Constantin Louvain

Il s'agit d'un regroupement de nouvelles de science-fiction sur le thème passionnant du temps et, en principe, plus précisément, du « temps mort ». ● Je ne sais pas quoi dire tellement c'est médiocre, sauf peut-être « Aiôn » de Florent Rigout (à part la fin) et « le Temps transparent » de Constantin Louvain. Rien ne tient debout. ● Dans « science-fiction », il y a « science », or ici c'est un gloubi boulga grotesque, un fatras indigeste et indigent de non-connaissances scientifiques mal digérées. On est vraiment à des années-lumière de la hard SF comme la pratique par exemple Liu Cixin qui, lui, prend le temps d'assimiler le savoir scientifique et de fonder son récit dessus. ● Et les nouvelles ne sont pas rattrapées par leur qualité littéraire : leur construction n'emporte pas le lecteur, les chutes sont totalement atones voire incompréhensibles, le style est plat.

Un savant invente un « chronoscope », machine permettant de voir le passé, à la manière de la machine de Pellegrino Ernetti (voir le fabuleux roman de Roland Portiche, La Machine Ernetti (2020)) : quelles vont en être les conséquences sur la société ? ● La nouvelle étant fort courte, on reste un peu sur sa faim, mais le récit, très différent de celui de Roland Portiche, est intéressant, si l’on fait abstraction du folklore science-fictionnel de la nouvelle organisation mondiale imaginée par l’auteur.

Salut les Babelionautes

J'ai commencé ce livre dans le TGV qui me ramenait du Salon du Livre de Paris et je viens de le terminer.

Avec ce Roman de SF, j'ai découvert un nouvel Auteur, Constantin Louvain.

Ce Roman Post Invasion extra terrestre ma tout de suite plut, le récit s'articule autour de deux personnages principaux, Annabelle une jolie femme et Max, ancien soldat des forces spéciales au bout du rouleau.

Cette femme va proposée un contrat qui n'est pas sans risque à Max, et cela va les entrainer dans une fuite éperdu après que Max a remplit sa part du contrat.

Si vous voulez lire un roman captivant, sans temps mort, avec en filigrane une histoire d'amour pas ordinaire, et un dénouement inattendu, je vous conseille de vous le procurer.

Les éditions Arkuiris viennent de publier deux volumes d'une anthologie de SF sur le thème. Sexe et sexualité dans le futur et ailleurs. Deux constatations:

- l'incroyable diversité d'inspiration des auteurs. Dans le N°1, une courte nouvelle donne la parole aux touches du clavier de l'ordinateur d'un écrivain et raconte le plaisir érotique qu'elles éprouvent au contact des doigts de l'homme .

-ces textes, si différents, mais tous d'une excellente qualité d'écriture prouvent que la SF n'est pas une sous littérature (préjugé encore fortement ancré en France).

Confinement et lecture

Un livre qui m’a passionnée .. Inspiré d'une légende sumérienne vieille de cinq mille ans dont il reproduit les épisodes principaux, ce roman suit les pérégrinations d'Enlil, un jeune homme qui a du mal à se fixer un but dans la vie. Il en résulte que d'autres et des accidents décident pour lui de son destin. Coupé de sa société technologique, amené par sa naissance à des responsabilités qu'il ne désire ni ne maîtrise, il tente de gérer des situations complexes avec bonne volonté, mais sans grandes compétences, même s'il apprend au fil des mois. Le récit de science-fiction "Annunaki:Mission Sumer" est également la description d'un projet de société, une allégorie de la coopération et un noeud d'intrigues amoureuses et politiques qui laissent le lecteur curieux et surpris jusqu'à la dernière page.

Une nouvelle histoire de machine à remonter le temps, ou plutôt à visualiser le passé. Mais au contraire d'autres auteurs qui voient les chrononautes systématiquement attirés par les grands moments de l'histoire, Constantin Louvain considère la façon l'humanité utilise en général de ce genre d'inventions: pour satisfaire des attentes très terre à terre.

Lebenburg est un petit village de sept cents âmes situé en Belgique, dans les Ardennes, tout près de la frontière allemande.

