Christophe Picaud

Soyons fous, je vais mettre 4 étoiles. J'ai bien aimé ce dernier tome, qui me réconcilie un petit peu avec l'Assassin Royal. Cela n'a pas toujours été l'amour fou entre nous mais sur les trois derniers tomes j'ai bien apprécié la lecture, Fitz me paraissait moins pénible, j'ai aimé le personnage d'Astérie, et puis même qu'on a vu des dragons.



Je me prends même à me demander quelle va être la suite de l'histoire. Vais-je avoir la motivation de pouvoir avec les cycles suivants ? Pas certain, mais je préfère toutefois rester sur cette impression que sur celle des 7 premiers tomes.

La morale de cette histoire c'est sûrement que j'ai bien fait de m'accrocher, deuxième tome de suite qui m'intéresse bien. Certes c'est dommage que cela soit dans les 3 derniers tomes sur 10 mais mieux vaut tard que jamais ?



Fitz est toujours à la recherche de Vérité, et l'on se doute qu'il est plus proche que jamais. Cela tombe bien car il s'agit de l'avant dernier tome alors il est temps d'amorcer la conclusion.



Encore une fois la narration me semble bien plus claire, et j'ai été plutôt impliqué dans l'histoire. Il y a très certainement des coupes faites dans l'histoire et je dois passer à côté de pas mal de choses, mais étant donné que je n'aurai pas eu la motivation de relire les livres cela ne me dérange vraiment pas.

Une belle édition pour cette intégrale qui regroupe les 4 premiers tomes de l'adaptation en bande dessinée de l'Assassin royal. Malheureusement je n'ai que bien peu apprécié la lecture. Je ne suis pas un grand fan des dessins, je n'accroche pas réellement. La plongée dans l'univers est confuse, je n'arrive pas à rentrer dedans. Le rythme est particulier et après 4 tomes je ne suis toujours pas investi dans l'histoire. J'hésite à continuer avec les deux intégrales suivantes.

Je ne trouvais déjà pas ca fameux, voilà maintenant en plus que la romance vient prendre de plus en plus de place … décidément je me demande si je vais tenir jusqu’au tome 10. Je ne comprends toujours pas en quoi consistent l’Art et le Vif, c’est dommage cela semble être assez central. Je peine encore à différencier les personnages. Et je ne serai même pas capable de résumer l’intrigue jusque là. C’est peu dire que je n’y trouve pas mon compte.

Bon cette fois je ne peux pas dire qu’il ne se passe rien, à l’occasion du mariage entre Vérité et Kettricken, Fitz a enfin l’occasion de jouer à l’assassin (ça tombe bien, c’est dans le titre de la saga et je n’attendais que ça). Finalement cela ne se passe pas vraiment comme prévu, c’est à se demander si sa formation a vraiment été efficace.



Dans ce tome ce n’est pas tant qu’il ne se passe rien mais c’est surtout que je trouve l’intrigue assez confuse, je ne saisis pas les enjeux et c’est assez gênant …

Quel tome ! Que de péripéties !!

ça brûle de partout, ça fomente des complots contre Fitz, ça tue à tous les carrefours.

Fitz et Molly doivent prendre de la distance car Royal s'en prend à tout ceux et celles en l'occurence qui apprécient le bâtard.

Vérité s'en va pour sa quête des anciens.

Subtil est plus faible que jamais.

Kettricken a une excellente nouvelle à annoncer !

Burrich se retrouve dans une étrange position avec Molly et Fitz.

Le fou se voit maltraiter par les hommes de Royal.



Que de rebondissements.



et le lien entre Loup et Fitz s'intensifie, ils ne font plus qu'un.

Retour dans le passé. Fitz retrouve le Fou, qui malgré lui suscite des jalousies. L’Art est présent dans cet album. Les héros doivent répondre aux attaques des ennemis de Fitz tout en parcourant les anciennes routes. C’est un album important, un peu moins épique, mais extrêmement porteur dans le récit. Beaucoup de pièces se mettent en place et le puzzle se termine petit à petit. Nous n’avons pas encore la vue d’ensemble, mais cet album ainsi que le précédent nous révèle un final fantastique. Au niveau du graphisme, c’est toujours aussi bien réalisé, il n’y a rien à dire, j’aime beaucoup le travail général, les personnages, les décors, tout est fait pour faire de chaque album de beaux albums.

Un matin d’hiver, un enfant de six ans, fils illégitime du roi-servant Chevalerie, est amené au roi Subtil. Ce dernier décide de faire du petit Fitz son assassin personnel.



Cet ouvrage regroupe les quatre premiers tomes de l’adaptation en BD de la saga fantasy de Robin Hobb, L’Assassin royal. Le scénario, sans doute élagué par rapport aux romans, fonctionne très bien : on est tout de suite séduit par le personnage principal, Fitzchevalerie, et on se passionne pour son apprentissage et ses aventures. La BD, servie par des dessins plutôt réussis mis en valeur par les couleurs utilisées, se dévore d’ailleurs d’une traite.



Ce premier volume de l’adaptation en BD de L’Assassin royal constitue donc une belle découverte, qui donne envie de se jeter sur les tomes suivants.

Je poursuis ma relecture de la saga L’Assassin royal à travers l’adaptation en bande-dessinée.



Ce tome s’attache tout particulièrement à la relation Fitz-Molly. Leur relation n’est pas simple et le prince Royal est bien décidé à leur mettre des bâtons dans les roues.



