Le plus dur quand on aime quelqu’un, c’est d’accepter qu’il fasse ses propres expériences, c’est de le voir souffrir et d’être impuissant à l’aider.
Au final, quelle que soit la politique menée, la manipulation du peuple reste le fondement de tout pouvoir.
Cessons de chercher ailleurs ce qui est en chacun de nous.
Plus d’une armée a été anéantie parce qu’elle n’arrivait pas à envisager sa propre défaite.
Une légende raconte que le peuple nain fut créé avec ce qu’il restait d’argile primordiale après que celle-ci eut servi à façonner les Elfes. Déçu par leur petite taille en raison du manque de terre glaise, Yjad décida de compenser ce handicap en leur donnant le courage, la résistance et le secret de la forge. Mais le Dieu des Elfes, Arran, inquiet ce nouveau peuple puisse contester la suprématie de ses propres enfants, glissa trois malédictions dans l’argile encore humide : l’avidité, l’ambition et l’obstination. Ainsi le Dieu des Elfes s’assura jamais aucune alliance naine ne résiste au temps.
Un guerrier ne peut combattre à la fois son orgueil et son adversaire.
Qu’est-ce qu’un fou sinon qu’une âme brisée qui laisse filtrer un peu de lumière divine ?
On ne guérit pas de soi-même.
Ce n'est pas avec une épée qu'on peut menacer un maître alchimiste !
On ne peut progresser dans son art, sans progresser dans ce que l'on est en essence...