LE DEPART
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ce soir je ne me comprends pas,
ce serait pourtant simple : il suffirait d'écrire,
au moins une fois,
un très bon roman,
pas quelque chose qu'on lit uniquement
quand on a le temps,
non,
une déflagration,
qui m'emporterait, jusqu'à la fin, dans les montagnes.
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