Les amateurs de Bitcoin devraient lire ces nouvelles autour d'une monnaie maléfique. Cela pourrait sans doute les dissuader d'investir massivement dans ces placements pour le moins hasardeux. Au début la chance sourit au possesseur de la silver coin mais par la suite, c'est plutôt la douche froide… un peu comme le cours du Bitcoin !
On verra se succéder 5 récits différents qui changent d'ailleurs de style graphique et qui se situent à des époques tout à fait différentes (et même dans un futur assez éloigné). La trame est légèrement différente et assez indépendante mais le point commun est que personne ne semble échapper à cette malédiction. A noter que des scénaristes différents se sont succédés pour nous livrer leur interprétation rendant l'ensemble un peu inégal dans la qualité.
Enfin, il y aura un récit situé à l'époque de l'Inquisition qui expliquera le pourquoi de cette malédiction ce qui pourra satisfaire notre curiosité. L'argent ne fait pas le bonheur, on le savait. Cependant, certaines pièces de monnaie peuvent causer la mort. Je suppose que la parade se situe dans l'utilisation de la carte bancaire si possible sans contact !
On sait néanmoins, depuis « Conjuring », qu'il existe parfois des objets maléfiques qui entraînent des effets néfastes pour le détenteur. Il est vrai qu'une pièce circule plus facilement de main en main.
Il n'y a rien de vraiment révolutionnaire dans le concept. C'est juste divertissant dans un genre thriller fantastique un peu horrifique façon « Contes de la crypte ». J'aurais aimé un peu plus d'audace et de modernité dans ce comics d'horreur car cela fait quand même très cliché. Mais bon, je suis tatillon là.
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Voilà bien longtemps que je n'avais plus lu ce genre de bd. Oui vous savez le genre un peu gore, avec du sang qui gicle et des têtes qui volent.
Ici il s'agit de malédiction. Un sort venu du moyen âge, à cette belle époque où la chasse aux sorcières était devenue le sport mondial de cette soit-disant bien-pensance cléricale. Bref, ici là malédiction est concentrée dans une pièce de monnaie. Et il est sacrément puissant le sort. Nous ne savons pas tout de suite d'où il vient puisque les différentes histoires nous promènent du passé vers un futur lointain, jusqu'à revenir à la toute première, celle où la malédiction est lancée.
Le cheminement est plutôt basique puisqu'il s'agit de possession et le résultat est que ça finit toujours en film d'horreur sanglant.
Ceci dit c'est plutôt bien fait. Les dessins sont sombres à souhait et l'atmosphère lugubre . Il s'agit du tome 1 donc on peut présager que cette pièce de monnaie n'a pas fini de faire des dégâts, jusqu'à ce que peut-être elle soit exorcisée. J'aimerais bien savoir comment ça finira.
Merci à Babelio et aux éditions Huginn et Muninn pour ce partenariat.
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C'est toujours difficile, selon moi, de faire une critique constructive d'une bande-dessinée. Il s'agit d'une lecture tellement courte que j'ai du mal à me faire une idée. Dans l'ensemble, j'ai bien aimé.
Concernant la forme, j'aime beaucoup ce genre de format. Ça change du format habituel BD. La BD tient bien dans la main, elle est légère et la couverture est rigide. Les dessins sont beaux, pas beaucoup de détails, pas surchargés.
L'histoire de la malédiction de la pièce est sympa. Je regrette juste que certaines histoires soient si courtes. Je n'ai pas eu le temps de m'attacher aux personnages.
Merci à Babelio et aux éditions Huggin&Muninn pour cette découverte :)
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L'histoire d'une pièce maudite, qui répand la mort à travers son porteur.
C'est très gore, chaque histoire se lit indépendamment, sans suite. La dernière histoire raconte l'origine de cette pièce maudite, pourquoi on en est arrivé à toutes ces horreurs.
Le graphisme est sympa, maintenant, je ne sais pas si j'aurais envie de lire la suite à moins que la dernière histoire ne raconte comment mettre fin à cette malédiction.
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Silver Coin nous présente une suite d’histoires indépendantes les unes des autres, liées par un même objet, une mystérieuse pièce qui bouleverse la vie de tous ceux qui la possèdent.
Lire la critique sur le site : Sceneario
On est trop jeunes pour se sentir comme des antiquités.