Critiques de Charles Demassieux (14)
Dès les premières pages du roman, le lecteur est happé par l’annonce que pour la première fois de sa carrière le lieutenant de la criminelle Etienne Proto va devoir affronter un criminel raffiné et immanquablement fascinant. Un début qui semble intéressant et prometteur. Plusieurs corps sont retrouvés. Le tueur en série est joueur, il ose même provoquer le lieutenant en lui téléphonant. Agit-il au hasard ? S’agit-il d’une histoire de vengeance ?
Au début de ma lecture, tout semblait bien partie mais malheureusement j’ai été déçue par le contenu qui pour moi n’a pas été assez travaillé, un besoin d’approfondir davantage les personnages, les évènements, s’est fait sentir au fil des pages. Mon intérêt est malheureusement retombé
Au début de ma lecture, tout semblait bien partie mais malheureusement j’ai été déçue par le contenu qui pour moi n’a pas été assez travaillé, un besoin d’approfondir davantage les personnages, les évènements, s’est fait sentir au fil des pages. Mon intérêt est malheureusement retombé
Carole-Anne de Saint-Gabriel est jeune conservatrice et l'assistante de Théodore Radot, un veuf quinquagénaire, et conservateur en chef du musée du domaine de Chantilly.
Le cadavre dépecé d'un enfant de 5 ans est découvert dans la salle des Clouet. Alain Sartet fait parti du cabinet du ministre de l'intérieur et découvre une lettre manuscrite posée près du corps de la victime, avec le sceau authentique du Vatican sur l'enveloppe. Tout laisse à croire que le meurtrier récidivera...
Sartet et le duchesse de Galénaïs mèneront cette enquête mystérieuse ensemble ainsi que Radot et Artémisia Villani. Certains ouvrages ont disparu. Que cache le cardinal Pradel ? Le frère de Radot, Alexandre se révélera un personnage important dans le récit.
Angoisse et peur de problèmes diplomatiques sont de mises car le Vatican serait impliqué, mais comment et pourquoi ? De plus, les dissimulations et le discernement sont indispensables politiquement parlant...
Le meurtrier serait investi d'une mission divine pour éliminer une hérésie alors que pour d'autres ce serait une découverte religieuse inestimable. Il faut absolument écarter un soulèvement mystique !
De plus, Théodore a une fille nommée Mathilde qui est la dernière descendante de Gaspard Radot l'ancêtre de la famille, famille sous le coup d'une très ancienne malédiction d'Archibald comte de Saint-Hiver, légende ou vérité ?
Dans ce roman, les mystères sont nombreux ainsi que les rebondissements et l'action, l'auteur ne donne aucun répit au lecteur à la manière des romans Da Vinci Code dont je suis fan. De plus, les descriptions, textes et citations historiques et culturelles foisonnent ce qui agrémente richement cette histoire. En bref, je me suis régalée.
Lien : http://larubriquedolivia.ove..
Le cadavre dépecé d'un enfant de 5 ans est découvert dans la salle des Clouet. Alain Sartet fait parti du cabinet du ministre de l'intérieur et découvre une lettre manuscrite posée près du corps de la victime, avec le sceau authentique du Vatican sur l'enveloppe. Tout laisse à croire que le meurtrier récidivera...
Sartet et le duchesse de Galénaïs mèneront cette enquête mystérieuse ensemble ainsi que Radot et Artémisia Villani. Certains ouvrages ont disparu. Que cache le cardinal Pradel ? Le frère de Radot, Alexandre se révélera un personnage important dans le récit.
Angoisse et peur de problèmes diplomatiques sont de mises car le Vatican serait impliqué, mais comment et pourquoi ? De plus, les dissimulations et le discernement sont indispensables politiquement parlant...
Le meurtrier serait investi d'une mission divine pour éliminer une hérésie alors que pour d'autres ce serait une découverte religieuse inestimable. Il faut absolument écarter un soulèvement mystique !
De plus, Théodore a une fille nommée Mathilde qui est la dernière descendante de Gaspard Radot l'ancêtre de la famille, famille sous le coup d'une très ancienne malédiction d'Archibald comte de Saint-Hiver, légende ou vérité ?
Dans ce roman, les mystères sont nombreux ainsi que les rebondissements et l'action, l'auteur ne donne aucun répit au lecteur à la manière des romans Da Vinci Code dont je suis fan. De plus, les descriptions, textes et citations historiques et culturelles foisonnent ce qui agrémente richement cette histoire. En bref, je me suis régalée.
Lien : http://larubriquedolivia.ove..
« Ça a débuté comme ça. Moi j’avais jamais rien dit. Rien. » C’est mon éditeur qui m’a conseillé : « Faut te storytéler mon petit Ferdinand ! » qu’il m’a dit en oubliant que je m’appelais Charles, né le 1er juin 1971 – le même jour que Norma Jeane Baker, mais sans poitrine bien entendu ! – ; pas sous X, malgré la dernière lettre de mon nom, qu’est d’origine aussi noble que les tripes à la mode de Caen !
Donc, hélas : « Je [ne] suis [pas] né dans la ville d’Aubagne, sous le Garlaban couronné de chèvres, au temps des derniers chevriers. » Pas mal de choses auraient été différentes, en effet, si mes parents s’étaient appelés Augustine et Joseph…Passons !
Alors une fois né, eh bien, comme tous les marmots : « Longtemps, je me suis couché de bonne heure. » Et toujours de bonne heure j’ai lu. Je vous mentirais si j’affirmais que j’ai commencé par La recherche du temps perdu ! C’était plutôt Tintin, Astérix, Pif gadget, un peu Jules Verne et d’autres dont j’ai oublié le nom.
Où je vivais ? Disons que j’ai pas mal bougé dans l’Hexagone, entre le Nord et le Sud-Ouest. Mon histoire ne se passait pas : « à Mégara, faubourg de Carthage, dans les jardins d'Hamilcar. » Désolé ! A partir de 1983, destination Paris. Et là, moi aussi, même si je ne suis pas charentais, j’ai découvert « Paris tortueusement couché le long des deux rives de la Seine où commençaient à briller les lumières. » ; mes « yeux s'attachèrent presque avidement entre la colonne de la place Vendôme et le dôme des Invalides » ; et si je ne me souviens pas avoir « dit ces mots grandioses : “A nous deux maintenant !” », je les ai pensés, vous pouvez me croire !
