Maria Montessori était une visionnaire. Elle a fait des découvertes que les neurosciences ont confirmées un siècle plus tard. le cerveau des enfants est extrêmement puissant : les enfants sont nés pour apprendre et tous sont capable de le faire. Leur cerveau est plastique, ils ont un potentiel de transformation incroyable et une grande capacité d'attention qui se manifestent dès qu'on les place dans un environnement pensé pour eux et non pour les adultes.
La journaliste italienne
Cristina de Stefano, autrice de la biographie «
Maria Montessori, la femme qui nous a appris à faire confiance aux enfants » nous raconte les découvertes de cette pionnière : son travail avec les enfants déficients, son expérimentation sociale dans l'un des quartiers les plus pauvres de Rome avec le matériel didactique d'Édouard Séguin et l'élaboration de toute sa méthode d'éducation.
Pour en savoir plus sur celle qui a changé la façon de penser la pédagogie, découvrez le livre «
Maria Montessori, la femme qui nous a appris à faire confiance aux enfants » : https://tinyurl.com/2p86yry4
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Rencontre de Cristina avec Mgr Lefebvre:
Elle admire certainement Lefebvre, qu'elle a voulu connaître personnellement dans les années qui ont suivi le concile. Lorsqu'elle raconte à ses amis leur première rencontre, elle décrit avec enthousiasme l'exquise politesse de l'évêque français.Comme elle était en retard et tentait de s'en excuser, Lefebvre avait répondu:"Vous n'êtes pas en retard, madame, c'est moi suis en avance."
"Cristina était une inconditionnelle de Lefebre, qu'elle tenait pour un saint. Chaque fois qu'elle le voyait, elle baisait son manteau", rappelle son ami John Lindsay Opie. p.151/152
Refuge de Cristina Campo dans la tourmente conciliaire:
Sant'Antonio Eremita est une petite église d'origine romane, refaite au dix-huitème siècle, dont la façade claire se confond avec les maisons de la via Merulana, non loin de la gare de Rome. Depuis 1929, par décision du pape (qui voulait développer les missions catholiques en terre slave et communiste), elle est, avec l'immeuble contigu, le siège du Collège Pontifical Russicum, le séminaire des prêtres qui doivent être envoyés dans les pays de rite oriental. Ici, même après la réforme liturgique, on continue d'officier en latin. Cristina Campo, qui depuis quelque temps refuse d'entrer dans les églises catholiques -de pratiquer un rite qui a renoncé avec tant de légèreté à la "nécessaire splendeur" -, a cessé d'assister aux offices de Sant'Anselmo et préfère se réfugier dans le tout proche couvent dominicain se Santa Sabina où à San Salvatore in Campo. p.175
A la découverte du rite byzantin:
Au Russicum, Cristina découvre les joyaux du rite byzantin. Tout, dans cette liturgie, semble fait pour la conquérir: les gestes solennels, les très riches ornements, les paroles mystérieuses prononcées dans une langue ancienne. Pour Cristina, qui en l'espace de quelques années abandonnera la lutte anticonciliaire active, et qui sent de plus en plus le poids se son malade et de sa solitude, le Russicum devient un refuge, un endroit où se cacher, comme le fidèle sous l'étole du prêtre pendant la confession orthodoxe. Cristina assiste régulièrement aux offices, allume un cierge devant l'icône du saint du jour, se recueille devant les portes royales de l'iconostase comme un diaphragme de bois et d'or entre les fidèles et le Saint-Sacrement, effleure du doigt le tapis tissé d'or de Kiev, se prosterne pendant les célébrations. p.176
au sujet de Dorothy Parker (p. 160) :
"(...) il est beau et riche, comme tous les hommes de sa vie, il ne lui arrive pas à la cheville, mais il sait la faire rire, surtout quand il est saoul, c'est-à-dire presque tout le temps (...)"
Aucune personne refusant ce programme n’a le droit d’être qualifiée de « personne civilisée » aujourd’hui. Ce n’est pas une question de sentiment et de rhétorique, mais de sagesse et de science.
Ce qu’elle veut montrer, ce n’est pas comment enseigner des concepts mais comment élever des personnes équilibrées, sûres d’elles et en harmonie avec les autres.
Etre journaliste signifie pour moi être désobéissant. Et être désobéissant signifie pour moi, entre autres, être dans l'opposition. Pour être dans l'opposition, il faut dire la vérité. Et la vérité est toujours le contraire de ce que l'on nous a dit.
Les graines donnent toujours des fruits.