En 1994, Jacques Clavisse, un jeune homme momentanément au chômage à Bruxelles, se voit proposer par l’Office National de l’Emploi de travailler comme libraire dans cette localité. Il accepte d’autant plus volontiers que le salaire est particulièrement attrayant.

Cette ancienne cité médiévale, habitée par une population très attachée à ses traditions, est particulièrement pittoresque. Très vite cependant, Jacques va se rendre compte que quelque chose ne tourne pas rond. Pourquoi, par exemple, une fois la nuit tombée, est-il interdit aux Lebenbourgeois de sortir de chez eux ? Et progressivement l’ambiance quasiment folklorique qui régnait dans le village devient de plus en plus étouffante et inquiétante…



Constantin Louvain signe ici un roman réellement époustouflant, à l’imagination puissante, soutenu par un style précis et efficace, dont il est difficile de lâcher la lecture ne fût-ce qu’un instant. Un roman que n’aurait certainement pas désavoué Jean Ray, le maître du fantastique belge.   

Un livre très prenant, autant sur le plan de l’intrigue que sur celui de l’enchaînement des événements. Les personnages, volontaires pour une mission dans une réalité parallèle, tout en conservant des liens avec leur monde civilisé, sont envoyés dans l’époque sumérienne. Les actions, les intrigues, les rebondissements captivent le lecteur du début à la fin du roman. Les nombreuses références à la mythologie mésopotamienne apportent une note originale au récit.

Enlil, le personnage principal, semble subir les événements plutôt qu’il ne les maîtrise. Mais il reste très attachant, au point qu’au cours de la lecture, j’ai ressenti de l’empathie et de la compassion à son égard.

L’écriture du roman est très soignée. Un plaisir de lecture

Je lis peu de recueils de nouvelles (la dernière fois doit remonter à une quinzaine d’années…) ; je ne suis pas très à l’aise avec les histoires très courtes, dans lesquelles la mise en place est forcément plus survolée, de même que la conclusion… et tout ce qui va entre les deux. J’aime qu’il y ait du rythme oui, mais aussi que ça prenne sont temps. Comme dans un roman, quoi (#captainobvious).

Bref, je lis peu d’anthologies mais là, c’est celle de la maison Crin de Chimère, j’ai même pas essayé de résister à la tentation de la précommande… même si je suis également assez peu friande de SF à la base. 🙈

Bref, trêve de suspense : j’ai pris beaucoup de plaisir à lire toutes ces nouvelles ! Un peu plus pour certaines que pour d’autres, forcément, mais je n’ai pas envie d’en faire un classement. Mes deux préférées ont déjà été signalées à qui de droit, c’est l’essentiel. ^^

On est ici dans le thème des monstres de tous bords, créés naturellement ou artificiellement, volontairement ou accidentellement. On frôle parfois la fantasy (je ne vais pas m’en plaindre), mais on est toujours dans des degrés plus ou moins prononcés d’horreur et de gore, parfois très visuel, d’autres fois plus psychologique… Il y a une belle diversité d’univers et de styles, et si certains m’ont un peu moins plu que d’autres, je reste sur de très bons moments de lecture passés avec chacun.e de ces jeunes auteurs et autrices. J’espère très fort que Crin de Chimère renouvellera l’expérience des anthologies, celle-ci est une franche réussite !
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L’été 2019, j’ai lu Le grimoire, un recueil de 25 nouvelles sélectionnées avec soin par Les filles de Gyptis, maison d’édition associative qui développe des univers atypiques au travers de l’édition d’ouvrages, de l’organisation de manifestations, de conférences et autres contes. Il est rare dans un exercice de recension de donner la primeur à la maison d’édition plutôt qu’aux auteur.e.s. Et pourtant. La performance de Pascale Bouchet Falco et de Sylvie Hayot Eychenne, remarquable, ne s’arrête pas à la parution de ce collectif, ni même ne se limite à la création géniale de leur maison d’édition associative, elle s’exalte dans la dynamique culturelle et créatrice qu’elles insufflent depuis une bonne dizaine d’années en vallée de l’Huveaune et, désormais, au-delà. Avec détermination, inventivité, et la complicité discrète de leur amour respectif, Nicopheus (directeur artistique) et Laurent (président), ces deux femmes exceptionnelles permettent à une foultitude d’artistes, écrivain.e.s, peintres, photographes, danseuses, d’exprimer leur passion. Être libre et rendre libre, cela valait bien la part belle du gâteau. Chapeau bas, mesdames.