Cette vieille traînée, que j’aime désormais autant que je la hais, et dans laquelle je me félicite de ne plus respirer, je l’ai regardée changer. Si je vous raconte, par exemple, qu’à la place de l’actuel Parc de Bercy, je me suis un jour baladé, appareil photo en pogne, et j’ai flashé des tonneaux de vin, parce que là c’étaient des entrepôts à pinard ! Pareil, j’ai connu le quartier Saint-Michel du temps où il y avait plus de librairies que de magasins de fringues. Et puis j’ai vu du monde, en concert, sur les planches, dans la rue même. Véridique : un jour je traîne mes guêtres sur les quais et soudain j’aperçois Lanvin et Villeret habillés comme des pauvres. « Grandeur et décadence » que je philosophe. Erreur : derrière eux j’aperçus le plateau de tournage. J’ai appris plus tard que c’était pour le film Les Frères Pétard ! J’ai aussi vu Luchini entrer en transe, récitant « L’arrivée à New York » du Voyage de Céline. Dans la salle il y avait l’exquise Nathalie Baye. Chez les morts, j’ai croisé l’humanité devant la tombe de Baudelaire, à Montparnasse…Des souvenirs qui restent.
Mais voilà, comme « (la forme d'une ville / Change plus vite, hélas! que le cœur d'un mortel) », Lutèce m’a beaucoup moins séduit avec le temps. Heureusement, je passais – pour des raisons aussi chiantes à raconter qu’une histoire drôle de repas arrosé ! – pas mal de temps en province, particulièrement en Normandie.
Pareillement, on pourrait dire de moi : « Il voyagea [un peu]. Il connut […] l’étourdissement des paysages et des ruines, l’amertume des sympathies interrompues. » Et c’est pas grave si je ne m’appelle pas Frédéric.
Dans le même temps, après avoir été poursuivi par une année de Psychologie (mais elle ne m’a pas rattrapée : je cours vite !), je poursuivais des études de Lettres modernes, tâchant de réparer mes lacunes littéraires, à une époque où je ne jurais que par Kafka. Soudain, je découvrais que Flaubert, Stendhal, Hugo, Zola, etc., c’était bien, et je « rencontrais » Pérec, Breton, Eluard et d’autres. Mes études de Lettres, je les considère aujourd’hui comme un grand catalogue dans lequel j’ai puisé pour me construire une identité de lecteur, que je ne saurais comparer à mon identité d’auteur. Je ne suis, et ne serai sans doute jamais, un écrivain : pas envie de faire les sacrifices nécessaires pour le devenir.
Bon, il y eut un imprévu qui m’obligea à repenser mon égocentrisme maladif : la naissance de mon fils. Ca a l’air con de l’écrire, mais quand je l’ai vu sortir du ventre de sa mère j’ai eu l’impression d’avoir chouré un morceau de Paradis. J’en dirai pas plus sur ce sujet, rapport que : « Le silence est un aveu »…pas besoin d’en rajouter.
De ces lectures, ces voyages, ces visites et spectacles, ces rencontres aussi, j’en ai retiré le goût de raconter, bien ou mal j’en sais que dalle. Raconter, mon maître-mot et, si c’est possible : divertir. Je n’ai pas d’autre prétention. Je suis de toute façon meilleur lecteur qu’auteur, alors pas la peine de m’arracher les cheveux : ça me va.
Pour conclure, le père Maupassant avait raison, la vie « ça n’est jamais si bon ni si mauvais qu’on croit ». Et on croît avec ce qu’on nous donne et ce qu’on trouve…
A la revoyure !
Charles Demassieux
Donc, hélas : « Je [ne] suis [pas] né dans la ville d’Aubagne, sous le Garlaban couronné de chèvres, au temps des derniers chevriers. » Pas mal de choses auraient été différentes, en effet, si mes parents s’étaient appelés Augustine et Joseph…Passons !
Alors une fois né, eh bien, comme tous les marmots : « Longtemps, je me suis couché de bonne heure. » Et toujours de bonne heure j’ai lu. Je vous mentirais si j’affirmais que j’ai commencé par La recherche du temps perdu ! C’était plutôt Tintin, Astérix, Pif gadget, un peu Jules Verne et d’autres dont j’ai oublié le nom.
Où je vivais ? Disons que j’ai pas mal bougé dans l’Hexagone, entre le Nord et le Sud-Ouest. Mon histoire ne se passait pas : « à Mégara, faubourg de Carthage, dans les jardins d'Hamilcar. » Désolé ! A partir de 1983, destination Paris. Et là, moi aussi, même si je ne suis pas charentais, j’ai découvert « Paris tortueusement couché le long des deux rives de la Seine où commençaient à briller les lumières. » ; mes « yeux s'attachèrent presque avidement entre la colonne de la place Vendôme et le dôme des Invalides » ; et si je ne me souviens pas avoir « dit ces mots grandioses : “A nous deux maintenant !” », je les ai pensés, vous pouvez me croire !
Cette vieille traînée, que j’aime désormais autant que je la hais, et dans laquelle je me félicite de ne plus respirer, je l’ai regardée changer. Si je vous raconte, par exemple, qu’à la place de l’actuel Parc de Bercy, je me suis un jour baladé, appareil photo en pogne, et j’ai flashé des tonneaux de vin, parce que là c’étaient des entrepôts à pinard ! Pareil, j’ai connu le quartier Saint-Michel du temps où il y avait plus de librairies que de magasins de fringues. Et puis j’ai vu du monde, en concert, sur les planches, dans la rue même. Véridique : un jour je traîne mes guêtres sur les quais et soudain j’aperçois Lanvin et Villeret habillés comme des pauvres. « Grandeur et décadence » que je philosophe. Erreur : derrière eux j’aperçus le plateau de tournage. J’ai appris plus tard que c’était pour le film Les Frères Pétard ! J’ai aussi vu Luchini entrer en transe, récitant « L’arrivée à New York » du Voyage de Céline. Dans la salle il y avait l’exquise Nathalie Baye. Chez les morts, j’ai croisé l’humanité devant la tombe de Baudelaire, à Montparnasse…Des souvenirs qui restent.
