Nationalité : Canada
Biographie :
Claudia Boisvert est diplômée en photographie.
Depuis 2015, elle dirige son propre média numérique, MTL PRESSE, qui attire chaque année des dizaines de milliers de visiteurs. La dynamique rédactrice foule les tapis rouges, assiste à de nombreux galas et reçoit en entrevue les plus grands artistes.
Mère de quatre enfants, Claudia participe également à titre de photographe de plateau à deux émissions de la chaîne MAtv Montréal et collabore au blogue Des familles en banlieue.
page Facebook : https://www.facebook.com/ClauBoisvert.ca/
Claudia Boisvert est diplômée en photographie.
Depuis 2015, elle dirige son propre média numérique, MTL PRESSE, qui attire chaque année des dizaines de milliers de visiteurs. La dynamique rédactrice foule les tapis rouges, assiste à de nombreux galas et reçoit en entrevue les plus grands artistes.
Mère de quatre enfants, Claudia participe également à titre de photographe de plateau à deux émissions de la chaîne MAtv Montréal et collabore au blogue Des familles en banlieue.
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Source : www.editionsjcl.com
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Ce qui l’a le plus marquée à travers mon récit, c’est mon insécurité, car la séduction, ce n’est pas mon truc. Je ne suis pas bonne là-dedans. Je ne me ferai pas d’accroires ! Les deux seules fois où j’ai voulu prendre les devants, cela a mal viré ! Deux fois en deux jours. J’ai scrappé un jeans, puis un t-shirt. Me semble que c’est assez pour se dire que je ne l’ai pas, l’affaire !
Je me sens bien. Vraiment ! Les fenêtres sont ouvertes, dont une qui donne sur la piscine. Une petite odeur de chlore et de printemps règne dans mon pavillon. Ça fait du bien à mon petit cœur. Ça sent le nouveau départ, ça sent les mille possibilités que j’ai devant moi cette année. Je me sens tellement zen, à la bonne place, et confiante.
J’ai envie d’oser, de sortir de ma zone de confort. J’ai envie de rendre unique chacune des journées qui passent. Dans douze mois, quand ça ira moins bien et que la fin approchera, je veux être fière de moi et des aventures que je me serai permis de vivre. Je ne veux pas que ce soit triste.
Mon amie a l’horloge biologique qui sonne et pas à peu près. Son horloge est aussi grosse que Big Ben, alors les gars la voient venir à des kilomètres à la ronde. En réalité, elle leur fait peur. Elle a tellement hâte de trouver LE bon gars avec qui ça va cliquer et avec qui elle va fonder une famille ! Le problème, c’est que de nos jours, les hommes qui n’ont pas peur de l’engagement sont très rares.
Sa façon de me regarder, ses sourires, ses remarques concernant mes mille et un tatouages lorsque je me dévêtis pour les examens… Je ne m’en plains pas, hein ! Il a toujours été très gentleman, jamais il n’a été déplacé avec moi. Même si je ne dirais pas non… Il faut dire que beau comme il est, il faudrait être aveugle et insensible pour ne pas tomber sous le charme d’Adam.
On vit toujours sans être tout à fait conscient de ce qui nous attend, on reporte souvent à demain. On ne dit pas toujours à ceux qu’on aime à quel point on tient à eux. On agit toujours comme s’il nous restait des années et des années devant nous, alors qu’en réalité, on ne le sait pas. Ça pourrait se terminer demain en raison d’un accident de voiture.
J’ai eu besoin de toute ma patience pour supporter ma tornade de neveu qui se bourrait la face de crêpes. Mon travail de bureau est reporté à plus tard, c’est décidé ! De toute façon, je ne m’aiderais pas vraiment à travailler dans cet état. Deux Tylenol, une bonne gorgée d’eau, mon cell en mode silencieux, et hop ! sous les couvertures.
Je veux vivre, et non survivre. J’ai une date d’expiration, et je compte en faire mon moteur pour vivre chaque journée comme si elle était la dernière. Je veux partir à l’aventure, moi aussi. Je veux que le vent chaud fasse danser mes cheveux les soirs d’été et vivre des anecdotes si drôles ou si gênantes qu’on ne peut les répéter.
Tu es belle sans bon sens ! Je ne sais pas si c’est parce qu’on s’est permis de franchir la ligne, mais je ne dirais pas non pour te voir plus souvent et t’avoir dans ma vie sur une base plus régulière, sans que ce soit d’ordre médical, je veux dire… J’avoue que… tu me fais capoter… depuis très longtemps.
Ça me semble impossible qu’un gars aussi charmant que lui m’ait remarquée. Faut dire que je n’ai pas l’habitude. Des toutounes, ce n’est généralement pas ce qui plaît le plus aux gars de son genre. Pourtant, ça ne fait même pas une heure que je le connais, et je le sens sincère, intense, intéressé.
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