D. M. Cornish

Ce livre est à la fois une bonne surprise et un coup de cœur. Je suis tombée par hasard sur ce roman. En fait, la couverture du livre et le titre ont attiré mon attention.



D.M Cornish a choisi de créer un univers bien à lui. Le lecteur trouvera des similitudes avec celui de Tim Burton. Rosamonde, le personnage principal de notre histoire vit dans un monde assez sombre où cohabitent des êtres humains et des monstres en tout genre.



Rosamonde, tout droit sorti de l’orphelinat de Madame Opéra, est destiné à exercer le métier de lanternier mais avant d’y arriver, il va lui arriver de nombreuses péripéties. On ressent les doutes et les peurs de l'enfant au contact des différents personnages qu’il rencontre. Il va vivre des aventures plus qu'extraordinaires et même parfois douloureuses.



La petit touche qui fait le plus du livre : ce sont les définitions offertes à chaque début de chapitre pour pas que le lecteur soit perdu avec le vocabulaire spécifique du roman. De plus, R.D Cornish a même prévu un glossaire de plusieurs trentaines de pages à la fin de son histoire. Le livre est très bien illustrés, j'ai particulièrement apprécié les portraits des personnages principaux.



J’ai hâte de lire le deuxième tome.
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L'histoire de Rosamonde est extraordinaire. On se retrouve plongé dans un monde tout à fait inconnu. L'ambiance est glauque et on a l'impression que la mort va surgir à tout moment. On ressent la peur du petit Rosamonde, parachuté dans cet univers hostile. C'est vraiment un chouette récit mais ce n'est pas un coup de coeur. Quelque chose me retient, j'ai peur que les deux tomes suivants (c'est une trilogie) ne soit pas à la hauteur... On est proche d'un Burton. Et de ce fait, je crois que ce livre n'est pas à mettre entre toutes les mains. Je pense qu'il peut effrayer les plus jeunes. Mais à partir de 10 ans, ce livre est un petit bijou.
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Dans ce troisième tome, la route continue pour Rosamonde. Notre lanternier est affecté à Vermispion, une forteresse perdue au milieu des monstres. Sa position face aux créatures devient de plus en plus contradictoire. Par un concours de circonstances, il va apprendre qui il est, sans comprendre réellement les enjeux de cette identité cachée par ses anciens maîtres.



Ce tome clôture en beauté les aventures de Rosamonde et laisse la porte ouverte à une éventuelle suite. Il y a beaucoup plus de suspens et de rebondissements que dans le deuxième tome.



Les illustrations sont toujours aussi belles. Il est dommage que dans l'édition française elles ne soient pas en couleur.



Au final, les trois tomes réunis donne un bon roman. Néanmoins, le fait que l'histoire soit coupée en trois tomes n'est pas très pertinent. En effet, le rythme du premier tome est complètement perdu dans le deuxième tome, rythme que nous retrouvons dans le troisième.
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Ce deuxième tome de Terre des Monstres est un peu décevant. Cette fois, Rosamonde est bien arrivé chez les lanterniers où il fait son apprentissage du métier. Son existence est fait de routine, même si parfois, les apprentis et le monde des humains sont attaqués par les monstres. Finalement, il ne se passe pas grand chose dans ce tome. De nouveaux personnages font leur apparition mais il n'y a pas beaucoup d'action ni de suspens.



J'aime toujours autant les illustrations du roman et les explications en début de chapitre. L'univers reste le même mais toutefois je l'ai trouvé moins sombre que dans le premier tome.
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L'aventure et action sont au rendez-vous sous de formes de sombres complots comme le laisse entendre le titre. Rosamonde et Thrénody ont fini l'école sous un aspect suspicieux et se retrouvent affectés à leurs postes de lanternier le plus dangereux. Même l'équipe, une fois sur place, sera surpris de voir de si jeunes recrues.

Il arrivera quelques bricoles à Rosamonde (pour ne pas changer) qui ne fera qu'intensifier encore plus sur son identité.

J'ai retrouvé le personnage de Europe dont j'apprécie beaucoup ses échanges avec l'orphelin.

A la fin j'étais perplexe. Non seulement sur le mystère de Rosamonde - enfin j'ai réussi à savoir qui il était et à comprendre les propos de Tache de son, ce qui ne faisait qu'augmenter mon envie de lire les dernières pages. Dernières pages qui m'ont laissé perplexe et déçu : à la toute fin de ce troisième tome nous pourrions penser que l'aventure continue...mais après quelques recherches il semblerait que non. L'histoire se termine brutalement pour moi. J'en suis encore sur ma faim de suivre Rosamonde dans de nouvelles aventures.


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Rosamonde est à l'école des lanterniers et commence fort son entrainement : une attaque de monstres à lieu lors d'une nuit. Ses camarades et maitres se préparent. Par la suite une surprenante racontre se fera et attira les foudres de certains suite à cette nuit. Ce que je peux dire sur ce nouveaux personnage est qu'il a un caractère bien trempé et en fera voir de certaines couleurs à Rosamonde.