Mais voilà, comme « (la forme d'une ville / Change plus vite, hélas! que le cœur d'un mortel) », Lutèce m’a beaucoup moins séduit avec le temps. Heureusement, je passais – pour des raisons aussi chiantes à raconter qu’une histoire drôle de repas arrosé ! – pas mal de temps en province, particulièrement en Normandie.
Pareillement, on pourrait dire de moi : « Il voyagea [un peu]. Il connut […] l’étourdissement des paysages et des ruines, l’amertume des sympathies interrompues. » Et c’est pas grave si je ne m’appelle pas Frédéric.
Dans le même temps, après avoir été poursuivi par une année de Psychologie (mais elle ne m’a pas rattrapée : je cours vite !), je poursuivais des études de Lettres modernes, tâchant de réparer mes lacunes littéraires, à une époque où je ne jurais que par Kafka. Soudain, je découvrais que Flaubert, Stendhal, Hugo, Zola, etc., c’était bien, et je « rencontrais » Pérec, Breton, Eluard et d’autres. Mes études de Lettres, je les considère aujourd’hui comme un grand catalogue dans lequel j’ai puisé pour me construire une identité de lecteur, que je ne saurais comparer à mon identité d’auteur. Je ne suis, et ne serai sans doute jamais, un écrivain : pas envie de faire les sacrifices nécessaires pour le devenir.
Bon, il y eut un imprévu qui m’obligea à repenser mon égocentrisme maladif : la naissance de mon fils. Ca a l’air con de l’écrire, mais quand je l’ai vu sortir du ventre de sa mère j’ai eu l’impression d’avoir chouré un morceau de Paradis. J’en dirai pas plus sur ce sujet, rapport que : « Le silence est un aveu »…pas besoin d’en rajouter.
De ces lectures, ces voyages, ces visites et spectacles, ces rencontres aussi, j’en ai retiré le goût de raconter, bien ou mal j’en sais que dalle. Raconter, mon maître-mot et, si c’est possible : divertir. Je n’ai pas d’autre prétention. Je suis de toute façon meilleur lecteur qu’auteur, alors pas la peine de m’arracher les cheveux : ça me va.
Pour conclure, le père Maupassant avait raison, la vie « ça n’est jamais si bon ni si mauvais qu’on croit ». Et on croît avec ce qu’on nous donne et ce qu’on trouve…
A la revoyure !
Charles Demassieux
Des meurtres d’enfants ont lieu et l’un d’eux est déposé dans un musée en même temps que le vol d’une œuvre d’art. Le conservateur du musée ne peut s’empêcher d’enquêter et c’est l’occasion pour lui de dévoiler à sa fille qu’une malédiction a été prononcée envers l’un de leurs ancêtres. On se demande alors si il y a un rapport avec les meurtres. Il s’avère en fait que la chrétienté pourrait être mise à mal par certaines révélations et un accord lie le président français au pape, cette histoire doit restée secrète. Très difficile de suivre car l’auteur nous laisse découvrir de multiples légendes à diverses époques et je me perdais parfois parmi tous ces personnages.
La légende chrétienne.
Charles Demassieux
2013
Éditions Jacob.
Vous trouvez toujours une pépite dans votre PAL !
Si vous aimez les romans historico/ ésotériques , le voilà !
RÉSUMÉ :
Hyppodrome de Chantilly et son château. Carole Anne De Saint Gabriel , jeune conservatrice. Elle s’arrête devant une peinture de POUSSIN :Le massacre des innocents. Cette peinture fascinait Picasso jusque dans Guernica.
Théodore Radot , conservateur en chef , la rejoint.Il est l'auteur de plusieurs biographies , veuf depuis quinze ans , il a élevé seul sa fille ,Mathilde. Les deux filles sont très amies.
Ils dinent ensemble . Un enfant meurt , mais à coté de lui , une lettre et sur l'enveloppe un sceau: celui du Vatican : les deux clés croisées de Saint Pierre en or et en argent . Affaire d'état ? Lorsque la Mère apprend le décès de son fils , elle meurt d'un arrêt cardiaque..
MON AVIS :
Le lecteur part ainsi à la recherche du Graal , sous fond de guerre entre la France et le Vatican.Qu'allons - nous trouver ?
Un roman puissant , riche de faits historiques et d'arts. Cela m'a poussée à faire des recherches.
J'aime ce style de lecture qui vous enrichit !
Un style très clair , des faits réels et l'Histoire que nous révisons, avec bien sur , en toile de fond , des cadavres.
CITATION :
"il y a un spectacle plus grand que la mer c'est le ciel, il y a un spectacle plus grand que le ciel c'est l'intérieur de l’âme." Victor Hugo : Les Misérables.
Charles Demassieux
2013
Éditions Jacob.
Vous trouvez toujours une pépite dans votre PAL !
Si vous aimez les romans historico/ ésotériques , le voilà !
RÉSUMÉ :
Hyppodrome de Chantilly et son château. Carole Anne De Saint Gabriel , jeune conservatrice. Elle s’arrête devant une peinture de POUSSIN :Le massacre des innocents. Cette peinture fascinait Picasso jusque dans Guernica.
Théodore Radot , conservateur en chef , la rejoint.Il est l'auteur de plusieurs biographies , veuf depuis quinze ans , il a élevé seul sa fille ,Mathilde. Les deux filles sont très amies.
Ils dinent ensemble . Un enfant meurt , mais à coté de lui , une lettre et sur l'enveloppe un sceau: celui du Vatican : les deux clés croisées de Saint Pierre en or et en argent . Affaire d'état ? Lorsque la Mère apprend le décès de son fils , elle meurt d'un arrêt cardiaque..