Au-delà de noms garants d’une qualité littéraire éprouvée que j’ai retrouvés dans ce recueil (Elisabeth Perche, Geneviève Casaburi, Claudine Mistral, Syhaey), je me dois de signaler l’excellent Constantin Louvain dont la nouvelle intitulée Le grimoire à la bouche d’or m’a enchanté. Notre ami était jeune bibliothécaire à l’Université catholique de Louvain lorsqu’il rencontra un certain Jean Marescu, en 1958, au lendemain de l’inauguration de l’Atomium. Il lui posa deux questions (que je vous pose à mon tour). Connaissez-vous saint Jean-Chrysostome ? Saviez-vous qu’il avait écrit, au Vème siècle de notre ère, un discours sur la rhétorique ? Non ? Moi non plus. Saviez-vous que l’in-octavo, perdu depuis Mathusalem, avait été signalé pour la dernière fois à… Mais je vous en dis déjà trop ! Voici notre bibliothécaire embarqué par son contradicteur dans une aventure dont il pourrait bien ne jamais s’échapper. À moins que... Dans un style maîtrisé supporté par un scénario convainquant, Constantin Louvain nous entraîne avec brio dans une enquête haletante à la recherche du grimoire à la bouche d’or. Ce texte est bien écrit et le talent de son auteur transpire à chaque paragraphe. Je sais ce que vous allez maintenant me demander. Ai-je retrouvé le fameux manuscrit ? Lisez cette pépite du Grimoire et vous le saurez. Bravo à Constantin Louvain, bravo aux Filles de Gyptis de nous avoir permis de le découvrir.

Comment trouver Le Grimoire, ISBN 978-2-9565301-2-1, 336 pages, 10 € (non, vous ne rêvez pas) ? Dans toutes les bonnes librairies de Provence, sur le Net, auprès des auteurs, lors d’une séance de dédicaces, au salon littéraire d’Auriol "L’Antre du Livre" (chaque année en février 2020) ou sur le site de la maison d’édition.
Lien : https://crimesdepays.skyrock..

Très bon livre de SF qui se dévore du début à la fin. La narration dans la peau d'un "extraterrestre" est vraiment originale et l'intrigue à la découverte des "visiteurs" est prenante.

Je viens de terminer la lecture du Secret des étoileurs, et je suis complètement sous le charme, dés le début j'ai été aspiré dans l'aventure de Chimmy bien attachant personnage.

Je serais à l'affut des prochaines publications de Constantin Louvain.

La lecture de ce roman de science-fiction est passionnante. Le lecteur est projeté sur une planète lointaine habitée par une espèce extra-terrestre intelligente, répartie dans une vaste forêt, « la sylve », et dans la capitale, la grande cité centrale du pouvoir et des savoirs. Les Etoileurs ont établi sur la planète, à proximité de la capitale, une base dans laquelle ils vivent à l’écart des habitants, ayant toutefois noué des liens et pratiquant des échanges avec ceux-ci.

Qui sont les Etoileurs, quel est leur secret ? C’est ce que va tenter de découvrir le héros du livre, Chimmy, jeune extra-terrestre surdoué, que le lecteur va côtoyer au cours du récit : l’enfant curieux de tout, élevé dans la sylve, a étudié dans des écoles prestigieuses de la capitale. Adulte, il accède aux hautes fonctions d’enseignement, qui l’amèneront petit à petit à percer les arcanes du pouvoir…

le destin d'une âme Sabrina Guerreiro:

Ce récit poignant d'une âme qui cherche la paix, sa propre voix. Ce qu'elle laisse derrière elle après sa mort n'est que chaos, mais elle veut de tout son cœur réparer ses erreurs et aider sa famille à avancer après son décès. Et elle par la même occasion. Natalie, cette âme, trouvera t-elle la paix tant attendu ?

