Je n’eus jamais peur des textes comme je ne trouvai jamais que mon nouvel ami fût sévère ou que le noir fût noir. Cette teinte honnie par ma mère restait pour moi une couleur absolue, contenant toutes les autres couleurs. Et le génie des auteurs que j’aimais entretenait un rapport catégorique avec le noir : il me donnait la lumière.