MON AVIS :
Le lecteur part ainsi à la recherche du Graal , sous fond de guerre entre la France et le Vatican.Qu'allons - nous trouver ?
Un roman puissant , riche de faits historiques et d'arts. Cela m'a poussée à faire des recherches.
J'aime ce style de lecture qui vous enrichit !
Un style très clair , des faits réels et l'Histoire que nous révisons, avec bien sur , en toile de fond , des cadavres.
CITATION :
"il y a un spectacle plus grand que la mer c'est le ciel, il y a un spectacle plus grand que le ciel c'est l'intérieur de l’âme." Victor Hugo : Les Misérables.
Eglise et politique n'ont jamais fait bon ménage, nous en avons encore la preuve ici. Deux meurtres en très peu de temps et l'église en veut la plus grande discrétion, mais pourquoi donc ?
Un début assez long avec beaucoup de description.
Une histoire de religion, un roman que je trouve très historique qui nous apprend beaucoup de choses sur la religion, le pape et le Vatican.
UN rythme assez descriptif qui ravira les fans d'histoire, tout cela dans un scénario de recherche intense d'un parchemin qui pourrait changer les choses.
Un bon moment de lecture pour couper de mes lectures habituels, mais qui manque tout de même de rythme.
Lien : http://la-vie-des-thrillers...
Un début assez long avec beaucoup de description.
Une histoire de religion, un roman que je trouve très historique qui nous apprend beaucoup de choses sur la religion, le pape et le Vatican.
UN rythme assez descriptif qui ravira les fans d'histoire, tout cela dans un scénario de recherche intense d'un parchemin qui pourrait changer les choses.
Un bon moment de lecture pour couper de mes lectures habituels, mais qui manque tout de même de rythme.
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Une histoire sympa et originale, j'ai particulièrement aimé la verve de certains personnages qui m'a bien fait rire ! Il est intéressant de voir tour à tour le point de vue de nombreux personnages sur l'intrigue, et donc les différents enjeux de pouvoir en action.
Lien : http://chroniquesdunchatdebi..
Lien : http://chroniquesdunchatdebi..
...
C’est un recueil sympathique sur les voisins. Certaines histoires ne sont pas assez développées à mon goût et d’autres sont sympathiques.
Trop de nouvelles dans ce recueil avec un thème traité assez similairement entre elles...
Je ne vais pas en garder un grand souvenir mais j’ai passé un bon moment et cela me permet de découvrir la plume des auteurs de la maison.
Lien : http://www.yuya.fr/chronique..
C’est un recueil sympathique sur les voisins. Certaines histoires ne sont pas assez développées à mon goût et d’autres sont sympathiques.
Trop de nouvelles dans ce recueil avec un thème traité assez similairement entre elles...
Je ne vais pas en garder un grand souvenir mais j’ai passé un bon moment et cela me permet de découvrir la plume des auteurs de la maison.
Lien : http://www.yuya.fr/chronique..
Un petit roman assez historique avec beaucoup de détails sur la religion et le Vatican.
J'aime beaucoup les faits historiques alors j'ai apprécié tout ça mais pour ceux qui ne sont pas fans, ils vont trouver que le rythme est trop lent et trop descriptif, que cela manque de suspense.
Lien : http://www.yuya.fr/chronique..
J'aime beaucoup les faits historiques alors j'ai apprécié tout ça mais pour ceux qui ne sont pas fans, ils vont trouver que le rythme est trop lent et trop descriptif, que cela manque de suspense.
Lien : http://www.yuya.fr/chronique..
Je ne suis pas très emballée par cette lecture. En fait, il y a TROP de nouvelles… J’ai vraiment eu du mal à voir le bout de ce bouquin. En plus, même si la thématique me paraissait intéressante et rarement vue auparavant, j’ai trouvé le sujet mal exploité et trop similaire dans l’ensemble du bouquin… On retrouve cette thématique traitée en long et en large, si bien qu’au final, on s’ennuie et on ne découvre plus rien de vraiment intéressant…
Par ailleurs, 3 courtes histoires ont tout de même relevées mon attention…D’abord La visionneuse de Valérie Hervy sur le thème de la violence conjugale. 9 pages sur un sujet difficile mais avec un traitement plutôt léger, que j’ai bien apprécié. Ensuite, Un beau jour, l’avenir s’appelle le passé par les sœurs jumelles Audrey et Natacha Ajasse qui m’a bien plu surtout grâce au changement de points de vue (rare dans des nouvelles quand même) et enfin Aucun contact physique de Marjorie Loup pour son côté complètement futuriste et vraiment bien imaginé. D’ailleurs, si je ne devais qu’en retenir qu’une, ce serait celle-là !
Bref, un ouvrage que je ne vous conseille pas particulièrement car aussitôt lu, aussitôt oublié.
Par ailleurs, 3 courtes histoires ont tout de même relevées mon attention…D’abord La visionneuse de Valérie Hervy sur le thème de la violence conjugale. 9 pages sur un sujet difficile mais avec un traitement plutôt léger, que j’ai bien apprécié. Ensuite, Un beau jour, l’avenir s’appelle le passé par les sœurs jumelles Audrey et Natacha Ajasse qui m’a bien plu surtout grâce au changement de points de vue (rare dans des nouvelles quand même) et enfin Aucun contact physique de Marjorie Loup pour son côté complètement futuriste et vraiment bien imaginé. D’ailleurs, si je ne devais qu’en retenir qu’une, ce serait celle-là !
Bref, un ouvrage que je ne vous conseille pas particulièrement car aussitôt lu, aussitôt oublié.
😊 A la découverte de 😊
Une légende chrétienne de Charles Demassieux
Hélène Jacob Éditions
Le corps d’un enfant est retrouvé dans un musée. Au delà de toute l’horreur que représente ce meurtre, l’affaire devient une affaire d’Etat car aux côtés du cadavre se trouve une lettre portant le sceau du Vatican.