Je ne dirais pas plus pour éviter de gâcher la lecture pour ceux qui souhaitent le lire.

A savoir toutefois, qu'en ce qui me concerne, je l'ai beaucoup moins aimé que le premier. J'ai trouvé l'histoire un peu "vide", pas autant d'actions et d'aventures que le précédent. Quelques longueurs malgré quelques nouvelles amitiés pour Rosamonde. Par contre aucun rappel sur l'énigme qu'est Rosamonde concernant son identité propre, sauf un petit monstre lui ayant fait une petite remarque sur son prénom...


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Le début de l'histoire se passe dans un orphelinat avec Rosamonde, un adolescent. Rosamonde porte un prénom de fille depuis sa naissance, ce qui vaut à des railleries des autres enfants. C'est un garçon qui aime lire les aventures des marins et d'êtres puissants comme par exemple les fulgars : des tueurs de montres.

Mais surtout, il y a quelque chose d'énigmatique autour de Rosamonde. Lors de ma lecture, certains personnages à l'orphelinat veillaient plus qui ne le devraient sur cet orphelin.

Rosamonde et les siens vivent dans un monde rempli de toutes sortes de monstres, où les gens qui sont soupçonné d'être amis avec un monstre se voit condamné à mort.

D'autres humains se feront subiront des opérations pour être plus puissant et acquérir dans un sens des pouvoirs et combattre les monstres tels que les fulgars, les encéphage et bien d'autres.

Rosamonde aimerait être l'un d'entre eux mais lorsque M. Sébastipole vient lui proposer d'être lanternier, il ne peut refuser.

Alors commence une série d'aventures et de sacrés drôles de racontres pour notre jeune héros.

Ce qui me fera continuer à lire la suite est que j'espérais découvrir un peu plus sur Rosamonde - surtout qu'à la fin de ce volume-ci, on y fait allusion. Qui est-il vraiment ?
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Ce roman est un vrai roman fantastique d'aventure, peuplé de monstres, de machines bizarres et d'univers à explorer.

Le dernier tome de cette trilogie est génial, il y a de l'action, des aventures, des nouveaux personnages, des mystères...... On n'a pas le temps de s'ennuyer.

Aussi nous retrouvons des anciens personnages comme Europe, Tache de Son, Fransistart....

Je pense que ce tome est mon préférée car il y a la conclusion de l'histoire, et ce dénouement m'a laisser bouche bée car je ne m'y attendais vraiment pas.

Il n'y auras pas de suite et je suis vraiment déçus car même si la fin est génial je pose toujours plein de question sur la fin et le sort des autres personnages secondaire.

Ce premier tome semble débuter comme n’importe quelle histoire classique d'orphelin qui rêve d'aventures dans ses lectures. Cependant, il s'agit en réalité de récits historiques. Les monstres existent bien et ils sont traqués.



Mais au final, le monstre est-il réellement celui qu'on croit ? C'est cette question qu'exploite avec originalité l'auteur D.M Cornish, qui crée un univers fantastique auquel on est facilement immergé grâce à un index remplit de définitions, de croquis, de schéma...



Une perle à ne pas louper !

Un livre sympathique qui se lit rapidement, j'en gardais un excellent souvenir l'ayant lu plus jeune et je comprends pourquoi car même adulte j'ai apprécié cette lecture.

L'excellent illustrateur Benjamin Lacombe sert de fer de lance pour cette série fantasy qui peut se flatter d'être la seule à avoir eu cet honneur (l'artiste n'a illustré que des albums jusqu'ici).

L'histoire en vaut aussi le détour: un monde original et mystérieux captivant. Le style fait penser à la série L'Épouvanteur, de Joseph Delaney.



Le seul bémol réside dans les trop nombreux mots inventés inutilement par l'auteur, qui s'est entre autres laissé allé pour nommer la lune "Phoebë" et renommer également les moments de la journée, les jours de la semaine et les mois de l'année (l'auteur en compte 16 plutôt que 12). L'auteur Pierre Grimbert, de la série "Secret de Ji" a fait la même chose, mais dans ce dernier cas, on parle de la littérature adulte, ce qui fait toute la différence. L'éditeur aurait dû expliquer cela à D.M.Cornish.

Terre des Monstre est un livre que j'avais déjà lu il y a très longtemps et j'en garder un mauvais souvenir. Mais quand je l'ai vu a la bibliothèque il m'a fait de l’œil alors je l'ai emprunter.

En le lisant pour la seconde fois, j'ai déjà plus aimer l'univers avec des monstre, un enfant qui pars de sont orphelinat pour vivre de fabuleuse aventure, un marcher de l’ombre, des skolds, des lahzars....... Et il y aussi a chaque chapitre des dessins et je l'ai trouve magnifique.

Mais il y aussi des points négatif tout d'abord ce monde est imaginaire et il y a des mot inventé et il faut toujours aller voir a l'explicarium pour savoir leur définitions. Au début ce n'est pas gênant mais la fin c'est laçant.

