Chip Zdarsky

Si Double Face avait eu cette pièce entre les mains je pense qu’il aurait grandement apprécié, le jugement impartial de la Silver Coin est sans appel, sa sentence toujours mortelle. En cela les auteurs ont parfaitement réussi leur pari, ces histoires souvent courtes et incisives, conjugués à une patte graphique qui joue avec le noir et des tons pastel tres colorés font frissoner d’envie.
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Critique sur toute la série

Je découpe cette série en deux parties pour moi, une première (tome 1 à 4) que je trouve très bonne, maitrisée, bien construite.

Et une seconde (tome 5 à 7) dont j'ai tiré très peu de plaisir, j'ai même "détesté" certains passages.

Je suis exigeant sur DD étant l'un des rares personnages de Marvel que j'apprécie vraiment et dont j'ai connu peu de déception. Et le début du run de Zdarsky me convient très bien, il donne sa vision du personnage, construit quelque chose sur l'identité du héros comme sur celle de Matt Murdock, mais la fin est une catastrophe. Il n'y a plus de cohérence, c'est un bordel de fourre-tout sans queue ni tête qui part dans tous les sens, plus rien ne se tient.

Mais je regrette aussi les dessins, tous ces changements de dessinateurs à la pelle qui n'aident pas à l'immersion lors de la lecture pour ma part.

Critique sur toute la série

Je découpe cette série en deux parties pour moi, une première (tome 1 à 4) que je trouve très bonne, maitrisée, bien construite.

Et une seconde (tome 5 à 7) dont j'ai tiré très peu de plaisir, j'ai même "détesté" certains passages.

Je suis exigeant sur DD étant l'un des rares personnages de Marvel que j'apprécie vraiment et dont j'ai connu peu de déception. Et le début du run de Zdarsky me convient très bien, il donne sa vision du personnage, construit quelque chose sur l'identité du héros comme sur celle de Matt Murdock, mais la fin est une catastrophe. Il n'y a plus de cohérence, c'est un bordel de fourre-tout sans queue ni tête qui part dans tous les sens, plus rien ne se tient.

Mais je regrette aussi les dessins, tous ces changements de dessinateurs à la pelle qui n'aident pas à l'immersion lors de la lecture pour ma part.

Critique sur toute la série

Je découpe cette série en deux parties pour moi, une première (tome 1 à 4) que je trouve très bonne, maitrisée, bien construite.

Et une seconde (tome 5 à 7) dont j'ai tiré très peu de plaisir, j'ai même "détesté" certains passages.

Je suis exigeant sur DD étant l'un des rares personnages de Marvel que j'apprécie vraiment et dont j'ai connu peu de déception. Et le début du run de Zdarsky me convient très bien, il donne sa vision du personnage, construit quelque chose sur l'identité du héros comme sur celle de Matt Murdock, mais la fin est une catastrophe. Il n'y a plus de cohérence, c'est un bordel de fourre-tout sans queue ni tête qui part dans tous les sens, plus rien ne se tient.

Mais je regrette aussi les dessins, tous ces changements de dessinateurs à la pelle qui n'aident pas à l'immersion lors de la lecture pour ma part.

Critique sur toute la série

Je découpe cette série en deux parties pour moi, une première (tome 1 à 4) que je trouve très bonne, maitrisée, bien construite.

Et une seconde (tome 5 à 7) dont j'ai tiré très peu de plaisir, j'ai même "détesté" certains passages.

Je suis exigeant sur DD étant l'un des rares personnages de Marvel que j'apprécie vraiment et dont j'ai connu peu de déception. Et le début du run de Zdarsky me convient très bien, il donne sa vision du personnage, construit quelque chose sur l'identité du héros comme sur celle de Matt Murdock, mais la fin est une catastrophe. Il n'y a plus de cohérence, c'est un bordel de fourre-tout sans queue ni tête qui part dans tous les sens, plus rien ne se tient.

Mais je regrette aussi les dessins, tous ces changements de dessinateurs à la pelle qui n'aident pas à l'immersion lors de la lecture pour ma part.