Alors que les hautes sphères s’agitent, craintives face à une affaire qui met sur la sellette les politiciens et l’Eglise de Rome, un tueur officie minutieusement. Un secret bien gardé depuis longtemps mais qui risque de ressurgir, balayant sur son passage les croyances ancestrales et faisant vaciller l’Eglise romaine malgré ses solides fondations.
Nous voilà embarqués dans la quête d’un secret bien enfoui depuis longtemps mais qui semble refaire surface, laissant derrière lui des morts innocents.
Une course contre la montre est lancée entre deux camps que tout opposent. Ils recherchent tous activement un vieux parchemin. Les uns pour le détruire définitivement, les autres pour révéler au monde son contenu.
Si certains sont préoccupés par leur position et leurs ambitions personnelles, d’autres sont portés par leur foi fanatique. Les deux sont prêts à tout. Face à eux il existe heureusement des êtres pour qui la vérité et la justice se situent au-dessus de tout et doivent triompher. Mais pour ces derniers, il va falloir naviguer en eaux troubles pour lever le mystère qui se cache derrière ces meurtres.
Une enquête qui mêle art, religion, politique et sociétés secrètes. Si le sujet n’est pas nouveau, et a été largement popularisé par le Da Vinci Code, cela nous réserve souvent des enquêtes intéressantes.
Le roman nous livre beaucoup de détails inspirés de l’histoire de la chrétienté, cela permet de nous plonger un peu plus dans cette histoire qui prend ses racines dans le passé et ses légendes.
Une lecture agréable menée par des personnages qui ne manquent pas de ressources.
📖 Retrouvez ce livre par ici https://www.editionshj-store.com/products/une-legende-chretienne-charles-demassieux
Une légende chrétienne de Charles Demassieux
Hélène Jacob Éditions
Le corps d’un enfant est retrouvé dans un musée. Au delà de toute l’horreur que représente ce meurtre, l’affaire devient une affaire d’Etat car aux côtés du cadavre se trouve une lettre portant le sceau du Vatican.
Alors que les hautes sphères s’agitent, craintives face à une affaire qui met sur la sellette les politiciens et l’Eglise de Rome, un tueur officie minutieusement. Un secret bien gardé depuis longtemps mais qui risque de ressurgir, balayant sur son passage les croyances ancestrales et faisant vaciller l’Eglise romaine malgré ses solides fondations.
Nous voilà embarqués dans la quête d’un secret bien enfoui depuis longtemps mais qui semble refaire surface, laissant derrière lui des morts innocents.
Une course contre la montre est lancée entre deux camps que tout opposent. Ils recherchent tous activement un vieux parchemin. Les uns pour le détruire définitivement, les autres pour révéler au monde son contenu.
Si certains sont préoccupés par leur position et leurs ambitions personnelles, d’autres sont portés par leur foi fanatique. Les deux sont prêts à tout. Face à eux il existe heureusement des êtres pour qui la vérité et la justice se situent au-dessus de tout et doivent triompher. Mais pour ces derniers, il va falloir naviguer en eaux troubles pour lever le mystère qui se cache derrière ces meurtres.
Une enquête qui mêle art, religion, politique et sociétés secrètes. Si le sujet n’est pas nouveau, et a été largement popularisé par le Da Vinci Code, cela nous réserve souvent des enquêtes intéressantes.
Le roman nous livre beaucoup de détails inspirés de l’histoire de la chrétienté, cela permet de nous plonger un peu plus dans cette histoire qui prend ses racines dans le passé et ses légendes.
Une lecture agréable menée par des personnages qui ne manquent pas de ressources.
📖 Retrouvez ce livre par ici https://www.editionshj-store.com/products/une-legende-chretienne-charles-demassieux
😊 A la découverte de 😊
La rose cassante de Charles Demassieux
Hélène Jacob Éditions
Merci à la maison d’édition pour sa confiance.
Un écrivain vient d’écrire un pamphlet particulièrement critique et dénonciateur qui met à mal pas mal de figures populaires françaises. Il a quitté Paris, qui devient un peu trop dangereux pour lui, mais cela ne l’empêche pas de se faire égorger à sa porte.
Étienne est un flic parisien, ayant choisi ce métier en espérant coincer un jour celui qui a enlevé la vie à sa sœur il y a longtemps. Sa dernière enquête va faire du bruit car il s’agit d’un grand nom de la presse parisienne qui doit détenir de nombreux secrets sur le gratin de la capitale.
Bientôt un autre corps est retrouvé, portant lui aussi une lettre contenant quelques vers dans la poche. Autres points communs, la victime a été sauvagement torturée et c’est une célébrité, romancière et historienne de renom.
Etienne, son collègue Roland et sa chef Véronique forment une équipe de choc que l’on prend plaisir à suivre sur cette enquête. Chacun avec sa personnalité complète parfaitement le trio. Cette enquête va leur donner du fil à retordre avec cet assassin « artiste » qui semble poursuivre un plan et n’hésite pas à appeler ou à écrire à l’enquêteur. Intelligent, sûr de lui, les policiers ont intérêt à trouver vite des pistes car les victimes sont des célébrités dans leur domaine, ce qui ajoute une forte pression sur l’enquête.
Étienne va se retrouver face à un assassin qui mène une vengeance personnelle. Il sera plus difficile à trouver car il ne tue pas par plaisir mais pour punir ceux qui le méritent. Étienne peut comprendre ces motivations, lui qui n’a pas perdu espoir de retrouver et punir celui qui a mis fin à la vie de sa jeune sœur.
Mais il va lui falloir garer ces considérations personnelles pour lui car les plus hautes sphères de l’État réclament la tête de ce tueur en série.
Une lecture prenante, tant pour l’intrigue que pour ces personnages que l’on prend plaisir à suivre.
Encore une belle découverte livresque dans cette maison d’édition.
Pour découvrir ce livre, c’est par ici https://www.editionshj-store.com/products/la-rose-cassante-charles-demassieux
La rose cassante de Charles Demassieux
Hélène Jacob Éditions
Merci à la maison d’édition pour sa confiance.
