- Je ne puis concevoir de quelle fantaisie cette pauvre enfant a été prise d’aller se remarier, dit ma tante quand j’eus fini.
- Peut-être avait-elle de l’amour pour son second mari, suggéra M. Dick.
- De l’amour ! répéta ma tante. Que voulez-vous dire ? qu’est-ce qu’elle avait besoin de ça ?