Selon les consignes de leur patron (J. Coeur), les facteurs ainsi que leurs commis veillaient à garder une attitude scrupuleusement déférente devant les manifestations religieuses, les coutumes et les moeurs de leurs interlocuteurs. Aucune idée de prosélytisme chrétien ne devait les effleurer. Bien au contraire, il leur fallait tenter de rechercher ce qui pouvait les rapprocher d'hommes croyant comme eux en un Dieu unique.
Si je suis encore en vie, en dépit de tant et de tant d'ennemis, c'est grâce à deux choses : à ce château d'abord, que j'ai fait bâtir à mon idée, ensuite à ma méfiance.