ou au contraire se dilatait démesurément.

Quant aux personnages, ils ne m'ont ni touché, ni même simplement intéressé, si ce n'est le personnage de Tyrian que j'ai trouvé intriguant. Faris et son oncle me semblent trop stéréotypés (la jeune fille, certes un peu rebelle, spoliée par son méchant oncle tyrannique) pour que leur lutte retienne mon intention.

A réserver à ceux qui sont fans de magie et de fantasy.
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Le collège de magie

Faris Nallanine est l’héritière d’un petit duché d’Europe centrale. Trop jeune pour exercer son titre, elle est contrainte d’en laisser la régence à son oncle et de s’exiler dans un collège français. Celui-ci est pour le moins austère mais on y enseigne l’inattendu : la magie. Dans une Europe partagée entre des pays bien réels, et d’autres purement imaginaires, Faris est donc appelée à apprendre ce qu’elle ne soupçonnait pas. En substance, elle comprend que l’univers est une mosaïque de cinq sphères. Le monde connu est la sphère terrestre, la plus basse et la plus matérielle, qui se trouve au coeur de quatre sphères célestes enchâssées : Septentrion, Midi, Levant et Ponant. Chacune de ces dernières est dotée d’un gardien dont les magies respectives sont les garantes de l’équilibre de la sphère terrestre, laquelle est quasiment dépourvue de toute magie. Une fois ces bases acquises elle apprend également qu’elle est appelée à devenir gardienne du Septentrion, et que pour ce faire elle doit refermer une brèche ouverte par l’une de ses ancêtres, et qui met à mal l’équilibre de sa région d’origine. Dans cette dernière, les machinations politiques font en effet rage, l’enjeu n’étant rien de moins que le propre duché de Faris.

En dépit de son titre et de sa thématique, Le collège de magie est une œuvre personnelle en tous points, à commencer par son ambiance et son ton. L’ambiance est en effet celle de l’Europe du début du XXème siècle, caractérisée par les premiers résultats concrets de la révolution industrielle, et par le raffinement des élites de la société. Le ton est à l’image de ce dernier ; Faris, et encore plus sa meilleure amie, Jane, sont dotées d’une éducation très « anglaise », et de l’humour que l’imaginaire collectif y rattache généralement. En outre, la magie qui est au cœur du roman est très subtile dans sa théorie comme dans sa pratique.

On touche certainement ici à la principale faiblesse du roman. Le lecteur se perd en effet facilement dans ce qui lui est raconté tant le système de magie est complexe. De même les intrigues politiques sont parfois difficiles à appréhender, l’auteure ne parvenant pas à nous en démêler tous les fils. Pour autant le roman se laisse lire avec plaisir et se comprend finalement parfaitement bien. Seuls quelques points resteront probablement obscurs dans l’esprit du lecteur. Et comme l’univers décrit est intéressant et les personnages attachants, Le collège de magie se pose in fine comme un divertissement de qualité.
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Le collège de magie

Sympathique à lire. Les personnages sonnent juste , les dialogues sont corrosifs mais plein d'humour. l'intrigue est bien menée et il y a de l'idée . Je n'ai rien à reprocher a ce livre mais après Harry Potter ca parait un peu fade. J'aurais peut-être du attendre encore quelques années avant de le lire.
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Le collège de magie, tome 2 : L'étudiant de magie

C'est avec un pu plaisir que je me suis de nouveau plongée dans l'univers créé par Caroline Stevermer. Après le premier opus L'équilibre des ancres qui se passe entre les murs de Verteloi, collège de magie pour jeunes filles, nous voilà cette fois chez leur pendant masculin, Glasscastle, antique et prestigieuse université de magie perdue dans la campagne anglaise. (Mais les deux peuvent tout à faire se lire indépendamment l'un de l'autre).



Samuel Lambert, jeune aventurier américain de 23, et surtout fine gachette, est recruté par l'université pour participer un curieux projet qui consiste en tirer sur des cibles avec les armes les plus diverses. Et pour quoi faire? Mystère...car s'il y a bien une chose à Glasscastel c'est que les étrangers, même si bien accueillis, ne sont pas mis dans la confidence. Voilà que très vite d'étranges événements, qui semblent liés au projet, se produisent. D'abord la disparation de Robert Brailsford, sociétaire de l'université devenu un ami, puis celle de Fell, professeur de Glasscastle qui a bien voulu prendre Lambert sous son aile...et son toit. C'est aidé de Jane, professeure à Verteloi et soeur de Robert, que Samuel va tenter de démêler les fils de ces mystères et lever le voile sur ce qu'il se cache derrière le projet et les murs de Glasscastle.



Voilà un roman délicieusement envoutant et captivant qui nous plonge dans l'ambition des universités anglaises de la fin du XIXème siècle. L'auteure fait la part belle à l'humour aux travers des savoureux échanges entre les différents personnages (notamment Jane et Lambert). Le mystère persiste jusqu'aux derniers moments sans pourtant jamais nous ennuyer ou trainer en longueur. Les pages défilent portées par une plume poétique et tout à fait adaptée à l'ambiance et à l'époque. Et pour ne pas bouder son plaisir on retrouve ici la pétillante Jane, sans oublier son franc parler et ses idées en avance sur son temps.



Un délice!
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