J'ai adoré découvrir avec Rosamonde toute ces villes et ses habitants, mais il faut toujours les quittés alors que je m'était attachés a certains personnages.

Je lirais les autres tome car je veux quand même savoir la suite.

Marque de sang, deuxième volet de Terre des monstres est tout aussi passionnant que L'enfant trouvé, le premier tome. Ici, l'action est un peu plus lente, c'est un peu moins palpitant. Cela nous permet de faire la connaissance avec de nouveaux personnages très intéressants. Pour autant, Rosamonde n'oublie pas ses anciens contacts de l'orphelinat comme l'infirmière Verline. Sébastipole, le lyr est devenu mon personnage favori. Je le trouve à la fois énigmatique et sympathique. Jusqu'ici, je croyais ces deux adjectifs incompatibles !



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Contrairement à beaucoup d'avis que j'ai pu lire sur cette série, j'ai clairement détesté. Rosamonde est un chouineur, complétement incapable de se bouger le c*l, et franchement j'ai détesté le suivre.

Je reconnais néanmoins que l'univers du livre est très travaillé (un peu trop d'ailleurs pour un livre jeunesse) avec tout un lexique qui est propre à cette lecture. Nous avons d'ailleurs à chaque fin de livre un "explicarium" qui reprend la définition et des explications concernant les mots particuliers de cet univers (dont certains ne sont même pas utilisés dans le texte).

Et justement je trouve que se casser autant la tête pour inventer tout un lexique et nous faire suivre les périgrinations pathétiques de Rosamonde, c'est du gâchis ! J'aurais préféré suivre les aventures palpitantes d'Europe, la Fulghar chasseuse de monstres ! La platitude du tome 1 m'a donné l'impression de lire "oui-oui va à la plage" étendu sur 360 pages... Bon ok, "oui-oui va à la plage australienne et tout son environnement veux le bouffer". Car oui, la saga est catégorisée jeunesse, mais comme un Joseph Delanney, ou les derniers tomes de Harry Potter, elle n'est pas à mettre entre toutes les mains, puisque certains passages décrivent des scènes très gores.



En bref, une saga que je ne recommande pas (j'ai lu les autres tomes en espérant que ça décolle, mais non...) très plate, prévisible et ennuyeuse, où il ne se passe quasi rien, malgré un univers ultra-riche mais clairement sous-exploité.

Un univers original, un peu tristounet, voire glauque à certains moments, mais riche et foisonnant. On aime tout de suite Rosamonde, notre petit héros malchanceux qui va quitter son orphelinat pour devenir lanternier, mais il sera kidnappé par des matelots trafiquants et va croiser la route de la légendaire Fulgar Europe, auprès de laquelle il va combattre de terribles monstres, mais dans ce monde où les monstres sont légion, n'est pas toujours monstre celui que l'on croit...

Le vocabulaire de ce roman est si riche qu'un "explicarium" est mis à la disposition du lecteur en fin d 'ouvrage, mais les termes n'alourdissent en rien la lecture. J'ai simplement trouvé que le coté glauque du roman était trop immersif. On aimerait un peu de bonheur, un peu plus d'espoir, de rose au coeur pour Rosamonde...

Le premier tome de Terre des monstre m'avais plus mais il ne m'avait pas passionné alors que le deuxième tome si.

On suis encore les aventure de Rosamonde mais cette fois il est lanternier.

Ce que j'ai préférée dans ce roman c'est de découvrir la cité de Moulenvers et ses secret et de rencontré de nouveaux personnages comme Thrénody qui parait agaçante mais qui au font n'est pas si méchante et qui souffre à cause de la relation compliqué avec sa mère, Numps qui est touchant pars sont histoire et ont a envie de la protéger car il ressemble plus a un enfant qu'a un adulte......

Europe est une personnes compliqué mais que j'apprécier, elle m'a beaucoup manqué dans ce livre.

Lecture jeune, n°128 - Rosamonde est un jeune garçon orphelin. Il vient d’être recruté comme lanternier sur les routes impériales du « demi-continent ». Mais d’étranges créatures rôdent sur ces terres ! En embarquant sur le mauvais bateau, il doit affronter les premiers monstres. Parviendra-t-il à les combattre ? Et ces étranges bêtes sont-elles forcément dénuées d’humanité ?



Ce roman honore le genre fantastique. Peuplée de monstres, d’engins étranges et d’univers inconnus, l’aventure est présente à chaque page. L’histoire est palpitante et le suspense règne dans cet univers angoissant. Les nombreux « néologismes » inventés pour ce monde alternatif sont répertoriés dans un lexique inséré à la fin de l’ouvrage, tant l’univers créé est riche d’inventions. Cependant, nul besoin de s’y référer sans cesse pour comprendre le texte. Les portraits de famille dessinés au crayon, les nombreuses cartes et l’illustration de couverture, embellissent le livre qui est également un très bel objet. Ce roman n’est pas une énième aventure fantastique, mais une création originale et réussie. Construite intelligemment, l’histoire s’apparente aussi à un passage initiatique entre l’adolescence et le monde des adultes.



Sébastien Féranec