Un écrivain vient d’écrire un pamphlet particulièrement critique et dénonciateur qui met à mal pas mal de figures populaires françaises. Il a quitté Paris, qui devient un peu trop dangereux pour lui, mais cela ne l’empêche pas de se faire égorger à sa porte.
Étienne est un flic parisien, ayant choisi ce métier en espérant coincer un jour celui qui a enlevé la vie à sa sœur il y a longtemps. Sa dernière enquête va faire du bruit car il s’agit d’un grand nom de la presse parisienne qui doit détenir de nombreux secrets sur le gratin de la capitale.
Bientôt un autre corps est retrouvé, portant lui aussi une lettre contenant quelques vers dans la poche. Autres points communs, la victime a été sauvagement torturée et c’est une célébrité, romancière et historienne de renom.
Etienne, son collègue Roland et sa chef Véronique forment une équipe de choc que l’on prend plaisir à suivre sur cette enquête. Chacun avec sa personnalité complète parfaitement le trio. Cette enquête va leur donner du fil à retordre avec cet assassin « artiste » qui semble poursuivre un plan et n’hésite pas à appeler ou à écrire à l’enquêteur. Intelligent, sûr de lui, les policiers ont intérêt à trouver vite des pistes car les victimes sont des célébrités dans leur domaine, ce qui ajoute une forte pression sur l’enquête.
Étienne va se retrouver face à un assassin qui mène une vengeance personnelle. Il sera plus difficile à trouver car il ne tue pas par plaisir mais pour punir ceux qui le méritent. Étienne peut comprendre ces motivations, lui qui n’a pas perdu espoir de retrouver et punir celui qui a mis fin à la vie de sa jeune sœur.
Mais il va lui falloir garer ces considérations personnelles pour lui car les plus hautes sphères de l’État réclament la tête de ce tueur en série.
Une lecture prenante, tant pour l’intrigue que pour ces personnages que l’on prend plaisir à suivre.
Encore une belle découverte livresque dans cette maison d’édition.
Pour découvrir ce livre, c’est par ici https://www.editionshj-store.com/products/la-rose-cassante-charles-demassieux
Je ne suis pas une grande fan du fantastique ou même de la science-fiction, ou encore de l'historique, mais un recueil de nouvelles mélangeant tous les genres (fantastique, historique, thriller, science-fiction), j'ai pensé que ça pouvait être sympa, alors je me suis lancée.
L'auteur a une plume très poétique je trouve, les mots sont beaux quand on les lit, les enchainements de phrases sont intéressants et très agréables à la lecture.
Concernant les nouvelles, j'en ai aimé certaines, d'autres moins. Bizarrement, ce sont les premières avec lesquelles j'ai eu le plus de mal, elles sont un peu trop historiques et fantastiques à mon goût, mêlant légendes et fantômes, ce qui n'est pas trop mon truc.
Avec la suite, nous nous rapprochons petit à petit de notre époque et je dois dire que je les aime de plus en plus au fil de ma lecture. Mes préférées restent "Dans la tête des autres" car elle répond à une envie que j'ai (lire dans les pensées) et "La survivante" qui se base sur les événements tragiques survenus récemment dans notre pays ainsi que nos voisins. Elle est pleine de réalisme et reflète très bien le sentiment des "rescapés" de ces attaques meurtrières. Et la troisième que j'ai beaucoup aimé est "Le peintre oublié" qui est un thriller bien exploité.
Je me rends compte que j'aime de plus en plus les nouvelles, alors qu'il y a quelques années, je les évitais. Maintenant, ce sont des genres que je vais rechercher plus souvent.
Un dernier mot pour dire que je n'aime pas particulièrement la couverture, ce jaune n'est pas beau et il ne met pas en valeur les textes à l'intérieur... Dommage.
Lien : http://leslecturesdemaryline..
L'auteur a une plume très poétique je trouve, les mots sont beaux quand on les lit, les enchainements de phrases sont intéressants et très agréables à la lecture.
Concernant les nouvelles, j'en ai aimé certaines, d'autres moins. Bizarrement, ce sont les premières avec lesquelles j'ai eu le plus de mal, elles sont un peu trop historiques et fantastiques à mon goût, mêlant légendes et fantômes, ce qui n'est pas trop mon truc.
Avec la suite, nous nous rapprochons petit à petit de notre époque et je dois dire que je les aime de plus en plus au fil de ma lecture. Mes préférées restent "Dans la tête des autres" car elle répond à une envie que j'ai (lire dans les pensées) et "La survivante" qui se base sur les événements tragiques survenus récemment dans notre pays ainsi que nos voisins. Elle est pleine de réalisme et reflète très bien le sentiment des "rescapés" de ces attaques meurtrières. Et la troisième que j'ai beaucoup aimé est "Le peintre oublié" qui est un thriller bien exploité.
Je me rends compte que j'aime de plus en plus les nouvelles, alors qu'il y a quelques années, je les évitais. Maintenant, ce sont des genres que je vais rechercher plus souvent.
Un dernier mot pour dire que je n'aime pas particulièrement la couverture, ce jaune n'est pas beau et il ne met pas en valeur les textes à l'intérieur... Dommage.
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Mon avis :
Bien déjà pour commencer, je tiens à saluer l'initiative de la maison d'édition qui a mis tous ses auteurs à contribution pour livrer ce recueil varié qui met en scène des histoires de voisinage. Les nouvelles sont toutes différentes et je vais essayer de vous donner mon avis sur chacune sans pour autant vous en dévoiler toute l'intrigue.
* Clémentine de Kathy Dorl : J'ai beaucoup apprécié cette histoire, la narratrice y est plutôt dispersée mais au bout du compte, on s'y retrouve, même si on ne comprend ce qui se passe qu'aux dernières pages. Mention spéciale pour l'humour ! Par exemple la petite phrase " Elle me dit que si je pose un un caméléon sur une robe Desigual, il meurt d'épuisement" m'a beaucoup fait rire. Rafraichissant !