Critique sur toute la série

Je découpe cette série en deux parties pour moi, une première (tome 1 à 4) que je trouve très bonne, maitrisée, bien construite.

Et une seconde (tome 5 à 7) dont j'ai tiré très peu de plaisir, j'ai même "détesté" certains passages.

Je suis exigeant sur DD étant l'un des rares personnages de Marvel que j'apprécie vraiment et dont j'ai connu peu de déception. Et le début du run de Zdarsky me convient très bien, il donne sa vision du personnage, construit quelque chose sur l'identité du héros comme sur celle de Matt Murdock, mais la fin est une catastrophe. Il n'y a plus de cohérence, c'est un bordel de fourre-tout sans queue ni tête qui part dans tous les sens, plus rien ne se tient.

Mais je regrette aussi les dessins, tous ces changements de dessinateurs à la pelle qui n'aident pas à l'immersion lors de la lecture pour ma part.

Critique sur toute la série

Je découpe cette série en deux parties pour moi, une première (tome 1 à 4) que je trouve très bonne, maitrisée, bien construite.

Et une seconde (tome 5 à 7) dont j'ai tiré très peu de plaisir, j'ai même "détesté" certains passages.

Je suis exigeant sur DD étant l'un des rares personnages de Marvel que j'apprécie vraiment et dont j'ai connu peu de déception. Et le début du run de Zdarsky me convient très bien, il donne sa vision du personnage, construit quelque chose sur l'identité du héros comme sur celle de Matt Murdock, mais la fin est une catastrophe. Il n'y a plus de cohérence, c'est un bordel de fourre-tout sans queue ni tête qui part dans tous les sens, plus rien ne se tient.

Mais je regrette aussi les dessins, tous ces changements de dessinateurs à la pelle qui n'aident pas à l'immersion lors de la lecture pour ma part.

Critique sur toute la série

Je découpe cette série en deux parties pour moi, une première (tome 1 à 4) que je trouve très bonne, maitrisée, bien construite.

Et une seconde (tome 5 à 7) dont j'ai tiré très peu de plaisir, j'ai même "détesté" certains passages.

Je suis exigeant sur DD étant l'un des rares personnages de Marvel que j'apprécie vraiment et dont j'ai connu peu de déception. Et le début du run de Zdarsky me convient très bien, il donne sa vision du personnage, construit quelque chose sur l'identité du héros comme sur celle de Matt Murdock, mais la fin est une catastrophe. Il n'y a plus de cohérence, c'est un bordel de fourre-tout sans queue ni tête qui part dans tous les sens, plus rien ne se tient.

Mais je regrette aussi les dessins, tous ces changements de dessinateurs à la pelle qui n'aident pas à l'immersion lors de la lecture pour ma part.

J'ai entendu beaucoup de personnes dire que la fin du run de Zdarsky (pré Devil's Reign) était moins bonne que le début.

Ayant beaucoup aimé les 5 premiers tomes, j'attendais de voir ce que la suite donnerait.

Est-ce que c'est moins bon ? Peut-être un peu.

Est-ce que c'est mauvais ? Non, loin de la.



Un des problèmes que j'avais déjà soulevé précédemment est le changement de dessinateur qui se fait trop présent, pas seulement d'un chapitre à l'autre mais parfois même au sein d'un même chapitre... Si cet pratique n'est pas inerrante à Daredevil et que l'on voit de plus en plus ce procédé chez les big two (Marvel et DC), je dois avouer ne pas aimer cela, et je ne suis pas le seul !



Par contre, pour ce qui est du récit en lui même, j'ai pris plaisir à continuer à suivre les aventures de Daredevil en prison et d'Elektra dans son nouveau rôle d'héroïne de Hell's Kitchen.



Si j'avoue avoir préféré le début de run que la fin, j'aurais pris du plaisir jusqu'au bout quand même.

Nous avons droit aux deux identités du personnage, Daredevil ET Matt Murdock, ce qui n'est pas toujours le cas dans certains runs (coucou Ann Nocenti dont beaucoup de gens adulent le run, eh bah ouais, dans son run on voit beaucoup Daredevil mais pas ou peu Matt Murdock, et ça j'aime pas !).

