Comment être naturelle quand on refuse de tendre les mains de peur qu’elles soient moites ? Quand le cœur bat si vite que le sang n’a même pas le loisir de s’y purifier avant de repartir dans les veines, avant de monter au cerveau anxieux et affolé ? Naturelle ? Faire semblant que tout était normal, habituel, banal, simple, logique ? Comme si elle n’était pas amoureuse ?