Ma note : 8/10
* La voisineuse de Valérie Hervy : Une histoire nettement plus sombre que la précédente qui aborde une thématique peu évidente à aborder. C'est bien fait et c'est bien écrit.
Ma note : 6/10
* Un voisin de Charles Demassieux : Une histoire très très sombre qui traite parfaitement son sujet, j'ai adoré la chute et l'auteur a su manier le suspense à merveille
Ma note : 7,5/10
* Le joli temps de son enfance de Jean Claude Thibault : Dans tout recueil il y a toujours une histoire qui laisse sceptique. Pour moi ce fut celle-ci... Je n'ai pas eu l'impression de comprendre la nouvelle et j'ai été un peu lassée par le vocabulaire argotique de l'auteur. Sans moi.
Ma note : 4/10
* Les jolis yeux de Madeline Desmurs : Celle ci je l'ai trouvée géniale. Glauque, bien écrite et le switch final m'a énormément plu !
Ma note : 8/10
* Un dessert qui se mange froid de Mélanie Wency : Un peu de surnaturel avec cette histoire de vampire. La chute m'a fait sourire.
Ma note : 7,5/10
* Au fond du trou de Ariane Fusain : Drôle, enlevé, le "mystère" est bien traité tout comme la relation de voisinage !
Ma note : 7/10
* Journal d'un misanthrope de Hervé Heurtebise : Au début j'ai eu un peu de mal avec le style de l'auteur, mais rapidement je suis entrée dans l'histoire que j'ai trouvée très jolie.
Ma note : 6,5/10
* Un beau jour, l'avenir s'appelle passé de Audrey & Natacha Ajasse : Bref mais efficace. J'ai dévoré cette histoire et apprécié la chute. En revanche celle ci m'a frustrée, je l'ai trouvée trop courte, j'aurais aimé en avoir un peu plus
Ma note 7,5/10
* Le bus de 15H20 de Marie-Pierre Bardou : Ah celle ci je l'ai beaucoup aimée. Déjà j'ai apprécié l'angle par lequel l'auteur appréhendait le voisinage. Ensuite, j'ai apprécié le côté inéluctable de l'histoire, on sait d'entrée de jeu comment ça va se terminer et on eut savoir pourquoi, comment ? La fin tragique est bien trouvée.
Ma note : 8/10
* La curiosité est un vilain défaut de Emmanuelle Soulard : La fin m'a laissée perplexe, je n'ai pas eu l'impression d'avoir vraiment tout compris. L'écriture de l'auteure est bonne mais cette histoire m'a laissée dubitative.
Ma note : 5/10
* Déclics et Claques de RoseLys Desdunes : Là j'ai eu du mal avec le style de la narratrice, très 19eme alors que l'histoire est contemporaine, je l'ai suivie sans passion et au final je l'ai rapidement oubliée.
Ma note : 4,5/10
* L'ultimo Contratto de Yannick Billaut : Bon l'histoire est un peu attendue, mais elle est drôle. Mention très spéciale pour la chute qui m'a fait sourire jusqu'aux oreilles
Ma note : 7/10
* Le cas de Lucas de Manou Fuentes : Le personnage principal m'a fait sourire (moi non plus je n'aime pas la fête des voisins) même si j'ai trouvé le début du journal un peu pénible à lire (parce que sans structure, le narrateur jette ses idées comme elles lui viennent). La chute est jolie
Ma note : 5,5/10
* Le banc de Mélissa Restous : Une histoire étrange mais très belle. J'ai aimé me laisser bercer par cette narration, la fin est tragique mais on s'y attend
Ma note : 6,5/10
* Le nom de la voisine de Nathalie Desormaux : Une réécriture très originale d'un épisode très connu dans le patrimoine culturel. J'ai trouvé cela très original et imaginatif et c'était bien écrit
Ma note : 8/10
* L'érable de la cour d'Olivier Lerouge: Un hymne à la tolérance et à l'ouverture d'esprit. J'ai beaucoup aimé cette histoire, légèrement teintée de fantastique.
Ma note : 7/10
* Nocturnes de Dominique Lebel : L'idée est bonne mais en définitive, je n'ai pas tant que ça trouvé dans le thème. C'est bien écrit mais je n'ai pas spécialement aimé
Ma note : 5/10
* Aucun contact physique de Marjorie Loup : J'ai eu envie de dire... ENFIN ! Enfin une histoire SF dans ce recueil. Celle ci est très bonne, mais j'aurais aimé qu'elle soit plus développée, plus longue, que le côté sentiment soit approfondi mais je suppose que dans le contexte du recueil ce n'était pas possible
Ma note : 7,5/10
* Ma voisine est nue de Marie-Noelle Garric : Drôle, j'ai aimé le côté harpie de la compagne du narrateur et le côté désabusé de celui ci. J'ai un peu plus de réserves sur les dialogues, notamment ceux de la harpie, j'ai trouvé qu'ils manquaient de naturel. Par contre la chute m'a fait rire
Ma note : 7/10
* PEPE de M.I.A : L'idée du voisinage est originale mais j'ai eu un peu de mal à comprendre toute l'histoire.... Le personnage principal m'a ennuyée
Ma note : 5/10
Ce que j'aime : les genres différents de chaque histoire. Certaines sont vraiment excellentes.
Ce que j'aime moins : j'aurais apprécié que certaines histoires soient plus développées.
En bref : Un recueil divertissant et varié sur les voisins. Mention plus pour le fait que la plupart des auteurs publiés par la maison d'édition aient participé. Cela permet de découvrir la palette des plumes et m'a donnée envie de lire des choses plus longues de nombres d'entre eux.
Ma note
6,5/10
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Bien déjà pour commencer, je tiens à saluer l'initiative de la maison d'édition qui a mis tous ses auteurs à contribution pour livrer ce recueil varié qui met en scène des histoires de voisinage. Les nouvelles sont toutes différentes et je vais essayer de vous donner mon avis sur chacune sans pour autant vous en dévoiler toute l'intrigue.
