Il se mit sous un tonnelet et en avala une bonne gorgée. Ce n’était pas un petit jeunot comme lui qui allait me la faire : je me mis sous un autre baril, ouvris le robinet et avalai. Et puis je me relevai. Je commençais à me sentir bien.
[…]
Je ne m’étais jamais senti aussi bien. C’était encore mieux que de se masturber.
J’allai de tonnelet en tonnelet. C’était vraiment magique. Pourquoi est-ce qu’on ne m’en avait pas encore parlé ? Comme si avec ça, la vie n’était pas géniale ? Comme si avec ça, l’homme ne devenait pas parfait ! Plus rien ne pouvait l’atteindre.