A noter, une chose que j'ai trouvé intelligente, souvent quand on a les deux identité du personnage, Daredevil est utilisé pour les phases d'actions et Matt Murdock pour créer des phases plus calmes. Ici, c'est l'inverse, au début, Matt Murdock rejette son identité de Daredevil mais est violent. A la fin il accepte son identité de Daredevil est c'est plus calme. C'est peut-être un détail, mais j'ai trouvé cela sympathique et changeant.

J'ai entendu beaucoup de personnes dire que la fin du run de Zdarsky (pré Devil's Reign) était moins bonne que le début.

Ayant beaucoup aimé les 5 premiers tomes, j'attendais de voir ce que la suite donnerait.

Est-ce que c'est moins bon ? Peut-être un peu.

Est-ce que c'est mauvais ? Non, loin de la.

Le principal problème de ce tome est que sur les 5 chapitres présents, 2 sont des tie-in de l'évent king in black (faisant suite au run de Donny Cates sur Venom) et ne font donc pas avancer l'histoire. Au final, il ne reste plus que 3 chapitres pour faire avancer l'histoire, et le rythme étant assez lent, on avance pas beaucoup.

Autre problème que j'avais déjà soulevé précédemment, le changement de dessinateur qui se fait trop présent, pas seulement d'un chapitre à l'autre mais parfois même au sein d'un même chapitre... Si cet pratique n'est pas inerrante à Daredevil et que l'on voit de plus en plus ce procédé chez les big two (Marvel et DC), je dois avouer ne pas aimer cela, et je ne suis pas le seul !

Par contre, pour ce qui est du récit en lui même, j'ai pris plaisir à continuer à suivre les aventures de Daredevil en prison et d'Elektra dans son nouveau rôle d'héroïne de Hell's Kitchen.

Alors que le tome précédent était centré sur la guerre des gangs et donc bourré d’action, le tome se terminait avec la reddition de Daredevil se livrant à la police afin d’expier son crime.

En toute logique, ce tome 5 sera beaucoup plus calme. Centré autour du procès, non pas de Matt Murdock, mais bien de Daredevil puisqu’il comparaitra masqué.

Si j’ai été perturbé par l’annual mettant en scène le frère jumeau de Matt Murdock, personnage que je ne connaissais pas mais que nous reverrons par la suite, une recherche m’a fait comprendre que ce personnage était apparu dans le run de Charles Soule, run que je n’ai pas encore lu.

Pour le reste, le changement de dessinateur mis à part, rien de bien gênant dans ce tome que j’ai trouvé très sympathique.

Après la lecture du tome 3 qui m'avait fait très forte impression, j'avais envie de rapidement enchainer sur le tome 4, et voila, c'est chose faite !



Dans ce volume, c'est la guerre ! Dans les tomes précédents, de petites tensions commençaient à voir le jour suite à l'abandon de poste du Caid, de nombreux vilains de seconde zone essayaient de tirer leur épingle du jeu pour devenir calife à la place du calife... Ainsi, une véritable guerre des gangs éclate au sein de Hell's Kitchen.

L'inspecteur North va être obligé de braver les interdictions pour sauver la population, quitte à s'allier avec "Daredevil".



Encore une fois un très bon volume, apparemment à partir du prochain tome ça se gâte, je vais tout de même y aller avec impatience.

On va commencer par un point important, dans ce tome, nous retrouvons au dessin l'excellent Marco Checchetto, et après le dessin très moyen du tome précédent, c'est plus qu'appréciable.



Dans ce tome, nous allons suivre plusieurs personnages, et je trouve qu'ils sont tous magnifiquement bien écrit.

Tout d'abord Daredevil, ou plutôt Matt Murdock car en effet, depuis le tome précédent, Daredevil n'est plus. Nous allons donc suivre un Matt Murdock qui a laissé tomber le costume mais qui ne peut se résoudre à arrêter d'aider la veuve et l'orphelin, et qui pour se faire va subir un entrainement pour retrouver son niveau d'antan.