On assiste également aux débuts de la relation entre Fitz et Oeil-de-Nuit. C’est un plaisir de revoir ce moment si particulier entre les deux.







De mémoire, l’adaptation est fidèle au roman (ma lecture remonte à quelques années). J’ai fini par m’habituer à la tête des personnages, même si la représentation du Fou a toujours un peu de mal à passer (mais c’est mon personnage préféré, donc je suis ultra exigeante).







Seul reproche que l’on pourrait faire, c’est que c’est bien trop court. Et qu’une fois le tome refermé, on n’a qu’une envie: se jeter sur la suite.







Belle adaptation que cette BD!


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Sur la forme, cette intégrale est réussie, c’est un bel ouvrage qui regroupe les tomes 5 à 7 de l’adaptation en bande dessinée de l’Assassin Royal.



Malheureusement, les tomes en tant que tel ne m’ont que bien peu intéressé. L’intrigue m’ennuie beaucoup, je trouve qu’il ne se passe pas grand chose de passionnant, les personnages sont plats et ne me donnent pas envie de m’impliquer. J’ai du mal également avec les dessins …

Suite aux évènements qui se sont déroulés à la fin du tome 5, je m'attendais à ce que cette adaptation prenne un nouvel élan, et alors j'aurai pu ENFIN apprécier ma lecture.



Et bah c'est plutôt raté car je me suis ennuyé. De longs monologues, un manque d'action, je crois que ce n'est vraiment pas pour moi.

Il aura fallu attendre la fin de ce tome 5 mais ça y est j'ai enfin accroché un petit peu à l'intrigue. J'espère ne pas être déçu par la suite et réussir à rester dans l'intrigue jusqu'à la fin de ce cycle, j'en suis à la moitié.



Pour le reste je suis toujours mitigé, je n'accroche pas au dessin, la narration est confuse, je suis la plupart du temps complètement externe aux enjeux et cela ne motive pas à avancer. J'espère que la fin de ce tome va permettre de relancer l'intrigue et redynamiser le tout. Affaire à suivre.

En fait, j'ai lu le tome 3 (mais je ne le trouve pas sur Babelio, je n'ai pas le temps de faire une fiche ni les compétences...). J'ai envie d'emprunter les livres audio de la saga, je me dis que ça doit être sympa à écouter dans la voiture ou le soir avant de dormir... Un tome qui bouge un peu plus.

L'Assassin Royal est la série de romans que j'ai dévoré avec le plus de plaisir. Il était donc naturel pour moi de relire cette saga en BD. Les dessins y sont magnifiques, et permettent de mettre un visage sur des héros qu'on a pris tant de plaisir à suivre. Si vous connaissez déjà la série, le seul point noir que vous pourriez y trouver est la rapidité à laquelle se déroule l'aventure. Difficile d'adapter 19 livres denses en 10 BDs, et bien des éléments ont été mis entre parenthèses, faute de temps, La relation entre Fitz et Dame Patience en est le parfait exemple. . Cette adaption vaut néanmoins l'investissement tant l'aventure y est bien retranscrite.

A la faveur d’une fluidité profitable, on se laisse envoûter par la personnalité inquiétante du fantôme qui tend, de par son rôle insaisissable, à nous introduire dans des ambiances à la limite du fantastique. Côté dessins, Christophe Picaud fait encore un travail admirable. Le réalisme de ses illustrations apporte un gros plus à l’enquête de Rouletabille.
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Une adaptation sage et respectueuse, mais tout de même réussie, d’un conte moderne.
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Voilà la fin de l’aventure en bd, du moins pour le moment. On peut toujours espérer la suite également en bd, surtout que Les aventuriers de la mer sont en cours de parution, également aux éditions Soleil.



Tout se met en place pour un final explosif qui ne laisse pas nos héros indemnes. Si Fitz atteint son but, sa tâche n’est pas pour autant terminé car il lui faut aider Vérité à chasser les Pirates Rouges du pays.



Pas un instant de répit dans cet ultime tome. Les auteurs nous entraînent une dernière fois dans le monde créé par Robin Hobb. C’est encore une fois un régal à lire et je suis plus que satisfaite de cette adaptation. Certes tout n’est pas parfait, mais on passe un très bon moment et on ne peut avoir envie que de (re)découvrir l’oeuvre d’origine. Les auteurs arrivent à raconter le principal sans perdre les lecteurs et tout en conservant l’âme de l’histoire. Une très belle lecture!
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Vérité le Dragon pose les limites de la mise en images de romans longs et denses, qui implique la sélection de ce qui doit être gardé, exercice complexe et frustrant.
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Avant dernier tome de cette adaptation en bd de la saga L’Assassin royal.



Fitz continue sa route pour retrouver Vérité. Route semée d’embûches. Fitz devra affronter des hommes et l’Art pour parvenir à son but. Mais il ne sera pas seul et il retrouvera des personnages connus pour l’aider dans sa quête.



Encore un tome très intéressant mais qui nous rapproche malheureusement de la fin de l’aventure. Bizarrement, alors que je connais déjà la fin, je n’ai pas envie d’y arriver.



Je crois l’avoir déjà dit mais la lecture de cette adaptation me donne envie de me replonger dans la saga d’origine…
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Il est toujours difficile d’adapter des romans fleuves en gardant suffisamment de densité narrative et de profondeur aux personnages sans dénaturer l’œuvre. Le scénario de Clerjeaud relève cette gageur.
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