Pourra t-elle reposer en paix ?

Ce livre est très prenant, mais je n'ai pas réussi à aller jusqu'au bout de la deuxième nouvelle tant l'écrivain emploie de beaux mots qui rendent le récit assez lourd. Mais la première nouvelle, celle de Sabrina Guerreiro est une histoire très prenante qu'on ne lâche plus une fois commencé. Vous lâcherez certainement une petite larme de tristesse ou vous aurez la gorge coupé par tant de réalisme.

Je vous le plus que conseille.

Un recueil de nouvelles qui tourne autour de la notion de monstruosité avec des savants fous aux expérimentations horribles, en passant par des vies extraterrestres asservies par les humains, des androïdes à l'humanité avérée, des hommes dépourvus d'empathie avec des nouvelles de science-fiction, de steampunk, de fantasy pirate voire de conte. La monstruosité sous toutes ses formes.



Mes préférées sont la plus belle des réussites de @alexandre.fritz.karol une nouvelle fantasy mêlant habilement steampunk et piraterie au milieu de monstres et créatures ; Partie de chasse de @fabrice.pittet.auteur dans la veine d'un space opera déjanté avec un duo hilarant et une créature hybride entre Jabba le Hutt et le Sarlacc ; j'ai aussi apprécié le conte fantastique de Kaegor de Rion Xoth : la Mort personnifiée et la recherche d'immortalité d'un alchimiste rendu fou par ses expérimentations.

Un bon recueil pour frissonner et s'interroger sur ce qui fait de nous un monstre ou un être pensant doué d'empathie pour l'autre.

Amator est un mage qui a échoué à ses examens mais il est intelligent et persévérant. Non reconnu par ses pairs, il tient cependant à exercer son art, ce qui l’entraine dans de multiples aventures loin de son pays natal, en des contrées souvent hostiles. Il y rencontre des individus dangereux qui vont mettre sa vie en danger, mais aussi des personnages attachants qui vont l’aider à s’extraire des situations difficiles. En lisant le livre, on baigne dans un univers de fantasy, peuplé de mages, sorciers, dragons aux pouvoirs surnaturels.

La lecture du roman est des plus agréables, l’auteur s’attachant à dépeindre les personnages et les situations avec clarté et précision. De bons moments de lecture !

Autant vous dire d’entrée de jeu, dans cette anthologie, il y a du level… Et pas qu’un peu ! J’ai eu un coup de cœur pour une des nouvelles présentes d’ailleurs. Laquelle ? Je vous le dirai un peu plus tard…



Comme toujours, il y en a forcément que j’ai moins aimé que d’autres, pourtant, j’en ai savouré chaque phrase, peu importe la nouvelle, peu importe son auteur. Ce n’est pas la chose que je regardais en premier. Dans ce genre de lecture, c’est surtout la diversité autour d’un thème donné au départ que j’aime découvrir, j’aime voir à quelle sauce un sujet peu être traité selon qui écrit.



Au départ, je voulais vous donner un avis sur chaque nouvelle. Finalement j’ai décidé d’en faire un global parce que certaines auraient eu droit à quelques lignes alors que d’autres, comme mon coup de cœur, j’aurais pu partir en vrille et vous en parler pendant longtemps. Et, je ne trouvais pas cela juste pour les auteurs qui m’ont moins convaincue.



Quelle est donc mon coup de cœur ? Eh bien, il y a un auteur qui a su me convaincre en quelques lignes à peine, je n’étais pas encore arrivée à un quart de son récit, que j’étais certaine que c’était celle qui aurait ma préférence. Je n’étais pourtant pas encore à la fin de l’anthologie dans son entièreté, même pas à la moitié pour tout vous dire. Mais que voulez-vous, certaines plumes réussissent à vous convaincre en quelques mots parfois !