D'un autre côté, nous avons le policier Cole North qui est tiraillé entre son devoir de suivre les lois où de faire le bien quitte à en enfreindre certaines. J'ai particulièrement apprécié sa rencontre avec Spider-Man.

Nous avons bien sûr Wilson Fisk, alias le Caid, mais... qui n'est plus le Caid, mais bel et bien Wilson Fisk, maire de New-York et qui tente tant bien que mal de sortir de ses affaires illégales pour se lancer dans le légal. Pas facile quand les gens autour de lui font tout pour le sortir de ses gonds.

Et encore, le Hibou, ce Super Vilain de seconde zone est ici très bien exploité. Voyant la place du Caid laissé vacante, le Hibou va tenter de se l'approprier en mettant en place ses propres règles.



Un tome que j'ai trouvé vraiment très bon et qui me donne envie d'enchainer sur le tome 4.

Deux artistes se partagent les crayons dans Silver Coin. Michel Walsh, créateur de Silver Coin, et Gavin Fullerton. Contrairement aux styles narratifs, le dessin se montre tout à fait constant, tant et si bien que j’en suis venu à ne même pas remarquer les changements.
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Après avoir été désigné comme coupable d'un homicide dans le tome précédent, Matt Murdock range le costume, Daredevil n'est plus.

De son côté, l'inspecteur Cole North, fraichement débarqué, s'est mis la totalité de la police à dos après s'être mis en tête d'arrêter Daredevil. La moitié intègre lui en veut car elle est reconnaissante envers Daredevil pour son travail, la moitié corrompu lui en veut car elle recevait des pots de vin pour surveiller Daredevil, mais... plus de Daredevil, plus de pots de vin.



Un deuxième tome qui mets plus l'accent sur Matt Murdock que sur Daredevil, et j'aime que cet aspect du personnage soit développé. D'autant plus que l'avocat aveugle n'est plus avocat, mais contrôleur judiciaire, et cela change un peu.



Un tome sympathique que j'ai pris plaisir à suivre mais qui pêche par son dessin. Je ne dirais pas que c'est moche mais le dessin de Marco Chechetto était tellement beau sur le premier tome que ce tome souffre forcément de la comparaison.

Daredevil étant mon super-héros préféré, je lis peu à peu tout ce qui se fait sur le personnage.

Et pourtant, je n'étais pas encore aller sur le run de Chip Zdarsky, dernier auteur à œuvrer sur le personnage.

Ce que je sais du run avant de commencer ? Certains adorent, d'autres le trouvent surcoté.

Bon... Ca me dit pas grand chose tout ça, aller, je me lance !



Nous voila donc sur le premier tome de Chip Zdarsky, et si nous avons l'habitude de voir le diable de Hell's Kitchen en mauvaise posture, cette fois, il se remet difficilement sur pied après avoir frôlé la mort.

Cette remise sur pied n'est pas simple, il est diminué physiquement, n'arrive plus à suivre le rythme des petites frappes desquelles il ne faisait auparavant qu'une bouchée, cette diminution physique va vite jouer sur le moral.

Un jour, Matt Murdock va apprendre que l'un des cambrioleurs qu'il a rossé la veille afin de l'arrêter à trouver la mort avant d'arriver à l'hôpital.

Daredevil coupable d'homicide ?

C'est de la que part ce run.



Si on en est encore que dans les balbutiements du run de Zdarsky, je dois dire que ce premier tome est assez efficace. Si cela me peine de voir Daredevil autant galérer en combat contre des adversaires qui ne lui arrivent normalement pas à la cheville, le fait de mettre cela sur son rétablissement fonctionne bien et cela donne un autre point de vue sur le personnage.

7ème et dernier tome de Chip Zdarsky avant le crossover DEVIL’s REIGN. Nous reprenons où nous en étions précédemment, avec un Daredevil emprisonné acceptant de jouer les informateurs. En effet, Tête à cornes soupçonne quelque chose de louche dans sa prison. Ce qui risque, évidemment, de lui mettre à dos le directeur Hollis. Parallèlement Elektra assume le costume de DD et aide une jeune fille, Alice, qu’elle a recueillie. Elle cherche aussi à trouver Izzy Libris, laquelle a pris la place de Wilson Fisk en tant que Caïd du Crime. Fisk, devenu maire, a fort à faire avec Bullseye qui, complètement dérangé, se met à abattre des civils au hasard, provoquant la panique dans les rues de New York. Fisk annonce le confinement de sa ville en attendant que Bullseye soit neutralisé. Mais Daredevil peut-il laisser son pire ennemi en liberté ?