* Clémentine de Kathy Dorl : J'ai beaucoup apprécié cette histoire, la narratrice y est plutôt dispersée mais au bout du compte, on s'y retrouve, même si on ne comprend ce qui se passe qu'aux dernières pages. Mention spéciale pour l'humour ! Par exemple la petite phrase " Elle me dit que si je pose un un caméléon sur une robe Desigual, il meurt d'épuisement" m'a beaucoup fait rire. Rafraichissant !
Ma note : 8/10
* La voisineuse de Valérie Hervy : Une histoire nettement plus sombre que la précédente qui aborde une thématique peu évidente à aborder. C'est bien fait et c'est bien écrit.
Ma note : 6/10
* Un voisin de Charles Demassieux : Une histoire très très sombre qui traite parfaitement son sujet, j'ai adoré la chute et l'auteur a su manier le suspense à merveille
Ma note : 7,5/10
* Le joli temps de son enfance de Jean Claude Thibault : Dans tout recueil il y a toujours une histoire qui laisse sceptique. Pour moi ce fut celle-ci... Je n'ai pas eu l'impression de comprendre la nouvelle et j'ai été un peu lassée par le vocabulaire argotique de l'auteur. Sans moi.
Ma note : 4/10
* Les jolis yeux de Madeline Desmurs : Celle ci je l'ai trouvée géniale. Glauque, bien écrite et le switch final m'a énormément plu !
Ma note : 8/10
* Un dessert qui se mange froid de Mélanie Wency : Un peu de surnaturel avec cette histoire de vampire. La chute m'a fait sourire.
Ma note : 7,5/10
* Au fond du trou de Ariane Fusain : Drôle, enlevé, le "mystère" est bien traité tout comme la relation de voisinage !
Ma note : 7/10
* Journal d'un misanthrope de Hervé Heurtebise : Au début j'ai eu un peu de mal avec le style de l'auteur, mais rapidement je suis entrée dans l'histoire que j'ai trouvée très jolie.
Ma note : 6,5/10
* Un beau jour, l'avenir s'appelle passé de Audrey & Natacha Ajasse : Bref mais efficace. J'ai dévoré cette histoire et apprécié la chute. En revanche celle ci m'a frustrée, je l'ai trouvée trop courte, j'aurais aimé en avoir un peu plus
Ma note 7,5/10
* Le bus de 15H20 de Marie-Pierre Bardou : Ah celle ci je l'ai beaucoup aimée. Déjà j'ai apprécié l'angle par lequel l'auteur appréhendait le voisinage. Ensuite, j'ai apprécié le côté inéluctable de l'histoire, on sait d'entrée de jeu comment ça va se terminer et on eut savoir pourquoi, comment ? La fin tragique est bien trouvée.
Ma note : 8/10
* La curiosité est un vilain défaut de Emmanuelle Soulard : La fin m'a laissée perplexe, je n'ai pas eu l'impression d'avoir vraiment tout compris. L'écriture de l'auteure est bonne mais cette histoire m'a laissée dubitative.
Ma note : 5/10
* Déclics et Claques de RoseLys Desdunes : Là j'ai eu du mal avec le style de la narratrice, très 19eme alors que l'histoire est contemporaine, je l'ai suivie sans passion et au final je l'ai rapidement oubliée.
Ma note : 4,5/10
* L'ultimo Contratto de Yannick Billaut : Bon l'histoire est un peu attendue, mais elle est drôle. Mention très spéciale pour la chute qui m'a fait sourire jusqu'aux oreilles
Ma note : 7/10
* Le cas de Lucas de Manou Fuentes : Le personnage principal m'a fait sourire (moi non plus je n'aime pas la fête des voisins) même si j'ai trouvé le début du journal un peu pénible à lire (parce que sans structure, le narrateur jette ses idées comme elles lui viennent). La chute est jolie
Ma note : 5,5/10
* Le banc de Mélissa Restous : Une histoire étrange mais très belle. J'ai aimé me laisser bercer par cette narration, la fin est tragique mais on s'y attend
Ma note : 6,5/10
* Le nom de la voisine de Nathalie Desormaux : Une réécriture très originale d'un épisode très connu dans le patrimoine culturel. J'ai trouvé cela très original et imaginatif et c'était bien écrit
Ma note : 8/10
* L'érable de la cour d'Olivier Lerouge: Un hymne à la tolérance et à l'ouverture d'esprit. J'ai beaucoup aimé cette histoire, légèrement teintée de fantastique.
Ma note : 7/10
* Nocturnes de Dominique Lebel : L'idée est bonne mais en définitive, je n'ai pas tant que ça trouvé dans le thème. C'est bien écrit mais je n'ai pas spécialement aimé
Ma note : 5/10
* Aucun contact physique de Marjorie Loup : J'ai eu envie de dire... ENFIN ! Enfin une histoire SF dans ce recueil. Celle ci est très bonne, mais j'aurais aimé qu'elle soit plus développée, plus longue, que le côté sentiment soit approfondi mais je suppose que dans le contexte du recueil ce n'était pas possible
Ma note : 7,5/10
* Ma voisine est nue de Marie-Noelle Garric : Drôle, j'ai aimé le côté harpie de la compagne du narrateur et le côté désabusé de celui ci. J'ai un peu plus de réserves sur les dialogues, notamment ceux de la harpie, j'ai trouvé qu'ils manquaient de naturel. Par contre la chute m'a fait rire
Ma note : 7/10
* PEPE de M.I.A : L'idée du voisinage est originale mais j'ai eu un peu de mal à comprendre toute l'histoire.... Le personnage principal m'a ennuyée
Ma note : 5/10
Ce que j'aime : les genres différents de chaque histoire. Certaines sont vraiment excellentes.
Ce que j'aime moins : j'aurais apprécié que certaines histoires soient plus développées.
En bref : Un recueil divertissant et varié sur les voisins. Mention plus pour le fait que la plupart des auteurs publiés par la maison d'édition aient participé. Cela permet de découvrir la palette des plumes et m'a donnée envie de lire des choses plus longues de nombres d'entre eux.
Ma note
6,5/10
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