À ce moment-là l'orchestre s'est mis à jouer les premières mesures de : «Notre histoire c'est l'histoire d'un amour».
C'était une chanson qu'on entendait partout. Dalida venait de la créer. Elle la chantait avec intensité, en mêlant le tragique à la banalité. Son accent oriental arrondissait les mots, les étirait en même temps, sa voix grave enveloppait les sons et leur donnait une substance particulière, l'ensemble avait quelque chose d'envoûtant.