Cet auteur, c’est Alexandre-Fritz Karol. Franchement, j’imagine très bien cette nouvelle comme une mise en bouche pour un univers encore plus vaste, croyez-moi, je signe directement pour découvrir ce qui n’existe pas encore et n’existera peut-être jamais. Mais, c’est un fait, je suis totalement conquise. Après avoir lu cette nouvelle, le niveau était à une telle hauteur, que pour surpasser mon ressenti, il en fallait énormément.



Une autre des nouvelles qui m’a convaincue, c’est la dernière, celle de Kaegor de Rion. Elle est totalement différente de ce qui nous est proposé avant dans l’anthologie, et c’est justement cette différence qui a fait que j’ai accroché à ce point. Je tiens quand même à préciser que chaque récit présents ici a quelque chose à apporter, que chacune des aventures que nous vivons est captivante, même si, forcément, on ne peut pas adhérer à tout, même si nous avons forcément plus d’affinités avec certains univers alors que d’autres nous paraissent totalement loufoques et pas spécialement crédibles. Quoi qu’il en soit, j’ai apprécié chaque récit, à divers niveaux, cette lecture m’a permit de découvrir également des plumes qui m’étaient totalement inconnues, ainsi que des univers dans lesquels personnes ne voudraient se retrouver perdu.



Une anthologie à lire sans hésiter !

Le livre constitue une relecture sous un angle nouveau d'une légende sumérienne vieille de 5000 ans. On y voit des humains venus d'un monde parallèle tenter d'accélérer le développement des sumériens. C'est assez curieux, parfois même déjanté, mais cela ne laisse pas indifférent. Les aventures d'Enlil sont une bonne illustrtaion de la maxime suivante: "Si tu ne décides pas de ton avenir, quelqu'un en décidera pour toi."

Une approche renouvelée de la relation entre deux espèces dont les biologies différentes induisent divers modes de pensée et capacités intellectuelles qui conduisent à des interrogations parfois cocasses. C'est aussi un récit d'initiation et une fable sur la relation entre les érudits et le pouvoir. Un bon planet opera avec une intrigue prenante qui ménage des surprises et des interrogations philosophiques. Comment deux espèces que tout sépare à commencer par la biologie, les sens et les mécanismes de reproduction ainsi que l'intellect, peuvent-elles se faire confiance? Une espèce techniquement plus avancée a-t-elle le droit ou le devoir de modifier le devenir d'une espèce qui sort à peine de l'animalité? Un mensonge est-il licite s'il a pour but de protéger un être faible? Le secret des étoileurs pose ces questions et donne à certaines des réponses parfois inattendues.

Il s'agit d'un recueil comportant 2 nouvelles abordant le thème de la vie après la mort : La première aborde ce sujet en permettant à une âme d'interagir avec le monde des vivants et notamment de soulager sa "conscience" quant aux mauvaises actions faites lors de son vivant. Nathalie va tenter de se racheter auprès des siens après une existence vécue dans le péché, elle tentera également de trouver sa place parmi les autres âmes. On se retrouve transporter dans un au-delà au paysage agréable et enchanteresque. Cette nouvelle nous permet d'appréhender le côté sombre de la mort d'une manière positive et rassurante. Je me disais à la fin que si la mort est telle que décrite dans cette nouvelle, ce passage inévitable serait moins triste.

La seconde aborde le même sujet, l'histoire est principalement centrée sur le monde des morts. On plonge dans un au-delà plus obscur dans lequel les morts n'intéragissent pas avec les vivants. On se demande comme le personnage principal : Quel sens a ce nouveau monde? Marc poursuit sa quête de vérités dans cet au-delà, il parcourt les siècles et ce monde figé au paysage plutôt réaliste, on voyage avec lui dans cette nouvelle afin de trouver cette fameuse vérité.

J'ai préfère la première nouvelle qui m'a permise de voyager dans un au-delà plus gai et rassurant. Qui n'a jamais rêvé d'avoir une chance d'effacer ses mauvaises actions et de permettre aux vivants d'avoir une vie plus sereine après ?