Chip Zdarsky conclut cette partie de son run de belle manière, permettant à plusieurs sous-intrigues d’aboutir tout en gardant de la matière en réserve pour la suite. Les questionnements des protagonistes restent au premier plan, avec ce Matt têtu décidé à assumer jusqu’au bout ses erreurs et cette Elektra éprouvant bien des difficultés à se tenir à l’éthique de Daredevil. Fisk s’apprête, de son côté, à épouser Mary Typhoïde et à définitivement (?) larguer les amarres avec son passé criminel. Le scénariste concocte également une surprise bien pensée et effective concernant Bullseye.

Bien servi par des dessins globalement de haute tenue, voici une conclusion à la hauteur pour un run particulièrement réussi sur le monde de Hell’s Kitchen. Il ne reste donc qu’à poursuivre la lecture avec DEVIL’s REIGN…


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Chip Zdarsky continue son très plaisant run sur Tête à corne avec ce tome composé des épisodes 26 à 30. L’auteur poursuit son récit avec une intrigue assez casse-gueule puisque Daredevil est en prison pour la mort involontaire d’un criminel. Pendant ce temps, Elektra asume publiquement l’identité de Daredevil pour protéger Hell’s Kitchen. Et qui endosse le rôle de Matt ? Son frère jumeau jadis fictif et depuis peu bien réel, Mike. Le maire, Wilson Fisk, doit également gérer le nouveau Caïd, Izzy Libris, heureusement aidé par sa nouvelle compagne, la détraquée Mary Typhoïde.

En taule, Daredevil comprend que des bidouillages pas très nets se déroulent dans la prison. Problème, des symbiotes se manifestent, Daredevil entrant, un peu forcé, dans le cross-over King In Black. Nous avons donc droit à quelques bastons efficaces et, bien sûr, Daredevil est « venomisé » durant les événements. Après deux épisodes déjantés, le scénariste revient quasiment à la normale et reprend le fil de son récit, avec un Murdock toujours aussi têtu décidé à purger jusqu’à son terme ses deux ans de zonzon.

Plus inégal que les précédents tome, intégration de King In Black oblige, le run se poursuit cependant avec réussite. Si l’intrigue reprend des éléments déjà vus précédemment dans la série, elle contient suffisamment de nouveautés pour paraitre « fraiche » et effective, les personnages brossés de manière crédible, le ton général très réaliste et polar (loin des standards superhéroïques habituels) et les dessins de haute volée (quoique parfois, là aussi, inégaux) rend ce sixième tome agréable et annonce une suite encore plus effective.


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L'histoire d'une pièce maudite, qui répand la mort à travers son porteur.

C'est très gore, chaque histoire se lit indépendamment, sans suite. La dernière histoire raconte l'origine de cette pièce maudite, pourquoi on en est arrivé à toutes ces horreurs.

Le graphisme est sympa, maintenant, je ne sais pas si j'aurais envie de lire la suite à moins que la dernière histoire ne raconte comment mettre fin à cette malédiction.

C’est toujours difficile, selon moi, de faire une critique constructive d’une bande-dessinée. Il s’agit d’une lecture tellement courte que j’ai du mal à me faire une idée. Dans l’ensemble, j’ai bien aimé.



Concernant la forme, j’aime beaucoup ce genre de format. Ça change du format habituel BD. La BD tient bien dans la main, elle est légère et la couverture est rigide. Les dessins sont beaux, pas beaucoup de détails, pas surchargés.



L’histoire de la malédiction de la pièce est sympa. Je regrette juste que certaines histoires soient si courtes. Je n’ai pas eu le temps de m’attacher aux personnages.



Merci à Babelio et aux éditions Huggin&Muninn pour cette découverte :)